L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine en "expédition" - (Episode 4)

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Christine en "expédition" - (Episode 4)



Dimanche, au retour de randonnée, en début de soirée, Christine et moi, nous étions à la cuisine. Ma compagne coupait des tomates en rondelles et moi je m'occupais du plat qui allait au four. Déposant son couteau, s'essuyant les mains, elle vint se serrer contre moi. < Je peux retourner à l'usine abandonnée, mercredi ? > me fit-elle avant de m'embrasser tendrement.

Elle retourna à son occupation en me disant : < J'ai vraiment envie d'y retourner ! Tu veux bien ? >. Je la regardais en souriant pour lui répondre : < Je savais que tu n'aurais qu'une envie. Celle de refaire ! Mais bien sûr que tu va y retourner ! >. Christine revint vers moi. < Merci ! C'est génial ! Je me suis masturbée deux fois en pensant à cette dernière aventure ! > me précisa t-elle frottant son sexe contre le mien.

Le mercredi après-midi arriva enfin. Je garais la voiture au même endroit. Il faisait doux. Christine s'était vêtue d'une jupe noire et d'un pull bleu clair. Chaussée de mocassins à légers talons, elle me faisait penser à une étudiante anglaise. Elle s'était touchée tout le long de la route. Ma compagne me proposa de rester dissimulée derrière le cabanon. Je la regardais traverser le terrain vague en marchant lentement. Les bras croisés.

Soudain, le type de la dernière fois, sortant de son local s'approcha de la jeune fille. Il était vêtu de son costume usé de velours brun. Il arriva à la hauteur de Christine. Se touchant la braguette de la main gauche, il serra la main de ma compagne. De là où j'étais, je ne pouvais rien entendre des propos qui s'échangeaient. Par contre l'inconnu avec de discrets gestes vulgaires, discutait avec quelques agitations.

Christine et le type marchaient côte à côte. Du doigt, il montra la porte des toilettes. De ma cachette, armé de ma paire de jumelles, j'observais avec attention. L'inconnu avait passé sa main sous les cheveux de Christine pour la tenir par la nuque. Elle se laissa faire. Plus grande que le type d'une bonne tête, je pouvais la voir le toiser avec une certaine fierté. Il lui posa son autre main sous le menton.

La jeune fille, soudain souriante, comme intimidée, se mit à regarder le type avec sensualité. Il lui enfonça son pouce dans la bouche tout en bavardant. Elle bavardait ainsi, avec le pouce du type sur les lèvres de sa bouche. Il ouvrit sa braguette pour en extraire son sexe. Celui-ci, toujours si ridiculement mou, pendait entre son pouce et son index. Tout en bavardant, il le fit tourner comme un câble.

L'inconnu, tenant toujours Christine par la nuque, l'entraîna vers la porte. Ils montèrent les marches. Je me dépêchais de les rejoindre en courant. J'arrivais près de la porte. Penché, je passais la tête pour regarder. Christine et le type étaient assis sur une des armoires métalliques, celle renversée au sol. Il avait son pantalon aux chevilles. Christine tenait le sexe, toujours aussi, mou dans sa main droite.

Tous les deux bavardaient en chuchotant. Je ne pouvais pas comprendre. Christine masturbait le type un petit moment avant de s'arrêter pour recommencer quelques instants plus tard. La jeune fille, la tête posée sur l'épaule de l'inconnu, regardait son mouvement tout en parlant. Le type la tenait toujours par la nuque. Christine avait attaché ses cheveux. Je pouvais la voir rire par instant.

Au bout d'un moment, le type se leva pour se diriger vers le mur. Christine, tenue par la nuque se leva pour le suivre. Là, debout entre les armoires métalliques, le mec se mit à pisser. De ma cachette, je ne pouvais par voir. Je ne distinguais que le jet contre le mur qui coulait jusqu'au sol. Christine semblait lui tenir le sexe. Discrètement, profitant de ce moment d'inattention, je me glissais jusqu'au premier cabinet. Christine me regarda furtivement.

De là, par la porte entre-baillée, je pouvais observer. Christine tenait le sexe du type. Ce dernier se remit à pisser. A chaque jet, la jeune fille lui secouait les gouttes vers le sol. Elle lui chuchota quelque chose à l'oreille. L'inconnu, écartant ses jambes, au maximum que lui permettait son pantalon sur les chevilles, lâcha Christine pour prendre appui contre le mur. Christine passa derrière lui pour s'accroupir.

La jeune fille tenait le sexe du type par derrière. Elle lui tenait les couilles d'une main en dirigeant les jets de pisse contre le mur de l'autre. Le type fit à haute voix : < Ah ouai, c'est bon comme ça ! >. Christine répondit : < Tu aimes ? >. Le type se concentrait sur ses jets qui devinrent de plus en plus rares. Christine tordant le sexe mou, le tira, entre les cuisses du type. Son nez entre les fesses du mec elle tentait de le gober par derrière.

Je regardais ce spectacle comme halluciné. J'observais avec attention. Je n'en revenais pas, Christine semblait se faire le cul du mec. Accroupie derrière le type penché en avant, elle avait son visage contre les fesses de l'inconnu. Sa langue sans doute. J'eus un haut le cœur. Je connaissais ma compagne et son goût pour le "glauque", mais là, elle en rajoutait dans le crade.

Le type, penché en avant, les mains en appuis sur le mur, remuait doucement du cul. La scène persista un bon quart d'heure. Christine était tombée à genoux. L'inconnu poussait des gémissements rauques. La jeune fille devait masturber l'homme de sa main droite qu'elle avait passé entre ses cuisses. Se redressant, la jeune fille vint rapidement s'accroupir devant le mec qu'elle se mit à pomper.

Christine se redressa pour se relever. < J'ai mal aux genoux ! > fit-elle au type qui, la saisissant par la nuque, l'attira vers l'armoire renversée. Là, tous deux s'assirent pour recommencer à chuchoter. L'inconnu essaya d'embrasser la jeune fille qui détourna son visage.
Il s'appuya contre le mur, derrière lui. Christine, se couchant sur l'armoire joua avec le sexe du mec. Toujours mou, mais trempé.

< Je me suis branlé en pensant à toi ! > fit le mec. < Moi aussi ! > fit Christine. < Qu'est-ce qu'une belle fille comme toi, fait dans des chiottes avec un pauvre type ? Tu aimes ça, hein ? > demanda t-il encore. < J'adore ça ! Si tu savais comme ça me rend folle de plaisir ! > répondit Christine avant de gober le sexe de l'inconnu. Je pouvais la voir, avec cette expression d'extase sur son visage, entrain de pomper doucement.

J'avais sorti mon sexe de ma braguette pour me masturber doucement en regardant. Fasciné...

 

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08/12/2015

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