L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine et l'inconnu du parc

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                                                     Fellation Londonienne

En cette fin de mois de juin 1997, juste pour week-end prolongé de la Pentecôte, nous avons décidé d'un petit séjour à Londres. Christine est professeur en première et en terminale. C'est l'occasion d'avoir toute latitude pour profiter de ces trois jours à venir. C'est avec l'avion que nous nous envolons pour la capitale britannique. Nous arrivons à l'aéroport Hearthrow vendredi soir vers dix neuf heures. Un soleil enchanteur commence à descendre sur l'horizon. Le week-end s'annonce des plus agréables.

J'ai réservé une chambre à l'hôtel "Euro". Les trois jours pour deux mille francs de l'époque, (environs 300 euros). Une chambre et toutes les commodités souhaitables. Toilettes avec chasse d'eau anglaise comprise. Et qui voyage en Angleterre sait les chasses d'eau anglaises. Situé à quelques minutes de Hyde Park, l'hôtel Euro offre également le petit déjeuner avec le prix de la chambre. Nous avons en projet d'aller nous promener sur Soho dans la soirée. Se trouver un petit restaurant sympathique.

Nous voulons également passer une partie du samedi après-midi au London Trocadero. Ce grand centre commercial sur Piccadilly Circus. L'hôtel Euro est donc situé de façon stratégique. Le samedi matin est consacré à la visite de la National Galery sur Trafalgar Square. Afin d'y admirer, une fois encore, la collection des peintres Hollandais du XVII ème. Collection de la Reine et mise à disposition du public dans ce superbe musée. Qui connait ce lieu sait les trésors qui s'y trouvent.

Pour midi nous avons préparé quelques sandwichs. Ainsi, en toute liberté, nous restons indépendants. Choisir le lieu de notre repas. C'est derrière l'hôtel "Citadines", dans un charmant petit parc, que nous choisissons de manger. Confortablement assis sur un banc, à l'écart du chemin, au bord d'un petit étang, nous profitons de cette magnifique journée londonienne. De l'eau, versée par une jarre que porte une statue, vient s'écouler avec un petit bruit régulier sur notre droite. Nous sommes seuls. C'est vraiment charmant.

Après le repas nous voilà assis sur l'arrière du socle d'une statue. Là, dissimulés, nous nous embrassons. Nous nous caressons un peu. Christine, toujours désireuse de m'allumer, me tripote à travers le tissus de mon bermuda. Je fais pareil sous sa jupette. Comme à son habitude lors de nos "expéditions" elle ne porte pas de culotte. Ce qui est toujours très pratique pour quantité d'opportunités. Les besoins naturels par exemple. Je suis rapidement l'heureux détenteur d'une splendide érection.

Coutumière du fait, avec son admirable aplomb, Christine ne tarde pas à me sortir le sexe. Elle en masse délicatement le prépuce. J'aime cette douce sensation. Je "mouille" rapidement durant cette manipulation. Il n'y a personne dans les environs immédiats. De temps à autre, à une dizaine de mètres, sous les haies bien taillées, nous pouvons voir les chevilles et les pieds de quelques promeneurs. Ils ne peuvent pas nous voir. Nous sommes donc à l'abri de toutes arrivées non souhaitées.

Subitement, là, sur la droite, un homme. Il vient se dissimuler derrière un bosquet. Il satisfait un besoin naturel. Il ne nous a pas vu. Christine me pousse en me disant : << Cache-toi derrière le socle de la statue ! >>. Rapidement je me lève pour me dissimuler. La coquine se lève. Elle marche en direction du pisseur. De ma cachette je peux entendre les mots échangés. Christine, parfaitement bilingue, salue l'inconnu pour lui demander un renseignement. Son accent français doit la trahir. Le quidam, pas du tout gêné et amusé, renseigne la jeune fille.

Je connais bien les attitudes de Christine dans ces situations là. Elle est aussi confuse que l'inconnu. C'est cette émotion qu'elle aime. Qu'elle recherche. Le type, un grand gaillard d'environ trente cinq ans, termine tranquillement sa petite affaire sous le regard de la jeune fille. Se tournant vers elle, agitant sa virilité, il propose d'y goûter. Christine, hésitante, regarde dans toutes les directions. Elle s'approche pour s'accroupir devant ce parfait inconnu. Rapidement elle se met à sucer. Je suis une fois encore sidéré. Comment peut elle !

Le type la maintient fermement par la tête. Il regarde dans toutes les directions. Il bouge son bassin avec un rythme régulier. Christine est à genoux dans l'herbe. Plusieurs fois il appuie la tête de la jeune fille sur son sexe. Il la force à tout ingérer. Lorsqu'il la relâche, je vois Christine se retirer pour cracher. Reprendre sa respiration. Le quidam a un comportement pervers. Au bout d'une dizaine de minutes, il doit probablement éjaculer. Certain. Il est secoué de quelques spasmes. Christine se dégage de l'étreinte du type. Elle se relève pour filer à toute vitesse. Il s'assoit au sol en criant : << Please. Why you you saved ? Come back. I love the French girls. We could get to know and chat ! >>.

Christine me rejoint. Nous nous mettons à courir pour quitter les lieux. Nous nous mêlons aux nombreux promeneurs de Trafalgar Square. En nous retournant, nous ne voyons aucun individu ressemblant au type du parc. Christine avale le restant de la bouteille de jus de fruits. Elle déballe un chewing-gum qu'elle porte à la bouche. << Beurk le sperme de ce mec ! >> me fait elle. Nous éclatons de rire.

Le reste du week-end est absolument superbe. Dimanche soir nous arrivons à l'aéroport de Guipavas. Nous y récupérons notre voiture. Très bons souvenirs anglais...

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23/01/2015

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