L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine surprise en flagrant délire

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                                                         Le début


Christine et moi, vivions ensemble depuis deux ans. Cette histoire était un petit bonheur sans nuages. Nous aimions à nous promener dans la nature. Aller au restaurant. Aller au cinéma. Partir en vacances au bord de la mer.
Elle et moi avions une grande complicité. Nous aimions les choses inhérentes à l'amour et au sexe. J'aimais cette fille. Elle m'aimait.

Nous nous sommes rencontrés lorsque nous étions âgés de cinq ans ! Christine est venue vivre avec ses parents, dans la maison voisine.

Afin de préserver l'anonymat de la personne, "Christine" est bien évidemment un pseudonyme.

 

                                                        

                                                             Christine

Nous étions jeunes. Vingt deux ans à peine...

Un après-midi de congé, j'en profite pour aller faire quelques courses. J'ai le projet de concocter un délicieux petit plat, pour le retour de Christine, en soirée. Je marche entre le parking et l'entrée du supermarché. En traversant la rue, quelle n'ait pas ma surprise de voir passer Christine. Dans une voiture qui n'était pas la mienne, aux côtés d'un homme qui n'est pas moi. Et qui doit bien avoir quinze ans de plus que moi...

Curieusement, je n'éprouve qu'une lointaine et diffuse interrogation. Par contre, j'éprouve une certaine excitation. Certaines légères contradictions, de ces deux dernières semaines, dans les rendez-vous et activités de Christine, s'illuminent soudain d'un jour nouveau...

Je fais mes courses. De curieuses pensées animent mon esprit. Je suis d'un caractère enjoué. Amusé. Le soir, vers dix neuf heures trente, il y a trois coups de sonnette. Ce code de trois fois deux coups qui annonce le retour de Christine. La cuisine sent bon. J'ai préparé un délicieux gratin dauphinois "personnalisé". Tout est prêt. Une salade verte. Une bonne bouteille d'un délicieux jus de mangue.

En mangeant je regarde Christine avec un regard amusé et très coquin. Christine ne manque pas de me demander le pourquoi de cette attitude. Je lui lance : << Tu es une coquine ! >>. Un silence. << Pourquoi me dis-tu cela ? >> me fait elle interrogative et le sourcil froncé. Je réponds : << Je t'ai vu, cet après-midi, passer en voiture ! >>. Je ménage mon petit effet pour la taquiner quelque peu.

Soudain, Christine repousse son assiette. Pose sa tête sur ses deux mains et regarde son assiette d'un air boudeur. Presque fâchée. Une attitude bien féminine. Tout particulièrement dans les cas de flagrant délit, dument constatés. Je lui dis : << Ne t'inquiète pas ! Tout cela n'a strictement aucune importance. J'aime te savoir libre et heureuse ! >>. Son visage s'éclaire. Elle s'écrie : << Tu ne m'en veux pas ? >>

Je me lève. Je me tiens debout derrière elle. Je lui prends ses longs cheveux. Je serre délicatement sa tête. Je lui murmure à l'oreille : << Surtout, ne change rien. Je t'aime comme tu es. >>. Je suis vraiment sincère. Christine le sent bien. Elle lève sa tête pour me fixer dans les yeux. Se tournant lentement sur sa chaise, elle me dit : << Tu ne m'en veux vraiment pas ? Tu n'es pas jaloux ? Tu m'aimes vraiment ? >>

Je m'empresse de préciser : << Non, tout cela me procure une certaine excitation. Je crois que je t'aime encore plus. Et, à présent, tu éveilles en moi une curiosité nouvelle. Je veux te découvrir. >> Je suis heureux de pouvoir aborder ce sujet, souvent délicat et sous son meilleur angle. En effet, pour moi, rien n'est plus agréable que "d'étudier" le comportement de mes semblables les plus proches. Et semblables, nous le sommes, indubitablement !

Christine me regarde avec une douceur infinie. Je peux deviner un immense soulagement mêlé à une certaine gêne. C'était donc le meilleur moment pour rendre l'ambiance légère et désinvolte. Je déboutonne ma braguette. Je sors mon sexe. En ce faisant, je lui murmure : << Et ça, tu lui fais ça, aussi ? >>. Approchant son visage, juste avant de prendre mon sexe en bouche, elle me dit, amoureusement et un peu amusée : << Oui. Tu sais, j'aime comparer ! >>

C'est pour moi comme une soudaine libération. Une sorte de "révélation". Je peux enfin me laisser aller vraiment. Christine aime donc vraiment sucer. Lorsqu'elle me le fait, j'éprouve toujours une certaine gêne. Je pense qu'elle ne pratique cela que pour me faire plaisir. Là, pour la première fois, je me laisse fondre dans sa bouche, sans retenue, sans appréhension...

Pendant qu'elle me suce je lui dis : << J'aimerais beaucoup que tu me fasses un beau cadeau ! >> Christine se retire et me dit : << Pour me faire pardonner, je suis prête à beaucoup >>. Je réponds : << Mais, il n'y a rien à pardonner ! Je voudrais simplement te regarder voir faire "ça" avec un autre ! > Un lourd silence s'installe. Pesant et presque palpable.

Pendant ce long silence Christine regarde le sol. Mon érection est retombée. Au bout d'au moins cinq minutes, elle lève les yeux et me dit, d'un ton presque sévère : << Tu es vicieux ! D'accord ! Mais tu ne m'en voudras pas ? >> Je réponds : << Non ! Je ne t'en voudrais jamais d'être ma complice ! >> Je lui dépose de délicates bises sur le front, tout en lui caressant les cheveux. Christine avance ses lèvres, la bouche en cœur, elle saisit mon sexe et se met à sucer. Poussant de petits gloussements qui m'excitent considérablement.

Je chuchote : << Je serais caché. Je te regarderais faire. Tu seras la seule à savoir. C'est le plus beau cadeau que tu puisses me faire dans ce domaine. Un domaine que tu aimes visiblement autant que moi ! >> Christine cesse de me sucer pour me fixer d'un étrange regard. Elle suce à nouveau quelques instants. S'arrête une nouvelle fois pour me regarder avec curiosité. Elle aussi me découvre un peu plus.

Christine me pompe avec délice. Jamais je n'ai éjaculé aussi vite, aussi fort et avec autant de plaisir. Contrairement à toutes les autres fois, je ne me retire pas après l'éjaculation. Je découvre, surpris et avec bonheur que Christine ne se retire pas non plus. Au contraire, elle continue à sucer. Avec plus de conviction encore. Je prends conscience de la passion qu'elle y a toujours mis et que je n'ai pas remarqué. Que du bonheur !

Je prends conscience de toutes les jouissances, à côté desquelles je suis passé, tant de fois, en me retirant après l'éjaculation. Un peu par respect ridicule et inutile. Un peu par gêne et par inhibition. Beaucoup par connerie pure.

Avec un immense bonheur, dans une osmose totale, nous repartons pour un second tour...

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23/01/2015

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