L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine reçoit le VRP - (Episode 2)

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                                                          La visite du VRP - (Suite et faim)

 

Christine est installée confortablement sur le canapé. Monsieur "Luc" a une extrémité, ma compage à l'autre. Au milieu quelques encyclopédies juridiques sont ouvertes. De ma cachette, dans le placard, je peux distinguer le déroulement de ce "film". Ce moment magique que m'offre ma compagne. Une "actrice" absolument formidable dont je suis le plus grand admirateur. Le scénario est captivant.

Christine se lève. Elle revient s'accroupir devant monsieur "Luc". Elle recommence à feuilleter avec une attention remarquablement feinte les pages du gros classeur posé au sol. A présent, ayant surmonté une inhibition bien naturelle, Christine reste ainsi tout en bavardant. Monsieur "Luc" déglutit de plus en plus difficilement. Il n'a plus de yeux que pour le magnifique "numéro" auquel se livre son interlocutrice. Surtout ce qu'il peut distinguer sous la jupe de la jeune fille. Bien sûr.

Christine, relevant la tête, fait à monsieur "Luc" : << Mettez-vous à votre aise. Surtout ne vous gênez pas, mon mari ne sera là que d'ici une petite demi-heure ! >>. Monsieur "Luc" répond alors avec un aplomb retrouvé : << Qu'entendez-vous par "me mettre à l'aise" ? >>. Christine, dévergondée comme je l'aime, dit alors : << La sortir par exemple ! >>. Monsieur "Luc" reste un moment silencieux. Il ouvre sa braguette d'une manière toute solennelle.

Assis là, sur le canapé, le représentant de commerce a le sexe bien dressé hors de son pantalon. De ma cachette, retenant ma respiration, je regarde avec attention. Ce sont les expressions de ma compagne qui m'intéressent. C'est vraiment trop bon. Christine revient s'asseoir sur le canapé. Elle regarde le membre de monsieur "Luc" avant de dire : << Vous n'êtes pas mieux maintenant, ainsi à l'aise ? >>. Notre quidam ne sait trop que répondre. Décontenancé par ce qu'il vit là. On le comprend.

Se penchant sur le côté, Christine s'empare du sexe de monsieur "Luc". Pendant quelques instants elle renifle la chose. Puis elle se la prend en bouche. Je la regarde. Elle a les yeux fermés. Christine est entrain de se livrer à son activité sexuelle préférée. Elle reste sans bouger. Avec l'excitation, monsieur "Luc" doit être bien juteux. Aussi, je peux admirer Christine déglutir avec passion.

Monsieur "Luc", dévoilant un peu de son caractère, saisit Christine par la nuque. Il appuie fortement sur la tête de la jeune fille. Celle-ci, aux prises avec des difficultés respiratoires évidentes, tente de se dégager. Elle y arrive en se relevant. Monsieur "Luc" se levant à son tour attrape Christine par ses cheveux. Sans brusqueries, mais sans ménagements, il l'a force à se mettre à genoux. Pourquoi lui dit-il : << Petite salope ! >> ? C'est un mystère.

Tenue par les cheveux, Christine, à genoux, suce de son mieux. De ma cachette je regarde la scène. Je suis évidemment prêt à intervenir au cas ou le bougre deviendrait trop entreprenant. Tout reste toutefois dans le cadre de ce qu'aime ma compagne. Moi aussi parfois je la maintiens ainsi. A présent, monsieur "Luc" bouge du bassin dans une sorte de danse tribale et triviale. Il continue à tenir la tête de sa suceuse fermement et des deux mains. Il gémit comme un dément. Elle aussi.

Christine pompe comme une affamée. Je sais qu'elle passe là un des grands moments qu'elle apprécie tout particulièrement. Monsieur "Luc", lui, par contre, semble perdre tous ses moyens. Trempé de sueur, la chemise défaite, décoiffé, il continue son mouvement des hanches. Soudain, tout cesse. J'observe Christine déglutir l'éjaculation du quidam. Avec peine. Il en dégouline même un peu au coin de sa bouche.

Monsieur "Luc", essoufflé, se laisse retomber sur le canapé. Haletant il regarde Christine s'essuyer la bouche avec un mouchoir en papier. Avec cette parfaite maîtrise dont elle est coutumière, elle lance : << Revenons à notre affaire. Mon mari ne va pas tarder. Je vous recommande donc la plus grande discrétion quand à ce qui vient de se passer ! >>. Le représentant se réajuste en répondant : << Ne vous inquiétez pas, je suis marié, je sais ce qu'il en est ! >>. Christine rajoute encore : << Il n'y aura pas de seconde fois ! >>.

Je sors de ma cachette dans le plus grand silence. Je quitte la maison. Je donne deux coups de sonnette. J'introduis ma clef dans la serrure. J'entre à nouveau mais "officiellement". Christine me présente monsieur "Luc". Rien dans les apparences, ni dans le salon, ne peut trahir ce qui vient de s'y passer. Je prends connaissance de l'encyclopédie en six volumes et des conditions. Je signe. Je passe ma commande. Devant des cafés chauds que nous prépare Christine, nous concluons. Cette encyclopédie me sert encore quelquefois aujourd'hui !

Nous restons encore un petit quart-heure à discuter des possibilités offertes en tant qu'adhérant. Ce, afin de recevoir une réactualisation annuelle. Monsieur "Luc" s'en va sans rien montrer de son trouble probable. Une fois seuls, Christine et moi nous éclatons de rire. Elle me fait : << Qu'est-ce qu'il m'a mis ce salop ! Une vraie fontaine à jute ! >>. Elle termine de déguster un petit gâteau à l'orange. << Pour enlever le goût ! >> précise t-elle.

Je l'aime comme un fou. Christine est mon actrice, ma compagne, mon amour et la sublime complice d'une vie quelque peu dépravée. Une vie aussi excitante que celle d'aujourd'hui. Ce soir-là nous faisons l'amour jusqu'aux limites de nos forces. Le lendemain, il faut assurer sa matinée de professeur. Nul doute, avec quelques cernes.

Monsieur "Luc" ne s'est jamais plus manifesté. Surtout après son appel téléphonique où je lui avoue être parfaitement informé. << Pas un mot à mon employeur. Pas un mot à ma femme ! >> me demande t-il. Un parfait gentleman...

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23/01/2015

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