L'ECRIT DE JOIE

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Christine et l'inconnu de Montségur (partie 6)

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                                                       L'inconnu de Montségur - (Partie 6) -

 

Durant notre randonnée du matin, souvent Christine évoquait les évènements de ces derniers jours. Nous étions au quatrième jour de notre semaine de vacances dans l'Arriège. Ce séjour fut plutôt agréable tout en étant insolite. Les situations rencontrées étaient sans réelles précédentes. La rencontre avec Pierre, lundi matin, et la "scéance" dans l'écurie hier après-midi se déroulaient dans un climat particulier.

 

Durant toute la durée de notre séjour, le ciel présentait un gris lumineux et il régnait constamment cette étonnante douceur. Ce matin, nous étions allés visiter l'hermitage des gorges de Galamus, dans le département voisin de l'Aude. Une découverte extraordinaire. Une petite route en surplomb d'une vallée vertigineuse au fond de laquelle coulait l'Agly, la "rivière des Aigles".

 

Vers midi, nous reprenions le chemin du retour. Nous voulions manger tranquillement avant de retourner à la ferme, chez Pierre. A cet effet, dans la glacière que nous avions dans la voiture, nous avions tout préparé. Arrivés à proximité de la propriété, nous arrêtâmes la voiture dans un petit chemin creux afin de déguster notre repas. Crudités, salades de pâtes et fromages nous régalèrent largement.

 

Pour quatorze heure trente, nous arrivâmes dans la cour de la ferme. Lise s'occupait de deux chevaux. Je reconnu "Greg" et "Oscar". Les deux magnifiques chevaux, portant leur selle, buvaient dans dans des seaux en metal. Je garais la voiture. Presque de suite, Pierre vint nous saluer. Il nous invita à entrer dans la maison. Là, une forte odeur de café flottait dans les airs.

 

< Lise pourra vous accompagner cet après-midi ! > me fit Pierre. Lise vint nous rejoindre pour s'asseoir avec nous. Elle me regardait d'une curieuse façon. J'avais l'impression d'être "scruté" soigneusement. Un regard souvent par "en-dessous". Christine prétendait se réjouir pour la suite de la découverte des livres d'Art. Donnant le change. En fait, le seul à ignorer la complicité évidente entre Christine, Lise et moi, était Pierre...

 

Vers quinze heure, Lise me fit : < Si vous êtes "chaud" on peut partir avec les chevaux ? >. Je me levais. Lise m'invita à la suivre. Je fis la bise à Christine en lui disant : < Je serais de retour pour dix sept heure !>. Une fois dans la cour, Lise me fit : < Eh bien ! Elle en veut ta femme ! Bravo ! On va mettre les chevaux au pré du cabanon et on revient mâter, ok ? >. Je regardais cette toute jeune fille de dix huit ans me parler ainsi. Dix huit ans et deux mois.

 

Le pré du cabanon était situé un peu plus loin que l'endroit où j'avais attaché le cheval hier. L'enclos, plus vaste, permettait aux chevaux d'évoluer en parfaite liberté. C'était mieux. Lise et moi, arrivés derrière l'écurie, avec une prudence de sioux, nous nous approchâmes de la lucarne. Nous haussant, nous regardâmes à l'intérieur.

 

Pierre était debout entrain d'attacher le second poignet de Christine à une poutre du plafond. Celle-ci, vêtue comme hier, d'une jupe, d'un pull et  chaussée de ses "souliers de baise" avait une boule de caoutchouc noir dans la bouche. Une boule maintenue par une sangle qui lui enserrait la tête. Une barre de métal, d'environ un mètre, fixée à ses chevilles, l'obligeait à garder les jambes largement écartées.

 

Lorsque les mains de la jeune fille furent fixées, Pierre, s'éloignant, s'assit sur un tabouret pour observer. Christine, le regard interrogateur restait immobile. Lise me fit : < Il fait "ça" à la véto et à une meuf qui vient de Toulouse une fois par semaine ! >. Je répondis : < Et toi tu viens mâter, c'est "ça" ? >. Lise, effrontée me dit encore : < Ouai, quand je suis là. J'adore voir ces trucs-là ! >.

 

Pierre se leva. Il s'approcha de la jeune fille pour lui passer la main sous la jupe. Je pouvais voir Christine, la tête rejetée en arrière, les yeux fermés, qui n'avait d'autres choix, tout à fait volontaire, que de subir la caresse. L'homme passa derrière elle. Se mettant à genoux, la tête sous sa jupe, il "brouttait". Une main passant par l'avant Pierre devait stimuler le clitoris de ma compagne.

 

Les chevaux, dans leurs box, semblaient "comprendre" ce qui se passait. Ils observaient. Au bout d'une dizaine de minutes, Pierre se redressa. Christine, ruisselant de sueur, du coin de l'oeil, surveillait les agissements de son "tourmenteur". L'homme prit un escabeau. Il le plaça devant la jeune fille. Il monta les marches afin de placer sa braguette à la hauteur de son visage. Là, il ouvrit son pantalon.

 

Une fois encore, je pouvais voir ce sexe long et fin qui ne semblait jamais être en réelle érection. Il ne pointait jamais vers le haut. Lise me fit : < Il va lui faire bouffer sa bite, il adore "ça" ! >. < Elle aussi ! > répondis-je. Lise avait mis sa main dans son pantalon. Je sortais ma turgescence pour me masturber doucement. Lise me fit encore : < Et toi ? Tu aimes te faire sucer ? >. Je fis : < Moi ? Mais j'adore, c'est ma préférence ! Tu n'imagines même pas ! >.

 

Pierre avait retiré la boule de caoutchouc, dégoulinante de salive, de la bouche de Christine. Le menton de la jeune fille et le haut de son pull étaient mouillés de salive. L'homme lui passait son sexe sur le visage. Christine, les yeux fermés se laissait faire avec le plaisir que je savais. Le sexe de Pierre dégoulinait déjà. Comme me l'avait confirmé ma compagne, il secrétait du jus sans arrêt.

 

Au bout de quelques minutes, l'homme enfonça son sexe dans la bouche de la fille. Je pouvais voir l'expression d'intense plaisir sur les traits du visage de ma compagne. Les joues creusées, elle suçotait avec délice. Je pouvais la voir déglutir presque sans arrêt. Parfois, avançant le visage, elle prenait le maximum en bouche et restait concentrée, parfaitement immobile. Christine se régalait.

 

Régulièrement, Pierre retirait son membre de la bouche de Christine. Cette dernière tentait de le garder le plus longtemps possible en avançant sa tête jusqu'à l'extrême limite que lui permettait ses liens. De longs filaments épais et visqueux liaient sa bouche au sexe de l'homme. Lise me fit : < Elle se régale, regarde un peu. Elles se régalent toutes lorsqu'il leur fait "ça" ! >.

 

Soudain, Pierre lâcha un long jet de pisse. Christine, surprise, détourna la tête. Cela eut pour effet de lui mouiller les cheveux sur tout le côté gauche. Puis, la saisissant par la tête, il lui enfonça une nouvelle fois son membre dans la bouche. D'une main, il maintenait la tête de la jeune fille, de l'autre, il tenait son sexe. A observer la façon de déglutir qu'avait Christine, nul doute que le bougre était entrain de pisser.

 

Lorsqu'il retira à nouveau son sexe, de longs filaments jaunâtres vinrent s'écouler sur le menton et le pull de Christine. Elle avait la bouche ouverte, le visage projeté en avant, désireuse d'en avoir encore. Le type pissa une nouvelle fois. Un dernier jet tout en enfonçant à nouveau son membre. La jeune fille pompait avec avidité. Lise me fit : < Plus c'est dégueulasse, plus c'est excitant ! >. je ne savais quoi répondre. Je tournais la tête pour regarder sa main s'agitter dans son pantalon.

 

Au bout d'une bonne demi heure de cette "soupe", Pierre redescendit les marches de l'escabeau. Christine avait le visage trempé. Le haut de son pull, sur ses seins, était maculé de taches et de coulures. Pierre vint se placer contre la jeune fille. Prenant appui de ses mains, derrière lui, toujours sur l'escabeau, il se mit à se frotter contre elle. Puis, au bout de quelques minutes, se mettant sur son côté, il enserra ma compagne entre ses cuisses. Il se masturba ainsi longuement contre sa hanche.

 

Il était déjà seize heure trente. Nous étions, Lise et moi, censés de revenir pour dix sept heure. Et nous étions là, entrain de nous masturber en regardant...

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07/03/2015

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