L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine en "expédition" - (Episode 3)

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Christine en "expédition" - (Episode 3)

Christine observait ce sexe avec attention. De son index, elle me montrait des détails. La peau du prépuce, au teint mat, présentait une sorte de verrue sur le bas. L'odeur, assez repoussante, ne m'invitait pas à me rapprocher davantage. Christine passait son doigt sur la protubérance. Passant l'index sous le membre, ma compagne le redressa, pointant son extrémité vers son visage.

Christine me regardait avec un sourire gêné, par en-dessous. Sortant le bout de sa langue, elle me fit une nouvelle grimace et un clin d'œil appuyé. Je la devinais gourmande et pressée de se livrer à son addiction. Je posais ma main sur sa nuque et j'appuyais sa tête vers le trou. Ouvrant la bouche en poussant un petit gloussement elle goba la presque totalité du sexe. Le nez collé contre la cloison.

Je la maintenais ainsi, longuement. Elle posa sa main gauche sur ma cuisse. Les joues creusées, les yeux fermés, Christine semblait vivre l'extase. Je pouvais la voir savourer. Parfois, tout en pompant, elle fronçait les sourcils. Je maintenais toujours sa tête. J'imposais cette situation un moment. Je pouvais entendre la jeune fille respirer par petits souffles sortant de ses narines.

Il y avait un silence total. Parfois, la respiration s'accélérant, indiquait qu'il se passait quelque chose. Je lâchais enfin sa nuque. Christine resta pourtant collée contre le trou, pompant avec force. Elle resta ainsi encore quelques minutes. Elle se retira un instant. Je pu voir une espèce de mayonnaise jaunâtre et curieusement grumeleuse aux commissures de ses lèvres.

J'étais très étonné. De véritables petits grumeaux collaient autour des lèvres de Christine. Avec une incroyable concentration, la jeune fille suçait longuement. Sans émettre le moindre bruit. Juste cette respiration qui s'accélérait ou qui ralentissait. Je sortais mon sexe pour me masturber. Le spectacle, divin, m'excitait considérablement. Christine se saisit de mon membre pour me branler doucement.

Je la saisi par ses cheveux. Je poussais sa tête contre le mur. Elle n'avait certes pas besoin de cet acte. Mais cela lui arracha un nouveau gémissement de plaisir. De reconnaissance peut-être. Je la maintenais ainsi un long moment. Elle gobait le petit sexe de l'inconnu avec un plaisir manifeste. Je la relâchais. Sa tête suivit mon mouvement et le se retira pour reprendre son souffle avec la bouche.

Dans sa bouche ouverte, il y avait cette espèce de pâte gluante et jaunâtre. Cela évoquait du gruyère rappé à moitié fondu. Aucune érection ne redressait ce sexe étrange. Je regardais Christine, le visage penché vers le sol, entrain de déglutir à plusieurs reprises. Elle ouvrait et refermait la bouche à plusieurs reprises. De ce jus épais et dense pendait à l'extrémité du prépuce du type.

Christine y retourna après m'avoir fait la plus horrible grimace. Pourtant, de sa main libre, elle pointait le pouce en l'air pour manifester son contentement. Elle me masturbait doucement. Son menton, luisant, était maculé de ces petits grumeaux gluants. Soudain, collant son nez contre la cloison, essayant d'en gober encore plus, ma compagne lâcha un râle de plaisir. Je la voyais pomper avec force.

La jeune fille resta ainsi un long moment à tenter de déglutir. Elle se retira brusquement. N'arrivant pas à tout avaler, une quantité impressionnante de cette véritable purée s'écoula de sa bouche. Christine eut le réflexe de tout rattraper de ses mains. Je n'ai jamais vu un tel sperme. Il y avait des glaires épaisses flottant dans un liquide visqueux absolument écœurant. Christine, en se léchant les mains, me fit signe de sortir.

En silence, rapidement, je sortais du cabinet pour filer à l'extérieur des toilettes. Je restais près de la porte d'entrée de la bâtisse. Tout était désert. Je me tenais caché, accroupi derrière la carcasse d'un vieux réfrigérateur. Au bout de plusieurs minutes, Christine n'arrivait toujours pas. Je décidais de retourner voir ce qui pouvait bien se passer. J'entendais ma compagne gémir et glousser.

Je m'approchais du cabinet pour regarder par la fissure de la porte. Le type était dans le même cabinet qu'elle. Christine, à genoux, suçait en poussant des petits cris de plaisirs. L'inconnu la tenait par les cheveux. Bloquant la tête de la jeune fille. Cette situation m'excita au plus haut point. Penché en avant, mon œil collé à la déchirure du bois de la porte, je regardais, comme halluciné.

Cela dura quelques minutes. Le type lâcha un râle sonore. Presque en hurlant, il lâcha sa purée. Plusieurs saccades agitèrent son corps. Je le vis tomber au sol pour s'y asseoir lourdement. < Reviens demain, je veux absolument te revoir ! > fit le mec en haletant. Christine se redressa et se dépêcha de quitter la cabine. Une fois dehors, elle répondit : < Mercredi prochain, peut-être ! >.

Christine me prit la main  m'entraînant à courir le plus vite possible vers le bosquet d'arbres sur la gauche. Là, tous deux cachés, elle reprit ses esprits. Son sweat-shirt était maculé de cette substance grumeleuse. Ces grumeaux épais et visqueux collaient sur des auréoles mouillées. Christine me montra sa bouche encore pleine de cette même purée. Nous sommes retournés à la voiture en faisant une large boucle. La jeune cracha à plusieurs reprise avec des râles de dégoûts.

< Tu veux goûter ? > me fit Christine en crachant de la substance dans un mouchoir en papier. Toussotant, elle me fit : < Je ne sais pas, mais je n'ai jamais eu affaire à un sperme pareil ! >. Je demandais : < Ecœurée ? >. Elle me fit un sourire avant de me dire : < Oui, super écœurée, mais quelle expérience ! >. Nous sommes rentrés pour la fin de l'après-midi. Nous avons fait l'amour comme des fous...

 

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06/12/2015

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