L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine reçoit le VRP - (Episode 1)

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                                                             La visite du VRP

Sans doute par réserve je n'évoque jamais l'aventure chez Jean-Christophe et Anne-Marie. Pendant les quelques jours qui suivent cette expérience, Christine évite également d'en parler. Sans doute par pudeur et par gêne. Je laisse donc ma compagne décider du moment opportun où l'envie l'en prendrait. Je respecte totalement le silence quand à ces évènements récents.

C'est vendredi soir, alors qu'elle m'offre une de ses fellations magistrales, qu'elle évoque le sujet. C'est elle qui se redresse soudain pour me dire : << Tu penses parfois au "truc" qu'on a fait chez Jean-Christophe ? >>. Je la ramène contre moi. Je pose sa tête sur ma poitrine. En lui caressant les cheveux je lui réponds : << Bien sûr, et tous les jours. Tu m'as excité comme jamais. J'y pense même là, maintenant ! >>. Christine reste longuement silencieuse.

Elle pose sa tête contre la mienne. Elle me fait : << Que dis-tu si je t'avoue que j'ai envie de refaire ? >>. Je lui fais quelques bises avant de répondre : << Mais, je ne dirais qu'un seul mot : "Bravo" ! >>. Elle se met sur moi, de tout son poids, pour m'embrasser longuement. Elle fouille ma bouche de sa langue avec une fougue rare. Ce qui restitue ma splendide érection dont elle se saisit. Christine reprend sa fellation avec une passion nouvelle. C'est divin.

Tout en me faisant sucer, j'évoque les possibilités éventuelles pouvant s'inscrire dans notre prochain emploi du temps. Lorsque je lui propose la possibilité de récidiver vendredi prochain, je l'entends gémir de contentement. Elle se redresse pour se serrer contre moi. << Génial ! >> me fait-elle avant de m'embrasser à nouveau. La prenant par les cheveux je ramène son visage vers son dessert. J'évoque à présent quelques scénarios possibles. << Il n'y a pas que Jean-Christophe ou encore les vieux pêcheurs incontinents dans la vie ! >> Je l'entends glousser.

Après quelques minutes je lui propose un nouveau scénario possible. << Que dirais-tu de faire venir un représentant, ici, à la maison ? >>. Christine se redresse à nouveau. Elle couche sa tête sur mon ventre. Tout en continuant à s'amuser avec mon sexe dans la main, elle chuchote : << Ouah ! Super ! Ah oui, on peut se faire un "plan" comme ça ! Tu serais d'accord ? >>. Je réponds : << Bien sûr que je suis d'accord puisque c'est moi qui te le propose ! >>.

Christine reprend son occupation pendant que je suggère quelques détails salaces. Lors des évocations les plus suggestives je l'entends gémir de contentement. << Mmmh , mmmh ! >> me fait elle pour marquer son approbation. J'éjacule en trois saccades. Après m'avoir fait le fond de cuve Christine se redresse pour s'allonger à mes côtés. Elle me demande :<< Tu prépares tout ça alors ? Le plus tôt sera le mieux. J'ai hyper envie ! >>. Je lui fais quantité de bisous.

Le bas de la maison où nous vivons est composé de trois pièces, une cuisine, un grand salon, un atelier de peintre d'Art. Un grand cabinet de toilettes. Il y a deux placards dans les murs du couloir. Une simple cloison de "placo" sépare un des placards et le salon. Avec une perceuse, à environ un mètre cinquante du sol, je perce un trou de deux centimètres de diamètre. Au mur du salon, pour cacher ce trou, je place un petit miroir sans teint d'un format photo. 15 cm sur 10 cm. Pour un coût de 150 francs de l'époque, (23 euros). Chez tous les bons vitriers.

Dans le placard, devant le trou, j'installe une chaise de jardin en métal. Pourquoi le métal ? Parce qu'une chaise en métal ne grince pas. Je montre mon installation à Christine qui la trouve judicieuse. Il ne me reste plus qu'à contacter une agence pour me faire présenter quelques encyclopédies juridiques. Ce qui est très en vogue en ces années 90. Dans les pages jaunes je porte mon choix sur une boîte située à une centaine de kilomètres. Rendez-vous est pris pour le mardi soir de la semaine prochaine. Vingt heures. Monsieur "Luc" viendra nous faire des propositions...

Christine, durant tout le week-end, montre quelques signes d'excitations. Attitudes qu'elle dissimule mal. Je connais bien ma coquine. Je sais ce qui la démange tout au fond de sa libido. Elle connait bien son petit salopiot. Elle sait ce qui démange la mienne. Presque tout ce week-end est le cadre d'épanchements les plus divers. Nous faisons l'amour le dimanche après-midi en évoquant sans cesse ce mardi soir à venir.

Le mardi soir arrive enfin. Nous n'avons pas la moindre idée de l'allure de monsieur "Luc". C'est une curiosité légitime à laquelle se mêle une excitation débridée qui nous anime. Tout cela nous rend fébriles. Il est dix neuf heures cinquante cinq. D'une voix sentencieuse je dis : << Les cinq dernières minutes ! >>. Christine éclate de rire. Soudain trois coups de sonnette. Nous nous regardons avec le plus grand sérieux. < Fini de déconner ! > me fait Christine. Je file me cacher dans le placard. Je m'assois sur la chaise. J'y ai disposé un confortable coussin.

De ma cachette j'entends la voix grave de monsieur "Luc". Christine vient de lui ouvrir. Monsieur "Luc" salue la jeune fille. Elle l'invite à le suivre au salon. Tout en proposant une place sur le canapé, elle fait :<< Mon mari a eu un empêchement. Il aura donc une petite demi heure de retard. il sera là pour neuf heures au plus tard ! >>. Monsieur "Luc" est un quidam d'environ quarante cinq ans, de taille et de corpulence moyennes. Par le trou, depuis le placard, j'ai une vue parfaite. J'entends distinctement.

Christine est revêtue de sa jupe écossaise à carreaux rouges. Elle porte un pull bleu. Coton fin sur un chemisier blanc. Elle est chaussée d'escarpins noirs, fermés et à talons. << Bien pute ! >> comme elle aime à le préciser. Moi, je trouve qu'elle fait plutôt lycéenne Anglaise. Ses longs cheveux noirs qui flottent sur ses épaules achèvent de lui donner une silhouette attractive et séduisante. Sexy.

Monsieur "Luc", vêtu d'un costume gris, d'une chemise blanche, cravaté de noir et chaussé de souliers noirs, a l'allure du représentant de commerce qu'il est. Je suis réellement intéressé par une encyclopédie juridique. Je fais donc d'une pierre deux coups. Christine s'est assise dans le fauteuil à la droite du canapé. Toutefois, tournée de trois quart vers monsieur "Luc", elle peut commencer son "show".

Tout en écoutant l'argumentaire classique du représentant, Christine dévoile doucement ses longes jambes. En écartant presque imperceptiblement les cuisses, elle fait un grand "numéro" d'actrice. En fait, je sais que cette attitude très étudiée m'est destinée. Même si son plaisir est également de la plus haute importance. Christine se lève. Elle vient s'accroupir devant une encyclopédie que monsieur "Luc" a posé au sol sur l'épais tapis. Elle feuillette avec attention. Je vois que monsieur "Luc" commence à avaler de travers. Il desserre le nœud de sa cravate.

Je sais qu'elle ne porte pas de sous-vêtements. Je sais que l'épaisse touffe de ses poils pubiens lui sert souvent de culotte. Mais monsieur "Luc", lui, ne le sait pas ! Aussi regarde t-il avec une insistance qu'il ne dissimule même plus. Christine, effrontée comme elle sait l'être parfois, reste ainsi dans cette position, à poser quelques questions. Je la sais capable d'initiatives étonnantes. Là, de ma cachette, une fois encore, j'admire cet aplomb extraordinaire dont elle nous gratifie, monsieur "Luc" et moi.

Le représentant doit commencer à avoir chaud. Il demande s'il peut retirer sa veste. Avoir un verre d'eau. Christine, se lève pour proposer une eau gazeuse. Elle se dirige vers le buffet bas pour en sortir un verre et une bouteille d'eau minérale. S'accroupissant à nouveau, bien en face de monsieur "Luc", juste à côté de la porte du meuble. Les cuisses à présent bien écartées, elle demande : << Vous aimeriez des glaçons peut-être ? >>. Le représentant prononce alors ces mots : << Ce que vous faites madame est absolument superbe ! Si toutes les clientes pouvaient rendre mon travail aussi agréable que vous le faites ! >>.

Christine se redresse. Elle vient s'asseoir sur le canapé en apportant la bouteille et le verre. Elle dépose le tout sur la petite table basse. Restant à distance de monsieur "Luc" elle fait : << Vous fumez ? >>. Le quidam se tourne vers la jeune fille. Il répond : << Non ! Pas du tout ! >>. Christine a un sourire équivoque. Un silence. D'une voix sentencieuse, elle dit : << Moi non plus. Mais une petite pipe de temps en temps, j'aime ! >>. Le silence est lourd. Monsieur "Luc", visiblement troublé, n'en mène plus très large.

Afin de préserver l'anonymat des personnes, il est bon de rappeler ici que Christine et Mr Luc ne sont que des pseudonymes. Si Mr Luc découvre ce récit, il se reconnaîtra aisément. A lui de rester discret. Merci d'avance...

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23/01/2015

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