L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine découvre un Glory Hole - (Suite et faim)

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                                                       Christine découvre un Glory Hole - (Suite et faim)

J'observe la réaction de Christine à l'apparition de cette nouvelle "surprise". Elle me sourit. Elle me fait un clin d'œil avant de se mettre à genoux sur le coussin. Ma compagne renifle en faisant la grimace. Elle me montre les coulures le long du mur. L'odeur forte rajoute encore à ce côté glauque qui l'attire tant. Surtout dans ce genre de situation. Au point qu'elle aime fréquenter ces lieux avec une excitation rare depuis l'adolescence.

Je suis accroupi dans le coin. Christine, avant de se lancer dans sa nouvelle "expérience", m'embrasse rapidement. Puis, rapprochant son visage, me regardant avec malice, elle se pince le nez entre le pouce et l'index de sa main droite. De sa main gauche, qu'elle secoue quelques instants, elle s'appuie contre le mur. Elle observe avec attention cette "chose".

Le sexe de l'inconnu présente une érection qui le dresse vers le haut. Veineuse, la turgescence est tendue et violacée. Le prépuce, légèrement tiré, laisse entrevoir le méat. Le bout du gland. Il doit mesurer une douzaine de centimètres et doit être épais de trois. D'une laideur affligeante, pâle et sans attrait, moche, cette virilité bouge au rythme que lui imprime son propriétaire.

Christine, saisissant le sexe entre le pouce et l'index, le dirige vers le bas. Elle se met à le lécher longuement. A ce moment la voix du type résonne derrière la cloison. << Alors, c'est bon ? >> demande l'inconnu. Vulgaire. Christine se garde de répondre et engouffre le membre dans sa bouche. Je l'observe attentivement. Elle savoure la chose avec bonheur. Je peux voir sa langue tourner autour de l'extrémité.

Au bout d'un petit moment, je vois que les joues de ma compagne commencent à se creuser. Le pompage s'amorce. Christine, la tête parfaitement immobile, concentrée, les yeux fermés, suce consciencieusement. Je n'entends rien. Ce n'est qu'après une dizaine de minutes que les premiers gargouillis se font entendre. Christine se retire brusquement en toussant. Un filament visqueux et épais lui pend de la bouche. Il vient se coller pâteusement sur son menton.

Christine après quelques hésitations, déglutissant avec peine, retourne à son pompage. Je peux alors percevoir les premiers gargouillis. En même temps que les premiers gémissements. Encore une fois Christine se retire en toussotant. Après avoir avalé à plusieurs reprises, en me faisant d'horribles grimaces, elle retourne sucer en poussant des petits gémissements de dégoût.

Je peux voir les hauts le cœur qui agitent Christine. Plusieurs spasmes. Je peux lire sur ses traits une intense sensation de dégoût. Elle se retire une nouvelle fois en toussant. Je vois s'écouler de l'extrémité du sexe un liquide séminal laiteux. Il semble très épais et gluant. Curieusement, cela ne semble pas cesser. Ma compagne y retourne pour ne pas en perdre la moindre goutte. Dégoûtée sans doute mais excitée sûrement...

Christine a plusieurs râles de dégoût. Le type doit éjaculer car je la regarde déglutir avec des efforts considérables. Des hauts le cœur la secouent de spasmes. Elle pousse de nombreux gémissements ponctués de petits miaulements. Elle se retire, l'air révulsé. C'est la première fois que je peux découvrir tant d'écœurement sur son visage. Le sexe de l'inconnu pend sur la cloison. Sec.

Christine, s'essuyant les lèvres, me montre l'intérieur de sa bouche. Le sperme est si visqueux qu'elle n'a pu tout avaler. C'est en se levant que ma compagne tente de terminer de déglutir. Elle me fait plusieurs grimaces d'écœurement. Le sexe du type a disparu. La poignée de la porte s'agite fortement : << Ouvre, je veux te voir ! Tu veux baiser ? >> fait la voix puissante de l'inconnu.

Sans demander notre reste, enjambant le montant de la fenêtre, nous nous sauvons. De retour à la voiture, Christine me raconte son "aventure". Jamais elle n'a eut affaire à un sperme aussi épais, au goût aussi amer. Même le liquide séminal, d'habitude plutôt salé, dont elle aime à se régaler, lui paraissait fade. Le goût d'une amande amer prétend t-elle avec une moue de dégoût.

<< Je ne veux plus faire ça à un inconnu avant les vacances ! Quelle horreur ce coup-ci ! Ahhhhh c'était dégueulasse ! >> s'écrie t-elle pendant que nous arrivons sur la petite route. Je roule doucement. << Vraiment épouvantable ! A gerber ! >> rajoute Christine en tirant une barre chocolatée du vide-poche. Elle me montre l'intérieur de sa bouche encore gluante. C'est vrai que ça doit être assez particulier.

Nous arrivons à la maison pour vingt trois heures. Quelques jours plus tard Christine évoque cette expérience spéciale comme étant, malgré tout, un souvenir épique. << A refaire ! >> me fait elle quatre jours plus tard. En éclatant de rire. Les prochaines vacances arrivent dans un mois et demi...

 

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27/11/2015

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