L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine et l'inconnu de Montségur (partie 5)

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                                                            L'inconnu de Montségur - (Partie 5) -

 

Christine, se mordant les lèvres, se tortillait. Elle tenta à plusieurs reprises de se défaire de l'emprise de Pierre qui la maintenait avec fermeté. Si je n'avais pas été avec Lise, à observer la scène, je serais intervenu. A présent, nous pouvions entendre Christine hurler. Je la voyais me chercher du regard. Elle fixait la lucarne avec des yeux implorant. Des larmes coulaient sur ses joues. < Laisse-là ! Elle l'a bien cherché ! > me fit Lise en me tenant fermement par le bras.

 

Pierre cessa de bouger. Cela calma Christine qui, en appui sur les mains, soufflait avec force. L'homme se retira doucement. Christine tomba à genoux en s'essuyant le visage. Pierre la saisissant par les cheveux, sans ménagement, la fit se relever. Je pouvais le voir lui murmurer quelque chose. Soudain, sans qu'elle ne s'y attende, elle se ramassa une gifle. Du plat de sa main, Pierre la gifla une seconde fois avant qu'elle n'est le temps de réagir. 

 

Christine, ayant repris ses esprits gifla l'homme à son tour. Celui-ci lui passa la main entre les cuisses. Ecartant ses jambes, elle se laissa faire. Pierre la soulevant, la jeta sans ménagement sur le ballot de paille. Une fois encore, il la pénétra. En appui sur ses coudes, la tête rejetée en arrière, la fille se mit à secouer son bassin en poussant des cris intenses. Jamais je ne l'avais vu se livrer ainsi à un autre homme.

 

Je me masturbais d'un mouvement rapide et régulier. Lise ne regardait plus par la lucarne mais elle m'observait. < Ta femme se fait baiser et toi tu te branles ! Tu ne préfères pas la baiser, toi-même ? > me fit la jeune fille. < Ne t'inquiètes pas, je la baise comme un fou et souvent ! > Lui répondis-je en me maîtrisant pour ne pas éjaculer. < Et toi, qui c'est qui, qui te baise ? > lui demandais-je encore en la regardant agiter sa main dans son pantalon. < Personne ! > me répondit-elle, soudain hautaine.

 

Je regardais par la Lucarne. Christine continuait à agiter son bassin au rythme du type. Ses jambes passées autour des hanches de l'homme. Elle le regardait avec un air de défi. Ce dernier lui mit une nouvelle gifle. Elle détourna la tête tout en accélérant le mouvement. Soudain, la jeune fille se cambra et cessa de bouger. Elle eut une série d'orgasmes. Elle se retira rapidement pour lâcher un puissant jet de pisse. Je savais qu'en jouissant elle faisait toujours "ça". Pierre, lui, ne s'y attendait pas. Il se retrouva trempé.

 

Christine en profita pour se relever. Pierre l'attrapa par les cheveux pour la forcer à se coucher au sol. Il s'allongea de manière à enfoncer son sexe dans la bouche de ma compagne. < Et "ça", tu la déjà fait ? > demandais-je à Lise lui montrant ce qui se passait. < Jamais à un mec ! > me fit-elle, espiègle. Soudain, Lise eut plusieurs spasmes. Elle connaissait l'orgasme. < Wouah, ça n'a jamais été aussi bon ! > fit-elle en me regardant avec insistance.

 

Nous observions par la lucarne. Pierre s'était relevé. Christine se réajustait. Nous avions raté un épisode. Plus tard, dans la soirée, Christine me m'apprit qu'elle ne savait pas si le type avait éjaculé car il "coulait" et se "vidait" sans arrêt ! c'est à ce moment que j'entrais dans l'écurie. < Alors, cette promenade ? > me demanda Pierre. < J'ai rencontré Lise qui s'occupe du cheval ! > fis-je.

 

Pierre nous invita à boire le café dans la maison. Christine déclina l'offre en prétextant qu'il nous fallait rentrer pour honorer notre invitation. Pierre proposa de repasser demain si nous le désirions. A ce moment Lise revint en tenant "Greg" par sa longe. Christine demanda à passer à la salle de bain avant de partir. Je regardais la chemise trempée de l'homme qui me fit : < Un accident de robinet ! >.

 

Une fois dans la voiture Christine me fit : < Mais tu étais où ? Tu faisais quoi ? Ce type m'a fait mal et tu sais que je déteste me faire enculer ! >. Je lui expliquais que j'étais avec Lise. Je la rassurais en lui racontant tout le déroulement de nos activités voyeuristes et masturbatoires. Elle posa sa tête sur mon épaule. Je lui demandais : < Et alors ? >. Elle me fit : < Demain j'y retourne, tu es d'accord ? >. < Pas de soucis ! > fis-je. < Sa bite, est bonne, si tu savais ! > me fit-elle encore.

 

< Décidément, tu es insatiable ! > lui fis-je. Elle se mit à rire. Dans le rétroviseur je regardais son visage. Christine paraîssait épuisée. Des poches sous ses yeux humides. Les joues rougies par les glfles. Décoiffée. Je l'avais rarement vue ainsi.  Elle me fit : < Oui, ce type me rend folle. Je ne sais pas pourquoi. En tous cas, si tu le veux bien, demain je retourne le voir ! >. < Tu vas t'en prendre encore ! > lui fis-je. En riant elle me murmura : < Je l'espère !  C'est pour ça que je veux le revoir ! >.

 

Le soir, dans la chambre, avant de s'endormir, épuisée, Christine me fit une pipe en pleurant de plaisir et de reconnaissance. Elle s'endormit bien avant de me "finir". Je l'observais, si belle, si radieuse. quel heureux privilégié j'étais...

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06/03/2015

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