L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine dans les vieux WC abandonnés (Partie 2)

Julien (40 x 40).jpg

 
                                                         Les toilettes du bâtiment abandonné - (Partie 2) -

Avec de multiples précautions je reste dissimulé derrière le gros conduit de cheminée. Je suis assis sur une planche au-dessus du cube des toilettes. De ma cachette je peux regarder par trois trous de différents diamètres. Je vois en bas, dans les deux cabines WC. Christine entre dans le cabinet du fond. Elle descend son pantalon. Debout au-dessus de la cuvette elle lâche un premier jet. Un jet bref et sonore qui résonne dans tout le hangar.

Ma compagne en lâche plusieurs. Brefs et intenses. Je regarde le type près de la porte d'entrée. Il relève la tête. Il cesse toute activité. Il écoute avec attention. J'observe par un des trous. Christine, tous les sens aux aguets, écoute également entre deux jets. L'inconnu s'approche. Il tend l'oreille. Ces bruits suscitent son plus vif intérêt car il entre dans les toilettes. Je retiens ma respiration. Christine a entendu l'homme entrer. Elle lâche ses quelques dernières réserves. Ces giclées qui se brisent dans l'eau stagnante du fond de la cuvette.

Le type avise la porte du fond. Il essaie d'ouvrir. Elle est fermée de l'intérieur puisque Christine s'y trouve. L'homme entre dans le second cabinet. Se penchant en avant, il regarde par le trou. Comme moi, il peut voir Christine cambrée au-dessus de la cuvette. Prenant tout son temps, elle déplie un mouchoir en papier pour s'essuyer. L'inconnu se redresse. Ouvrant sa braguette, il passe son sexe par le trou.

Christine, toujours si attractive dans ces moments vicelards, regarde avec curiosité ce qui vient de passer par le trou. Ce sexe qui pend dans son espace. Un sexe de petite taille et tout fripé. Je vois le type qui se tient à la paroi de droite. De son autre main il maintient son équilibre contre le mur où il s'appuie. Christine se penche en avant tout en relevant son pantalon. Elle scrute la "chose" avec cette attention que je lui connais bien.

S'accroupissant devant le mur Christine se met à renifler ce tuyau de chair. Parfois elle regarde le plafond pour tenter de voir par quel orifice je l'observe. Elle reste ainsi un moment. Puis elle se met à lécher le sexe de l'inconnu. Avec les doigts elle décalotte le gland. Elle a un mouvement de recul. L'odeur doit être forte. Fermant les yeux, fronçant les sourcils, ma compagne gobe ce sexe toujours mou.

De ma cachette, une fois encore, je peux la regarder. Elle se livre à son goût pour les situations dépravées. Elle savoure. Les yeux fermés. Restant parfaitement immobile Christine est concentrée sur sa fellation étonnante. Comme elle est belle. Cette fois encore, là, se livrant au vice. Pour moi ce spectacle, terriblement excitant est toujours un "cadeau". Christine aime me l'offrir. Elle aime tant être vue...

Je regarde le type. Il se mordille les lèvres. Ses mains sont crispées contre les deux murs. Une position cambrée. Le ventre contre le mur. La posture empêche tous mouvements amples. Il lui faut bouger du bassin avec d'infinies précautions pour ne pas se dégager. Je regarde Christine. Les joues creusées par l'effort, elle suce. Soudain elle pousse un long râle. Le type éjacule probablement. Ma compagne, les mains posées contre le mur à la hauteur de sa tête, déglutit en gémissant. Une fois encore...

Rapidement, se retirant du trou, l'inconnu se précipite pour ouvrir sa porte. Au même moment Christine sort de sa cabine. Elle fait un sourire à l'inconnu. Ce dernier, d'une extrême politesse, lui lance : << Je reviens demain après-midi. Si vous êtes dans les parages, nous pourrions nous revoir avec plus de civilités ! >>. Christine, toujours très pressée de quitter les lieux après ses pipes "sauvages" répond : << Mon mari m'attend. Il faut vraiment que j'y aille. Au revoir monsieur ! >>.

Je descends par l'échelle. Rapidement, je sors par la porte arrière. Je reviens par la porte principale. Christine arrive vers moi suivie du type. Ce dernier me salue. Il paraît soudain terriblement gêné. Ma compagne et moi repartons. Nous laissons l'inconnu à son labeur. Un peu plus haut, sur le sentier du retour, Christine me témoigne de son excitation. Cette situation inédite. Ce trou dans le mur. Le summum de la situation vicelarde. << Je veux refaire ! >> me fait elle...

____________________
Tous droits réservés - © - 2015 -

 

Note de l'auteur :

L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle.  Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal.

La divulgation d'informations relatives à la vie privée, ou à l'identité, constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 du code pénal.

 

 


22/02/2015

A découvrir aussi