L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine en "expédition" - (Episode 6)

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Christine en "expédition" - (Episode 6)

 

 

Nous étions entrain de manger. Il était midi trente. Ce mercredi gris ressemblait aux jours qui l'avaient précédé. Christine évoqua la possibilité de nous rendre dans les environs du mirador. < Tu serais d'accord ? J'y pense depuis lundi soir ! > me fit-elle en me prenant la main. < Depuis la semaine dernière, tu vois, ton désir est revenu, c'est donc avec plaisir ! > lui répondis-je. < Tu es un amour ! > me fit-elle, avant de rajouter : < Je vais me préparer ! >.

Je faisais la vaisselle, je rangeais la cuisine. Christine entra. Vêtue d'une jupe bleue nuit, d'un pull bleu sur un chemisier blanc, chaussée de mocassins à légers talons, je la trouvais magnifique. Je me dépêchais de me changer et je la rejoignais dans le garage. Rapidement nous étions en route. Je conduisais avec prudence. La jeune fille avait sa main gauche sur ma braguette. Sa main droite sous sa jupe.

Nous sommes arrivés pour quatorze heure quinze. Je garais la voiture et je demandais à Christine : < Quand tu rentres des cours, en fin d'après-midi, tu t'arrêtes ici, toute seule ? >. Elle baissa la tête, un peu gênée avant de me fixer, défiante, pour me répondre : < Oui, tous les soirs ! >. Je lui déposais une bise sur le front et je demandais : < Tu vois le type ? >. < Je suis venue le sucer lundi soir ! > me fit-elle, le regard fuyant, avant de rajouter : < Mais je préfère quand tu es caché dans le coin ! Je ne le ferais plus jamais toute seule ! >.

Nous sortons de la voiture. Christine se serre contre moi pour me dire : < Tu es fâché ? Tu m'en veux ? >. Je la rassure. Je lui réponds : < Tu sais que j'adore ton comportement, ça me rend encore plus fou de toi, alors pourquoi t'inquiéter ! >. Elle saute dans mes bras en m'entourant de ses jambes et de ses bras en s'écriant : < Je t'aime, je t'aime, je t'aime, si tu savais ! >. Mon cœur s'en serre encore...

< Tu es partant pour une "surprise" ? > me demanda t-elle, vicelarde, en soulevant sa jupe pour me montrer sa superbe toison pubienne. Ne comprenant pas où elle venait en venir, je gardais le silence et je la regardais se cacher derrière la vieille palissade de bois. Il me fallait aller me poster à un lieu stratégique.

Discrètement je contournais les bosquets d'arbres pour aller me dissimuler derrière les buissons, tout près de la porte des vieilles toilettes.


Lorsque j'étais arrivé, je vis Christine traverser doucement le terrain vague. Elle avançait en scrutant l'autre porte du vieux bâtiment. Le type sortit et vint à la rencontre de la jeune fille. J'avais la paire de jumelles, j'observais avec attention. Le type avait le sexe qui dépassait de sa braguette ouverte.

Arrivée à la hauteur du type, Christine se saisit immédiatement de son sexe. C'est la première fois que je vis ma compagne embrasser longuement un autre homme. En même temps, de sa main, elle le masturbait. L'homme entraîna la jeune fille vers le mur de briques rouges à côté de l'escalier. Contre le mur, Christine à ses côtés, lui tenant le sexe, il se mit à pisser. Un jet jaune foncé et abondant.

Christine, penchée en avant, devait observer de très près. Soudain, je la vis s'accroupir pour s'emparer du membre. A genoux dans l'herbe, je la devinais ce qu'elle faisait. La jeune fille avait laissé ses longs cheveux en liberté. Le type pouvait donc la tenir fermement et la "guider". Cambré contre son visage, sans ménagement, il se masturbait dans la bouche de ma compagne. Elle le tenait par ses hanches.

Au bout d'un moment, la tirant par les cheveux, il la força à se relever. Je scrutais dans mes jumelles, le cœur battant. Christine s'était à nouveau emparé du sexe de l'homme. Il était pourtant toujours aussi mou. Christine m'avait expliqué à quel point elle préférait sucer des sexes mous. < Ils sont toujours tellement plus juteux ! > m'avait-elle précisée à plusieurs reprises.

Une fois encore, Christine se serra contre le type pour l'embrasser. J'en profitais pour entrer rapidement dans l'avant dernier cabinet. Par le trou, je vis arriver le couple. C'est Christine qui tirait l'homme par son sexe. Tout en marchant, il lâchait de petites giclées de pisse. Christine se remit à l'embrasser tout en lui secouant le membre qu'elle tenait à sa base, entre le pouce et l'index.

Dans ma cachette, je me masturbais doucement et en silence. Christine s'était accroupie devant le type pour se remettre à le sucer. Au bout de quelques minutes, elle se redressa. Elle entraîna le type vers l'armoire renversée. Il s'assit, poussé par la jeune fille. Celle-ci, debout, jambes largement écartées se mit à pisser de plusieurs jets, éclaboussant ses chevilles et ses souliers. Le type regardait, comme halluciné.

< Et ma "surprise" ? > demanda Christine au type. < Elle arrive dans deux minutes ! > fit-il en regardant sa montre. Je ne savais absolument pas en quoi consistait cette "surprise". Christine s'accroupit entre les jambes de l'homme. Ce dernier la tenait fermement par les cheveux. Comme pour la retenir prisonnière. Il lui mit une gifle avant de l'embrasser avec fougue.

Soudain, là, dans l'entrée, un autre type arriva. Petit, trapu, chauve, la soixantaine avancée. < Salut la compagnie ! > fit-il en s'approchant. Il tenait son sexe à la main. Une longue saucisse, épaisse et luisante. Il secouait son membre comme une lance, le faisant tournoyer. Il s'approcha du couple. Christine, toujours maintenue fermement fut obligée de se mettre à genoux.

C'était "la surprise"..

 

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18/01/2016

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