L'ECRIT DE JOIE

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Christine et l'inconnu de Montségur (Partie 2)

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                                                     L'inconnu de Montségur - (Partie 2) -

 
De ma cachette, je peux voir que Christine s'est assise sur une des grosses pierres jonchant le sol. L'homme s'est assis également. A environ deux mètres, bien en face de la jeune fille. Son petit chien vient me renifler. Fort heureusement sans aboyer. Je le caresse longuement. Je lui offre quelques biscuits secs tirés de mon petit sac à dos. Rien de tel pour faire "ami" avec un toutou.

Après son repas et après m'avoir remercié d'un coup de langue sur la main, le chiot s'en va fouiner dans les ruines. Avec les jumelles j'observe Christine et l'inconnu. Je vois rire ma compagne. Sans doute que le quidam a les bonnes formules. La conversation plutôt animée dure ainsi un bon quart d'heure. Je vois Christine porter sa main droite devant sa bouche. Plusieurs fois, mimant avec vulgarité une pipe, la joue déformée de l'intérieur par la bosse qu'y fait sa langue, elle parle en riant.

Je vois l'inconnu rire aux éclats à l'écoute de ce que lui raconte la jeune fille. Celle-ci, à quelques reprises, portant la main devant son sexe, mime une masturbation masculine. Tout cela dans le flot d'une conversation dont je ne perçois rien. Elle me racontera. Le quidam se tord de rire. Décidément c'est la première fois que j'assiste à une telle dérision. Etonnante Christine. Comme tu me manques !

Christine, pointant une nouvelle fois son index vers la braguette de l'homme, avec insistance et plusieurs fois, semble exiger quelque chose. L'homme, toujours assis, regardant partout autour de lui, se raidit. Portant la main à sa braguette, il en extirpe son sexe. Long, fin et mou. Un sexe qui pend dans sa main droite. Christine, portant la main à sa bouche, excellente comédienne, tout en riant, feint la surprise. Alors qu'elle n'attend que "ça" !

Le type agite son membre long et mou. Un peu comme un serpent. Je regarde ce "truc" avec mes jumelles. Son prépuce fripé semble anormalement "long". Je regarde Christine qui continue à bavarder tout en appuyant ses propos de gestes obscènes. L'inconnu montre le cabanon de son doigt. Je comprends qu'il invite Christine à se rendre derrière cet abri. Je commence à paniquer un petit peu.

Dans le mur, derrière eux, il y a une sorte de renflement qui évoque une porte murée. Même si cela ne protège pas vraiment du regard au moins cela laisse le temps de donner le change et de se réajuster. Christine, en vraie vicelarde, l'a repéré bien avant moi. Elle se lève. D'un geste de l'index elle invite le type à la suivre. Quelques mètres. Elle propose certainement à l'inconnu de s'assoir sur la grosse pierre.

Une fois le type installé, le dos appuyé contre le mur, Christine s'assoit au sol entre les jambes du mec. Ce dernier écarte les pans de son manteau. Je peux donc parfaitement observer tout ce qui se passe. L'inconnu agite son sexe sous le nez de la jeune fille. Elle scrute avec attention. Puis, rapprochant son visage, elle se laisse saisir par les cheveux. Christine renifle ce sexe avec une concentration curieuse.

Au bout d'un petit moment Christine lèche la peau du prépuce. Avec la langue elle essaie d'entrer dans l'orifice fripé. Le type doit lui raconter de curieuses choses car elle se redresse pour sourire. L'inconnu lâche ses cheveux. Elle est donc libre de ses mouvements. Inclinant la tête afin de pouvoir se saisir du sexe mou qui pend vers le bas, elle le prend en bouche.

Elle reste ainsi sans bouger, fixant le type dans les yeux, avec son regard de vicelarde. Puis je vois ses joues se creuser. Elle commence sa pipe avec le plaisir que je devine. Le quidam doit continuer à lui raconter des "trucs" car je vois l'expression amusée dans les yeux de Christine. Avec les jumelles, c'est comme si j'étais à trois mètres. Ma compagne m'offre encore un de ses superbes shows.

Les yeux à présent fermés, suçant avec gourmandise, Christine est concentrée sur sa fellation. Régulièrement, je la vois déglutir en ne gardant que l'extrémité du prépuce en bouche. Ce prépuce qui n'est pas sans évoquer une sorte de chewing-gum s'étirant sur une incroyable longueur. Christine le maintient d'ailleurs serré entre ses lèvres. Elle s'avance à nouveau pour en mettre une plus grande partie en bouche. Le type ne semble pas bander vraiment. Il ne semble pas jouir particulièrement. Etrange.

Quand elle retire sa bouche pour déglutir, je discerne la blancheur filamenteuse qui lie les lèvres de Christine au sexe de l'inconnu. Il en "bave" comme j'ai rarement vu ! Christine happe cette substance crémeuse et épaisse avec des mouvements de tête. Le type, invariablement, lui raconte des "choses" qui doivent beaucoup l'amuser. J'apprenais par la suite les cochonneries qu'il lui racontait là.

Je vois l'expression de ravissement extrême sur le visage de Christine. Je l'ai rarement vu pomper avec tant d'enthousiasme. Elle déguste en riant. Alternant pompage et léchage. Déglutissant de façon presque régulière. Lorsqu'elle reste immobile, le sexe bien enfoncé dans la bouche, je devine les montées de jus. Elle me fait la même chose et j'imagine très bien le plaisir que doit éprouver le quidam.

Je scrute les alentours. Il n'y a personne. Même le petit chien a disparu. Cela fait bien une demi heure que le type se fait pomper. Curieusement, soudain, il prend Christine délicatement par la tête. Il retire son sexe de sa bouche. Il se lève. Parlant avec une certaine nervosité, il montre à plusieurs reprises la montre à son poignet. Christine s'est relevée à son tour. Elle écoute avec attention. Ils se remettent à discuter avec une certaine animation. De sa poche, il sort une carte qu'il remet à la jeune fille.

Doucement, Christine et l'inconnu se dirigent vers la poterne d'entrée. J'entends le type appeler son chien. << César ! >>. C'est le nom du clébard. Christine, jamais à court d'arguments pour se tirer d'une situation "spéciale", laisse partir le quidam. Elle reste un moment à l'entrée du château. Une fois rassurée, ayant vu descendre l'inconnu, elle vient vers moi pour me raconter. Elle a du sperme sur le menton, dans les cheveux et sur le haut de son pull.

Christine me fait un topo détaillé. Le type est veuf. Il vit avec sa fille de dix huit ans dans une ferme distante de quelques kilomètres. Il vient régulièrement promener son chien ici. Il faut absolument qu'il parte. Il est déjà en retard. Il invite Christine à passer dans l'après-midi. Elle peut venir avec son mari ! Il est désireux de recommencer et même de la baiser. Il a cinquante six ans et n'a plus eu de relations sexuelles depuis treize ans !

Christine me demande ce que j'en pense. Je lui conseille de suivre ses désirs. Toujours désireuses de profiter des situations "glauques", Christine me fait savoir qu'elle a vraiment envie de baiser avec ce type. Elle n'a jamais sucé autant de jute sans éjaculation. Ce mec qui la faisait rire avec des histoires vicelardes n'a même pas éjaculé.

<< De plus, le goût de ses sécrétions est tellement dégueulasse que j'en suis folle d'excitation ! >> me fait elle. Je lui conseille de téléphoner. Dès la fin du repas de midi pour nous rendre à la ferme le plus tôt possible. Après confirmation bien sûre. Durant la descente et tout le repas Christine me fait part de toutes les saloperies que lui a raconté l'inconnu de Montségur.

Nous passons à la chambre afin que Christine mette sa tenue "de combat". Jupe, bas, chemisier, pull, escarpins noirs et fermés, talons hauts. Ses escarpins dotés d'une fine sangle qui entoure délicatement les chevilles. Souliers qu'elle peut garder en toutes situations sans les perdre. Ma compagne a une telle envie de baiser qu'elle n'arrête pas de se toucher dans la voiture. Me suçant pendant que je conduis...

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05/03/2015

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