L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine en "expédition" - (Episode 5)

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Christine en "expédition" - (Episode 5)



De ma cachette, le cœur battant, j'observais la scène. L'inconnu tenait Christine par ses cheveux. Il guidait la tête de la jeune fille sans délicatesse. Celle-ci, suçait avec un plaisir visible. Depuis l'endroit où j'étais, je distinguais parfaitement. La jeune fille était allongée sur l'armoire métallique, une jambe relevée et pliée. L'homme lui passa la main entre les cuisses. Christine, comme pour présenter un meilleur angle, écarta un peu plus ses jambes.

Tous deux restèrent ainsi un long moment. Soudain, venant du dehors, des éclats de voix résonnèrent. L'inconnu, tenant Christine par ses cheveux, la redressa. Il se leva. Je me cachais. Il passa devant la porte du cabinet où j'étais dissimulé. < Ce n'est rien, un couple qui balade son chien ! > fit le type. Christine vint le rejoindre sur le pas de la porte. Tous deux retournèrent au fond du local.

Je regardais à nouveau. Christine, debout devant le type qui était à nouveau assis, écarta les jambes. L'inconnu lui fit : < Tu reviens ? >. Il agitait son sexe dans la direction de la jeune fille. < Oui, bien sûr. Tu aimes ce que je te fais ? > demanda t-elle en lâchant soudain un jet de pisse qui vint éclabousser ses souliers et mouiller le carrelage. Le type regardait, aussi halluciné que moi.

Christine pissait d'un seul jet, long et sonore, tout en bavardant. Une fois terminé, elle vint s'accroupir entre les jambes du type. Il l'attrapa fermement pas ses cheveux. Je pouvais deviner la jeune fille engloutir le sexe mou de l'homme. Je l'entendais gémir avec des intonations de plaisir. Le type la tenait par la nuque, bloquant sa tête. Les coudes posés sur les cuisses de l'homme, Christine pompait sans doute avec force.

Au bout d'un long moment, le type lâcha la jeune fille qui, se retirant, pouvait reprendre une respiration normale. L'homme se leva. Il me tournait le dos. Il saisit à nouveau Christine avec une poigne énergique. Elle en perdit l'équilibre et tomba à genoux. Il lui mit une gifle avant de lui enfoncer son sexe dans la bouche. Je sortais discrètement de ma cachette pour sortir rapidement.

Au bout d'une petite minute, je me mis à tousser fortement. Je montais les trois marches. J'entrais dans les toilettes. Christine, accroupie à côté du type avait le visage contre sa jambe. L'homme la tenait par le menton. < Bonjour ! > me fit-il. < Bonjour ! > fis-je en simulant la surprise. Christine, avec un regard vicieux que je ne lui avais encore jamais vu, me regardait en souriant étrangement.  

Le type maintenait la tête de la jeune fille contre sa cuisse. Des tâches maculaient le tour de sa braguette encore ouverte. Christine m'observait à présent avec un air de défiance. L'homme croyait sans doute que je n'étais qu'un promeneur. < Vous cherchez quelque chose ? > me demanda t-il encore. < Non, non, je suis juste venu visiter les lieux, excusez-moi ! >. Je ressortais.

A présent que je m'étais interdit toute possibilité de retourner me cacher, il ne me restait plus qu'une solution. Me dissimuler derrière le bosquet à une centaine de mètres. Attendre Christine et tenter d'observer avec ma paire de jumelles. De ma nouvelle cachette, je pouvais voir le couple sur le pas de la porte. Christine tenait par le sexe du mec. Lui, la tenait par la nuque. J'étais avec une curieuse sensation.

Le type, entraîna à nouveau Christine dans les toilettes. Avec mes jumelles, je ne pouvais voir que l'homme. Il était debout et bougeait en rythme. Je devinais un genoux de Christine sans doute accroupie. Depuis l'endroit où j'étais, les jumelles arrivaient à peine à percer la pénombre. Je pouvais voir les mouvements brusques du type. Soudain, il entraîna Christine contre lui, la faisant tomber à genoux. Le visage collé contre la braguette de l'homme. Toujours fermement maintenue par les cheveux.

L'homme s'immobilisa. Il devait se lâcher. Il eut plusieurs saccades qui secouèrent tout son corps. Dans la pénombre, je ne pouvais que deviner. Soudain, Christine se dégageant de l'étreinte du type se releva. A toute vitesse elle se mit à courir vers l'extérieur. Je la vis passer près de moi en courant vers la voiture. L'homme, se réajustant, vint sur le pas de la porte. Il cria < Reviens un de ces jours, tu en auras encore ! >.

Je restais encore quelques minutes, le temps de voir le type s'en aller pour contourner le bâtiment. Je rejoignais Christine. Elle était enfermée dans la voiture. Lorsqu'elle me vit elle vint vers moi, les yeux en larmes : < Une vraie ordure ce type. J'ai l'estomac plein de pisse, j'arrive même pas à vomir ! >. Je la consolais. Elle s'était changée mais ses cheveux étaient mouillés. < Demain, tu n'auras qu'une envie, c'est d'y retourner ! > lui fis-je. Elle resta silencieuse, la tête baissée.

Christine avait des hauts le cœur. Des spasmes la secouaient. Elle me fit quelques sourires. Soudain, se précipitant contre un fourré, prenant appui de sa main sur le tronc d'un arbre, elle se mit à vomir. La recherche de ses plaisirs inavouables la poussait à de telles extrémités. Je le lui fit remarquer. < Je vais arrêter, Julien, ça ne convient plus !> me répondit-elle, pâle et livide.

< Nous en reparlerons ! > lui fis-je en lui tendant un rouleau de papier toilette...

 

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28/12/2015

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