L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Estelle, la jeune fille du conservatoire (Episode 23)

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                               Passage à l'expérimentation d'un premier Gloryhole

Estelle, blottie contre moi, assise sur mes genoux, regarde avec attention Ce trou dans le mur. Le gloryhole. Le sexe qui pend de cet orifice parfaitement rond. C’est la première fois que la jeune fille visite la cabine d’un sex-shop. L’inconnu, derrière la cloison, reste parfaitement immobile. Son sexe ne bouge pas et ne présente aucune érection. La peau mate et fripée du bout semble être faite de caoutchouc. Estelle retient sa respiration. Elle se serre encore davantage comme saisie d'une crainte. Je caresse son dos pour la rassurer par ma présence.

Posant sa main sur sa bouche, comme pour cacher son amusement étonné, la jeune fille laisse échapper un gloussement moqueur. Elle me regarde, se penche vers mon oreille pour y murmurer : << Je crois que je n’aurai pas le courage de la sucer ! C’est trop dégueulasse, vous vous rendez compte ? >>. Je reste silencieux. J’observe avec attention les réactions d’Estelle. Cette dernière, le visage à quelques trente centimètres du sexe inconnu, renifle par petites respirations rapides. Se penchant vers moi, à l’oreille, elle me dit encore : << Elle pue, c’est ignoble, ça me dégoûte ! Beurk ! >>.

Je serre Estelle contre moi en chuchotant : << Voulez-vous que nous partions Estelle ? >>. La jeune fille reste silencieuse tout en continuant à observer attentivement. Je la repousse doucement pour me lever. Je fais à voix basse : << Asseyez-vous Estelle, attendons un peu. >> Je me mets debout à ses côtés. Elle s’assoie. J’ouvre ma braguette. Je lui tends mon sexe raide et turgescent. << Vous êtes fou ? Pas ici ! >> s'écrie t-elle. Je m’approche en secouant mon érection. Juste devant son visage. Elle regarde alternativement à gauche et à droite. La bite molle qui pend du trou. La mienne dure et raide. La situation vicieuse est sans doute la source de son soudain profond émoi.

De la sueur apparait pour perler sur les joues et le nez d’Estelle. Son trouble est certainement à son comble. J’approche mon sexe de son visage, je saisis ses cheveux. Je la guide vers ce qu’elle aime tant. Elle ne se fait pas prier pour me sucer avec cette fougue que je lui connais bien. Au bout de quelques minutes, la maintenant toujours par les cheveux, je retire mon sexe de sa bouche. De ma main libre, je lui montre ce qui pend du trou. Doucement, je la force à approcher son visage de la "chose". Elle résiste. C’est la première fois que j’assiste à cette attitude. Habituellement elle adore se faire guider par les cheveux.

Je force pourtant encore un peu. Estelle détourne la tête avec obstination. << Non, je ne veux pas ! >> fait elle. Le sexe de l’inconnu est contre sa joue. Je la bloque. M’approchant, je lui fourre le mien dans la bouche. Curieusement, Estelle suce en gémissant. Je devine la confusion qui l’habite. Je commence quand même à bien la connaître. Mon sexe dans sa bouche, celui de l’inconnu contre sa joue, la jeune fille frotte ses cuisses l’une contre l’autre, se tortillant sur la chaise. Une profonde excitation l'envahit inexorablement. Elle se masturbe ainsi.

Je ne m’attends pas du tout à voir la jeune fille se retirer. Lâchant mon sexe de ses lèvres pour prendre celui de l’inconnu dans la bouche. C'est rapide. En assistant à cette scène j’ai probablement là un des plus grands chocs de mon existence. Je suis comme dans un rêve fou. Une véritable commotion ! Estelle pompe cette queue inconnue avec une véritable dévotion. Je m’accroupis à quelques centimètres de son visage pour regarder, contempler, admirer l’invraisemblable. Les yeux fermés, couverte de sueur, la jeune fille savoure sans retenue. Je me masturbe en contemplant l’inimaginable. Estelle gémit. Je peux la contempler tout à mon aise. La voir déglutir, savourer, se régaler de foutre.

Il en coule du coin de ses lèvres. Le bruit bulleux si caractéristique d'une fellation gourmande et juteuse. Je la regarde tailler une pipe. C'est vertigineux. Je dois me tenir au mur tout en me masturbant. Nous entendons les râles de plaisir du mec de l'autre côté. Les poils drus de la base de son sexe gratte le menton d'Estelle qui se gratte souvent. Sans cesser de pomper avec une conviction admirable. Elle se régale.

Maintenant Estelle me regarde avec un air de défi. Mon cœur bat la chamade. Je vais m'évanouir. Je me tiens contre le mur. Estelle se retire. Un filament jaunâtre coule du sexe de l’inconnu pour s'étaler sur le menton de la suceuse. Le liquide coule sur le haut de son pull. Estelle a la bouche gluante. Elle m’en montre l’intérieur et chuchote avec difficulté mais comme pour elle-même : << C’est tellement dégueulasse que s’en est délicieux ! >>. Je dépose une bise sur son front. L’odeur de sa bouche est ignoble. Je regarde cette bite toujours aussi molle qui dégorge d'un épais jus visqueux. Ça dégouline.

Aussi soudainement la jeune fille recommence sa pipe insensée. Je regarde avec un plaisir immense ses joues se creuser en aspirant. Enfin le sexe de l’inconnu connait un semblant d'érection. Je m’approche de l'oreille de la pompeuse pour y murmurer : << C’est certainement le petit vicelard "crade" du magasin ! >> Estelle a comme un hoquet. Probablement le souvenir du mec croisé dans la magasin. Elle ouvre les yeux comme effarée. Elle cesse de sucer pour avaler, recommence, avale encore. Tousse. Elle n'ose plus me fixer. Trop gênée d'être observée ainsi dans les tréfonds de sa psyché. Toute rouge. Mais est-ce par la honte ou par le plaisir ?

Je me penche pour chuchoter : << Vous êtes la plus adorable des vicieuses ! >>. Je dépose une autre bise sur son front. Estelle saisit le sexe inconnu entre le pouce et l'index pour le pomper encore plus consciencieusement. C'est prodigieux. Par le plus grand des hasards je prononce ces mots en même temps que le type éjacule. Estelle tente de déglutir avec peine. Des spasmes la secouent de tout son être. Sans doute à cause de la quantité autant que par la situation. Ma jeune étudiante cesse pour se retirer en toussant. Du foutre continue de gicler du sexe de l’inconnu, maculant le visage et le pull de la suceuse. Un sacré débit. Impressionnant.

Estelle reprend le sexe en bouche pour bien l’essorer, vider les couilles du type, comme elle le fait avec moi. Je suis parcouru de décharges électriques qui me font frissonner. Elle apprécie particulièrement les "fonds de cuves". La jeune fille reste ainsi jusqu’à ce que l’inconnu se retire et que son sexe disparaisse. Vautrée sur la chaise, passant la langue sur les lèvres, récupérant le foutre qui a débordé pour le lécher, Estelle me fixe avec une certaine sévérité. Les yeux humides des larmes du plaisir le plus intense. Un spasme secoue son corps.

Comme habités d'une sorte de pudeur nous gardons le silence. Avec un mouchoir en papier, Estelle se nettoie la bouche, le menton. Elle se réajuste. Elle se lève. Très fort et longuement elle se serre dans mes bras. J'évite tous contacts avec sa bouche malgré ses tentatives. Ça me dégoute. Au bout d’un petit moment je glisse à son oreille : << Alors ? Heureuse ? C’était comment ? >>. Se blottissant contre moi encore plus fort, frottant son bas-ventre contre mon sexe, elle répond, espiègle et en riant : << A refaire ! Absolument ! >>. Nous rions.

Je lui avoue que je tente toujours d'entraîner les femmes que je fréquente dans des situations insolites, honteuses et glauques. En parfait voyeur. Estelle chuchote : << Et une fois encore ça a parfaitement fonctionné ! >>. L’odeur de sa bouche est abjecte. Je le lui fais remarquer. Estelle sort un chewing-gum de sa poche, le déballe et le dépose sur sa langue. << Après, c’est à vous ! >> me fait elle en s’emparant de mon sexe. D'une poigne ferme, avec une certaine vulgarité que je ne lui connais pas. << Je vous la "bouffe" dans la voiture ! >> rajoute t-elle. Je sais ma jeune étudiante insatiable, mais à ce point !

Une fois dehors, il commence à faire sombre. Le crépuscule qui précède la nuit froide et hivernale. Rapidement, nous retournons à la voiture. C’est en conduisant sur la petite route du retour que la jeune fille se met à me sucer une nouvelle fois. Avec une douceur incomparable. Mais suis-je réellement objectif ou sous le coup de l'immense excitation qui m'habite ? Mon sexe maintenu entre les lèvres ventouses d'Estelle me procure d'indicibles sensations. Moi aussi je suis terriblement excité, terriblement juteux. Je peux la sentir cesser de pomper pour tenter de déglutir.

Je m'arrête dans l'entrée d'un chemin. Je veux jouir les yeux fermés, la nuque contre le repose tête en gémissant d'un plaisir démentiel. Avoir mon comportement habituel de vicelard en lui imposant d'autres "figures de style"...                                                                    

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17/02/2015

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