L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine et moi dans les toilettes du restaurant

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                                                      Christine me suce dans les toilettes du restaurant

Avec ma délicieuse compagne en ce début des années quatre vingt dix. Christine et moi aimons régulièrement nous rendre dans un petit restaurant charmant. Cet établissement est situé aux abords immédiats d'un petit lac. En soirée, lors des mois de la belle saison, nous aimons aller y manger. La terrasse extérieure nous ravie par son agencement floral. La vue magnifique se conjugue au silence remarquable du lieu. Tout cela participe d'un enchantement paradisiaque.

Souvent ma compagne prend des initiatives heureuses et étonnantes. Il n'est donc pas rare qu'en différentes circonstances, de préférence insolites, Christine me tripote un peu partout. Tous les prétextes sont bons. Et lorsqu'il n'y a aucun prétexte il lui suffit d'en inventer un. Une personne remarquable. Combien de fois ne m'a t-elle pas placé d'en d'embarrassantes situations.

Ce soir du mois de juin, la fréquentation est moindre. Nous devons êtres quatre couples sur la terrasse. Quatre couples pour une dizaine de tables. Ce n'est donc pas réellement la promiscuité. L'ambiance parfaite pour vivre un peu d'érotisme soft et sympathique. Les prétextes qu'invente encore ma coquine ce soir-là sont adorables. J'admire son imagination débordante qui semble fonctionner en permanence.

Son sac à main posé au sol, à côté de la table, devient le principale prétexte de la soirée. Régulièrement Christine s'accroupit devant son sac pour y chercher quelque chose. Profitant au passage pour s'exhiber un peu comme elle aime à le faire. Elle ne cherche rien d'autre qu'à me tripoter sous la table. Un grand moment. Cela me met dans un état d'excitation des plus agréables. Déguster des fruits de mer en érection, sous le regard libidineux d'une belle jeune fille, est une thérapie imparable.

Lorsque la "thérapeute" est âgée de vingt cinq ans, qu'elle est belle comme un soir d'été, qu'elle a du "tempérament", les soins sont d'une efficacité redoutable. Nous dégustons notre plateau de fruits de mer en nous fixant longuement. Celui qui baisse les yeux a un gage. Moi, crapuleux comme elle aime, je triche souvent. J'apprécie tant le gage qui m'attend. En effet, pratiquer le cunnilingus à la fille que j'aime est un bonheur indicible. Elle sait que j'aime tricher. Le léchage de minou est le plus souvent mon gage.

Christine aussi aime tricher. Son gage est l'obligation, (très volontaire), de me prodiguer une fellation. Les tricheries entre nous sont donc monnaie "coulante". Ce soir-là, en suçant la queue d'une crevette, trempée au préalable dans de la mayonnaise, ma complice baisse les yeux. Et pour bien me faire comprendre qu'elle a "perdu", elle garde les yeux baissés en suçant longuement la queue de la crevette. De la mayonnaise autour de la bouche. Peut-on imaginer plus beau spectacle ? Tricheuse de mes rêves, comme je t'aime...

Sans doute à cause du jus de mangue et de Kiwi, coulant en abondance pour arroser les fruits de mer, il me faut me rendre aux toilettes. Je me lève pour aller satisfaire ce besoin. Une envie irrépressible, pressante, devenue urgente et incontournable.

Je suis là à me vider la vessie tranquillement au dessus de la faïence de l'urinoir lorsque soudain la porte s'ouvre. Pour bien me surprendre. C'est Christine. Elle s'approche pour chuchoter : << Alors, on fait des trucs avec son "truc" sans sa copine ? >>. J'éclate de rire en prenant garde de ne pas en mettre partout. Comme à la maison elle me la prend pour la tenir. En diriger le jet. Profitant au passage pour s'amuser à viser partout. Christine aime jouer au pompier et manier la lance à incendie. Moi aussi, je raffole de ses pompiers.

Je m'écrie : << Tu es folle ! Tu laisses la table sans personne ! Et ton sac ? >>. Je tente de faire diversion. Je tente surtout d'empêcher mon érection naissante. Christine lance : << Mon sac ? Mais il est là, avec moi ! >>. Elle me le montre, accroché à son épaule. Elle se penche soudain. Elle s'engouffre mon sexe dans la bouche en gémissant. Elle s'accroupit. Comme souvent elle me fixe.

Son regard dans ces moments intenses me donne le vertige. Toujours. Je dois prendre appui contre le carrelage du mur. Je ne désire pas attirer l'attention du personnel sur notre absence. Au bout de quelques minutes j'éjacule comme un dément. Je fais remarquer à ma complice que ses cheveux pendent dans l'urinoir. Se relevant, prenant du papier, elle s'essuie. La bouche et les cheveux.

Cheveux qu'elle rince aux lavabos avec un peu de savon. Sortir des toilettes avec les cheveux mouillés reste un grand moment de solitude. On rame un peu au milieu du lac. Nous en rions de bon cœur.

Nous ressortons ensemble des toilettes. La serveuse nous observe plusieurs fois avec un curieux sourire. Le couple assis sur notre gauche ne cesse plus de nous regarder comme si nous étions des "curiosités". Cela nous amuse considérablement. Comme à chaque fois, pour le dessert, nous choisissons les plus grandes coupes glacées. Cette soirée reste une sorte de "mesure étalon". Une sorte d'échelle à laquelle nous pourrons comparer nos autres nombreuses récidives à venir. Christine est une personne remarquable.

Au dessert mon adorable coquine recommence à fouiller son sac à main...

 

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23/01/2015

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