L'ECRIT DE JOIE

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Christine et l'inconnu de Montségur (partie 4)

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                                                       L'inconnu de Montségur - (Partie 4) -

 

Christine et moi étions partis dès le matin. Pour midi, nous sommes allés manger dans un petit restaurant de Foix. Il nous fallait refaire la route afin d'être chez Pierre pour quatorze heure trente. Ma compagne n'arrêtait pas de me parler de son expérience avec l'inconnu de Montségur. < Sa bite ! Sa bite ! Elle n'arrête pas de couler ! Elle est juteuse ! C'est fou > n'arrêtait-elle pas de me répéter.

 

Nous arrivâmes chez Pierre pour l'horaire fixé. L'inconnu de Montségur, qui ne l'était plus vraiment, vint nous accueillir dans la cour. Christine était vêtue comme hier. Nous entrâmes dans la maison. Pierre nous prépara le café. Nous restâmes à bavarder une demi-heure. Puis, je prétextais ce désir d'aller parcourir les environs sur "Greg", le fameux cheval. < Lise ne pourra pas venir avec vous, elle a dû se rendre chez une copine. Elle ne sera pas de retour avant seize heure ! > me fit Pierre.

 

Il était quinze heure. Nous nous rendîmes tous les trois à l'écurie. Pierre mis à ma disposition une selle. Je préparais donc "Greg" qui, en cheval docile, se laissa faire sans bouger. Nous nous étions entendus avec Christine sur le scénario. Elle resterait dans l'écurie quoi qu'il arrive afin que, dissimulé, je puise, par la petite lucarne, l'admirer une fois encore.

 

Je sortis de l'écurie en tenant "Greg" pas sa longe. < Je serais de retour d'ici une heure ! > fis-je en montant sur le cheval. < Prenez votre temps et bonne promenade ! > me fit Pierre. Je parcourais environ trois cent mètres sur le chemin qui partait vers la montagne. Là, j'attachais soigneusement "Greg" en lui laissant beaucoup de longueur. Il pourrait se régaler de l'herbe déjà verte et grasse du lieu. Discrètement, en faisant un détour, afin de rester caché par les bosquets, je revins derrière l'écurie. Là, depuis la petite lucarne, je pourrais observer tout à ma guise.

 

Christine était à genoux devant Pierre. Celui-ci, cambré en avant, les mains en appuis sur un des ballots de paille derrière lui, se faisait sucer. Comme je l'avais vu faire hier, il racontait des choses qui amusaient ma compagne. Cette dernière se régalait. Pierre avait un sexe long et fin. Curieusement, il était impossible de savoir s'il était en érection. Son membre restant constamment courbé vers le bas. Lorsque Christine le lâchait, du jus lui coulait sur le menton. C'est vrai que Pierre était 'juteux".

 

La jeune fille le suçait avec un plaisir évident. Derrière le mur, depuis ma cachette, par la lucarne, je regardais avec attention. M'étant assuré d'être seul, je sortais mon sexe pour me masturber. Cela dura ainsi un long moment. J'admirais Christine et la fellation qu'elle offrait à ce type m'excitait considérablement. Je me gardais d'éjaculer car, ce soir, ce serait mon tour. Je surmontais facilement à cette idée.

 

A présent, Christine s'était relevée. Pierre essaya une nouvelle fois de l'embrasser. La seule chose que Christine refusait avec n'importe qui d'autre que moi. Pierre la poussa assez vivement sur les ballots de paille. Il déplia un plaid et invita ma compagne à se coucher dessus. Cette dernière ne se fit pas prier. Couchée sur le dos, jambes écartées et relevées, je la voyais, bouche ouverte, vicelarde, entrain de s'offrir. Pierre s'avança et s'introduisit dans la fille.

 

Christine referma ses jambes sur les fesses de pierre. Chaussée de ses escarpins noirs, fermés, à talons hauts, retenues par de fines sangles enserrant ses chevilles, je la trouvais hyper excitante. C'étaient ses "souliers-de-baise" comme elle aimait à les nommer. Et là, elle se faisait baiser de la plus belle façon. Pierre se secouait dans la fille comme un dément. Il était debout. Elle était couché. Malgré la fenêtre, j'entendais crier Christine. Il la tenait par les mollets.

 

Je me masturbais doucement en regardant ce merveilleux spectacle. Soudain, là, sur ma droite, j'entendis la voix de Lise < Carrément ! Non mais ça vous excite de voir mon père baiser votre femme ? >. Je rentrais rapidement mon sexe dans mon pantalon. Terriblement gêné, je répondit, bêtement : < Oh pardon, excusez-moi ! Vraiment ! Je croyais être seul ! >. Lise me toisa avec sévérité et me fit : < J'ai vu "Greg" attaché à son arbre, je me suis demandée ce qui se passait ! J'ai compris ! >

 

A son tour, elle se pencha vers la lucarne. < Moi, je regarde depuis le "trou" ! > me fit-elle. < Le "trou" ? > demandais-je, toujours aussi "crétin". < Oui, venez voir ! > me dit-elle en me faisant signe de la suivre. Nous avons contourné le mur pour nous retrouver devant deux larges planches qui fermaient une ancienne porte. Là, à un mètre du sol, il y avait un trou de quelques centimètres de diamètre. < Regardez ! > me fit-elle. Je me penchais pour regarder. Je voyais Christine qui se faisait baiser à la "sauvage". Elle continuait de pousser de petits cris.

 

< C'est là que mon père baise la vétérinaire lorqu'elle vient pour les bêtes ! > me fit Lise. < Et vous venez mâter ? > lui demandais-je. < Oui, bien sûr, chaque fois ! >. Je restais pantois. Ne sachant quoi dire devant de tels aveux. < On ne peut pas regarder à deux ! > lui fis-je encore. < Ouai, venez, on va mâter par la lucarne ! > me répondit-elle, espiègle et entreprenante.

 

Là, Lise et moi, nos visages à quelques centimètres l'un de l'autre, nous regardions l'étonnant spectacle. J'entendais la respiration de la jeune fille. < Qu'est-ce qu'il lui "met" ! Vous allez voir, après il va la retourner et il voudra l'enculer !> fit-elle encore avant de rajouter < Elle aime "ça" au moins ? > me demanda la vicieuse. < Non, pas vraiment ! > répondis-je. Elle me poussa du coude et me fit : < Il va lui faire aimer ! >. Je restais consterné par les évènements que j'étais entrain de vivre...

 

< Et, ça fait longtemps que tu regardes ton père baiser ? > lui demandais-je. < Oui, depuis longtemps. Depuis que maman n'est plus là, pour lui c'est difficile ! > me répondit-elle avant de rajouter :< Et toi, ta femme, elle se fait baiser par beaucoup de mecs ? >. Je lui fis : < Non, en général elle préfère les pipes ! >. < Comme je la comprends ! > fit-elle en gloussant !

 

< Tu permets que je me branle en regardant ma femme ? > lui demandais-je en ouvrant ma braguette. < Mais je t'en prie, ne te gêne pas, je fais pareil quand je mâte ! > me répondit-elle en fourrant sa main dans son pantalon. Nous regardions tous les deux. Christine était à quatre pattes et Pierre la lêchait. Je n'avais jamais vu ma compagne prendre autant de plaisir avec un autre.

 

Pierre, saisissant Christine par les hanches, la fit tomber sur le ventre. Il l'attira à lui de façon à lui faire mettre les pieds au sol devant le ballot de paille. Ma compagne se laissa faire. Lui écartant les fesses, il cracha avant de tenter de s'y introduire. Christine se retira vigoureusement en criant < Non ! Pas "ça" ! >. Pierre la maintenait fermement. Pour Christine, il était impossible de se dégager. L'homme la pénétra d'un coup sec. Christine, rejetant sa tête en arrière, fouettant de ses cheveux le visage de l'empaleur, hurla en tentant de se débattre.

 

< Tu as vu, je te l'avais dit, il l'encule ! Il va lui casser le cul ! > me fit Lise...

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06/03/2015

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