L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine découvre un Glory Hole - (Episode 5)

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                                                            Christine découvre un Glory Hole - (Episode 5)

Je suis réveillé de la plus agréable des façons. Christine couvre mon visage de bises. Je la serre dans mes bras. Durant le petit déjeuner, ma délicieuse compagne fait preuve de dérision et d'humour. Choses dont elle est coutumière. Nous quittons notre gîte pour huit heures trente. Nous arrivons aux alentours de l'étang pour huit heures quarante cinq. Le ciel, couvert et gris reste bas.

Christine vêtue d'un jean, d'un sweat-shirt, chaussée de ses baskets, marche doucement sur le bord de l'étang. Ses longs cheveux sont attachés en une natte qui pend jusqu'au milieu de son dos. Sa silhouette filiforme, féline, sa haute taille, tout cela participe d'une situation attractive. Ma compagne se dirige doucement vers le ponton. Les bras croisés, regardant autour d'elle.

Je reste discrètement sur le chemin parallèle, derrière les bosquets. J'arrive le premier aux cabanons. Je reste à l'arrière, près de la fenêtre fermée. Depuis ma cachette, je peux voir arriver Christine. Cette dernière, accoudée à la rambarde de l'escalier, regarde venir la voiture qui se gare de l'autre côté de l'étang. L'inconnu est de retour, ponctuel. Il voit la jeune fille.

Christine, certaine d'être vue, entre dans le cabanon des toilettes. Pénétrant dans le cabinet, elle me voit derrière la fenêtre. Elle l'ouvre afin que je puisse entrer. Du petit sac à dos que je porte, je sors un des deux vieux coussins de la voiture. Les genoux de ma compagne sont encore douloureux de la veille. Aussi, nous avons tout prévu. Je le pose au sol, devant le mur, sous le trou. Nous pourrons l'abandonner là.

Je me mets à l'écart, dans le coin. Nous entendons arriver le quidam. Il entre dans son cabinet. Il regarde sans doute par le trou car Christine, accroupie au dessus de la cuvette du sol, sourit en regardant l'orifice. Il ne prononce pas le moindre mot. Presque immédiatement, le sexe de l'inconnu jaillit du trou. Comme hier, il est plutôt mou et pend sur le mur. Par contre, cette fois, aucune odeur épouvantable.

Christine s'approche pour se mettre à genoux sur le coussin, son pantalon descendu. Je m'approche pour ne rien perdre du spectacle qui va suivre. Ma compagne m'embrasse doucement. Puis, comme hier, longuement, elle renifle le sexe de l'inconnu. Enfin, du bout de sa langue, elle se met à lécher la peau du prépuce. Le membre bouge doucement, comme animé de sa vie propre. Une goutte perle pour s'étendre en filament avant de se détacher pour tomber au sol.

Une fois encore, par un mouvement de tête, Christine s'empare de ce sexe avec sa bouche. Se redressant légèrement, elle suce doucement en fixant le pubis poilu de l'inconnu. Cela dure quelques instants, peut-être deux minutes. Ma compagne reste les joues légèrement creusées, parfaitement immobile. Soudain, elle a un mouvement de surprise. Le quidam éjacule...

Surprise, les yeux ouverts, Christine avale cette substance avec étonnement. Cette éjaculation, aussi soudaine qu'inattendue, la surprend autant que moi. Elle me fixe avec un air interrogateur. Je hausse les épaules, aussi étonné qu'elle. C'est là que l'inconnu se met à bouger doucement. Avec un mouvement masturbatoire, dans la bouche de la jeune fille, il avance et recule doucement.

Christine, engouffrant le maximum, colle ses lèvres sur les poils pubiens du quidam. La totalité du sexe dans la bouche. Les yeux fermés, concentrée sur sa succion, elle bouge ses lèvres en rythme. Tentant sans doute d'épouser celui qu'imprime l'inconnu. Christine se retire. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Je découvre le sperme épais, visqueux et gluant qui emplit toute sa bouche.

A plusieurs reprises, Christine tente, avec des mouvements de tête, d'avaler cette substance. Au bout de trois tentatives, elle y parvient enfin. Christine scrute avec attention l'extrémité gluante et dégoulinante du sexe qui pend toujours là, depuis son trou. Le saisissant entre le pouce et l'index de sa main droite, elle le redresse pour se le reprendre en bouche.

Christine se met à sucer fortement, les joues creusées par l'effort. Elle émet ses premiers gémissements. Un air extatique se lit sur les traits de son visage. Je regarde avec ravissement ma compagne entrain de savourer le sexe d'un inconnu. Une fois de plus ! Je passe ma main entre ses cuisses pour toucher son sexe. Christine a un mouvement du bassin en poussant un petit cri.

Son sexe est humide. J'ai l'envie folle d'aller la lécher, ma tête entre ses cuisses. C'est impossible. L'espace confiné ne le permet pas et l'hygiène des lieux ne m'y invite pas vraiment. Je n'ai encore jamais goûté sa cyprine pendant qu'elle pratique une fellation à un autre. Un nouveau fantasme m'envahit à l'instant. Une certaine frustration aussi...

Le visage de Christine, à une vingtaine de centimètres du mien, me permet d'observer toutes ses expressions. C'est absolument divin. Phénoménale. Elle m'avoua par la suite que ce fut son expérience préférée. De me savoir si près, à la scruter, participe de son excitation. Ma compagne a un nouveau mouvement de recul. Elle reste d'une immobilité totale en gloussant de plaisir.

La suite fut toute aussi surprenante...

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24/11/2015

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