L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine "goûte" mon meilleur ami

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                                                          Elle suce mon ami Jean-Christophe

Mon meilleur ami Jean-Christophe exerce en tant que professeur de mathématiques au lycée de la ville voisine. Il n'occupe cette fonction que pour les classes de "terminale" de l'établissement. Ce n'est pas seulement sa passion première, mais c'est également la possibilité d'être le "personnage" de théâtre qu'il aime incarner devant ses élèves. Elèves qui l'adorent autant qu'ils aiment ses cours.

Il n'est pas rare qu'avec sa compagne, la délicieuse Anne-Marie, également professeur de mathématiques, ils ne viennent dîner à la maison. Nous avons d'ailleurs pris l'habitude, dès la fin de l'année 1995, de partager un repas, le premier samedi de chaque mois. C'est chez l'un ou chez l'autre. Jean-Christophe, tout comme moi, est un remarquable cuisinier. C'est à celui qui épatera l'autre.

Ce samedi soir est particulier. Il fait un froid à ne pas mettre un naturiste dehors. Il neige. Cette neige qui atteint en quelques heures les vingt centimètres. Un "drame" exceptionnel pour la région. Nous sommes déjà à la fin du mois de février 1996. Le département n'est pas équipé pour faire face à une telle calamité. Aussi, après le repas nous décidons, Christine et moi, de rester dormir chez nos amis.

Le repas est des plus agréables. Esthètes tous les quatre, nous savons diversifier les combinaisons les plus savoureuses. Légumes biologiques, accompagnés de céréales biologiques, poisson pané, en grillades ou encore en gratins, offrent de prestigieux mets que nous dégustons dans la bonne humeur. Jean-Christophe, comme moi, est un hédoniste convaincu. Sans jamais tomber dans le graveleux, nous aimons à évoquer la gaudriole. Anne-Marie est plus discrète et plus réservée.

Après le dessert, vers vingt trois heures, nous allons sur la terrasse extérieure. Il fait un froid glacial. La neige tombe toujours en gros flocons. Jean-Christophe nous emmène à l'étage. Il nous propose la chambre d'amis. Une petite pièce qui deviendra plus tard la chambre de sa fille. Fille unique du couple qui est aujourd'hui âgée de douze ans. Antoinette.

Une fois remontés de la salle de bain, Christine et moi, plutôt "allumés" par les propos coquins échangés à table, nous nous mettons à nous embrasser. Tout en nous tripotant de plus belle. Seuls dans la chambre. Mon beau "paquet cadeau" ouvert, Christine commence à en déguster le contenu. Je suis assis sur le lit défait. Ma compagne à genoux sur le tapis. C'est là que soudain la porte s'ouvre. Anne-Marie debout dans l'encadrement qui toussote. Terriblement gênée. Elle murmure : << Oh pardon, euh, excusez-moi ! >>

Jean-Christophe apparaît derrière elle. Ils s'excusent tous deux de cette intrusion. Ce n'est pas voulu. Je cache mon sexe sous l'oreiller. Christine s'assoit à côté de moi. Nous restons tous les quatre silencieux. Un peu comme des imbéciles. Le couple va repartir en fermant la porte. Christine lance : << Une partie de tarot à quatre ? >>. Jean-Christophe répond, espiègle : << Oui, mais sans les cartes ! >>

Christine recommence à me sucer. Jean-Christophe se met à caresser Anne-Marie. Anne-Marie qui admire le spectacle avec un sourire amusé. Jean-Christophe, s'asseyant à mes côtés, invite sa compagne à le sucer également. Nous sommes tous deux, côte à côte, les filles à genoux devant nous, à nous faire pomper comme des bienheureux. La situation perdure ainsi depuis une dizaine de minutes. Dans un silence pesant et gênant. Pour Christine et moi, cette situation est une grande "première".

Jean-Christophe, téméraire, propose aux filles de permuter. Il y a un long moment d'hésitation. Un moment où les filles se regardent en riant. Enfin, la bonne humeur s'installe. La gêne s'estompe. Tout cela nous décrispe quelque peu. Pour Anne-Marie, c'est la toute première expérience de ce genre. Depuis quatre ans qu'elle vit avec Jean-Christophe, elle n'a jamais pompé un autre type ! Aussi, ses regards vont de mon sexe aux yeux de son mari.

Anne-Marie, dubitative, se tournant vers Christine, demande : << Tu en penses quoi ? >>. Ma compagne, beaucoup moins inhibée, propose alors de faire un "essai". Une expérience qui n'engage à rien puisque c'est son mari qui suggère l'échange. Christine, pour l'aider à se détendre, se redresse. Prenant Anne-Marie par les épaules, elle la place devant moi. Je suis terriblement gêné. Peut-être beaucoup plus encore que la jeune femme. Pour moi aussi, c'est une grande "première".

Christine se met à genoux entre les jambes de Jean-Christophe. Elle se met aussitôt à lui sucer le sexe. Anne-Marie regarde la scène. D'abord avec consternation puis avec un intérêt toujours aussi dubitatif. J'agite ma turgescence pour l'inviter à s'en servir à son tour. Elle me fixe longuement dans les yeux. Anne-Marie a un étrange regard. Au bout de quelques minutes elle a même un curieux sourire. Mon érection est considérable. Une grosse goutte apparaît à l'extrémité de mon prépuce fripé.

Enfin Anne-Marie se penche en avant. Du bout des lèvres elle se met à goûter. Cela dure un petit moment. Pour l'aider, je la saisis par la nuque. Je lui enfonce mon sexe dans la bouche. Elle a un mouvement de recul. J'insiste. Puis, comme domptée, elle se laisse "guider". Anne-Marie se met à pomper comme si sa vie en dépendait. La pièce résonne de bruits de succions, de gargouillis et autres "glouglous". Je regarde Jean-Christophe qui se couche sur le dos. Jouisseur invétéré. Comme moi...

J'observe Christine. Souvent elle ouvre les yeux. Tout en pompant. Comme pour me consulter du regard. Elle me fait un premier clins d'œil. Terriblement vicelard. Comme elle est belle ! Elle saisit ma main pour la serrer très fort. Je suis terriblement excité. Anne-Marie s'avère une pompeuse remarquable. Depuis quelques minutes elle gémit. Ce qui ne manque pas d'attirer toute l'attention de son mari. << Pour la faire sucer c'est toujours la croix et la bannière ! Là, je suis émerveillé ! >> s'écrie mon meilleur ami en admirant la performance buccale de sa femme.

Jean-Christophe est le premier à éjaculer. Secoué de plusieurs spasmes il se déverse dans la bouche de Christine. Je l'observe déglutir avec ravissement. Désireux de ne pas imposer une frustration possible aux deux autres qui se réajustent, j'éjacule à mon tour. Trois abondantes giclées dans la bouche d'Anne-Marie. Cette dernière a le réflexe de se retirer. Je suis vicieux. J'ai anticipé cette possibilité. Aussi, je la maintiens par les oreilles. Je la force à déglutir. Visiblement, cela lui est plutôt pénible. Nous percevons ses râles de dégoût.

A son tour, dès que je relâche mon étreinte, la jeune femme se redresse pour rejoindre son homme. Christine vient se mettre contre moi. Il y a un nouveau un silence gênant. << Bon, nous allons nous coucher, bonne nuit ! > fait Jean-Christophe en entraînant sa femme hors de la pièce. Christine me fait : << Eh bien, si nous nous attendions à "ça" ! >>.

Le lendemain matin, nous prenons notre petit déjeuner tous les quatre. Quelque chose a changé. Il y a des instants où nous sommes comme des inconnus. Nos regards deviennent fuyants. Christine et moi décidons de partir immédiatement. Affrontant la neige, dès neuf heures du matin, nous roulons doucement pour rentrer chez nous. Christine évoque le gout amer du sperme de Jean-Christophe. Elle précise : << Mais le jus qui vient avant est une vraie friandise ! >>. Plus aucune nouvelle du couple jusqu'au début de l'été.

Il n'y eut plus jamais aucune récidive...
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23/01/2015

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