L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine et moi devant sa collègue (Partie 1)

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                                                 Christine me suce devant sa collègue - (Partie 1) -

 

Christine a une collègue qui vient quelques fois manger à la maison. Clarisse est une jeune fille très sympathique. Cela fait deux ans que Christine vante ses mérites en tant que professeur. Toujours disponible. Toujours pleine d'initiative. Avec de sérieux talents de pédagogue. Lorsqu'elle vient à la maison c'est la plupart du temps pour travailler avec ma compagne. Souvent, pendant ce temps, je prépare un délicieux repas.

Ce vendredi soir de mai 1997, Clarisse est venue à la maison vers dix sept heures trente. Christine et elle sont arrivées ensembles. Pour la fête de fin d'année scolaire les deux filles réalisent un projet commun. Nous sommes donc tous les trois à travailler dans l'atelier. Clarisse est une jeune fille plutôt simple. Du même âge que ma compagne. Elle porte ses vingt sept ans avec un certain bonheur. Filiforme, le plus souvent vêtue d'un jeans, d'un sweat-shirt, Clarisse a presque toujours ses longs cheveux châtains attachés en catogan. Dune beauté discrète et réservée.

Sur la table de l'atelier les filles ont déroulé de grandes feuilles de papier coloré. Elles découpent tout en parlant de leur projet. Moi, concentré sur ma toile, je peins sans trop faire attention aux chuchotements derrière moi. De temps en temps, Christine vient me déposer une bise ou me glisser un mot à l'oreille. Comme souvent elle me touche le sexe au travers le tissus de ma blouse, de mon pantalon. Puis elle retourne à son occupation.

Tout en peignant je propose à Clarisse de partager notre repas du soir. Elle accepte avec ravissement. Elle connait mes talents de cuisinier. C'est nous qui lui avons fait découvrir les recettes à tendances végétariennes et les aliments biologiques. Il est dix neuf heures quinze. Je cesse mon travail. Je file à la cuisine en proposant de prendre le repas pour vingt heures. Je me réjouis toujours avant de m'atteler à cette activité culinaire. C'est un tel plaisir.

Ce soir je prépare des pommes de terre farcies au millet. Je prends donc trois grosses pommes de terre que j'évide avec soin. Je fais bouillir quatre volumes d'eau pour y rajouter un volume de millet, un oignon et de l'ail finement émincés. Du basilic, du persil et de la ciboulette finement hachés. Le millet gonfle rapidement. Une fois cuit, je le verse dans un saladier afin d'y mélanger un œuf, un demi verre de lait de soja et du parmesan râpé. Je rajoute du poivre noir et du sel de Guérande gris.

Christine arrive sur la pointe des pieds sans que je l'entende. Derrière moi, pendant que je remplis les patates, elle m'attrape par le sexe. Elle m'ouvre le pantalon afin d'en extraire notre "jouet". Elle se met à me masturber doucement en regardant ce que je suis entrain de préparer. Elle connait bien ma recette. Plutôt pressée de passer à table. Je place le "couvercle" sur les pommes de terre et je les dispose dans un plat en terre cuite. Soudain, dans l'encadrement de la porte de la cuisine, Clarisse. En nous voyant elle devient toute rouge et s'en trouve considérablement gênée. Je range mon sexe en toussotant. Christine entraîne Clarisse vers l'atelier.

Autour des pommes de terre, je dispose de fines rondelles de tomates, de la ciboulette, du persil, une échalote et une gousse d'ail finement hachés. Je saupoudre de gruyère râpé. Je mets le tout au four pour une cuisson de vingt cinq minutes. A 250°. Pendant ce temps, je prépare la salade d'endives. Christine revient me voir. Seule. Elle me fait un clin d'œil en me précisant que ce qu'a vu Clarisse l'a beaucoup amusé. Curieusement, dans l'instant, une grande feuille et des ciseaux dans les mains, Clarisse vient nous rejoindre à la cuisine. Elle me regarde avec un curieux regard par en-dessous. Elle affiche un sourire évocateur.

Les deux filles s'en retournent terminer leur ouvrage. Dans l'assaisonnement, huile d'olive et moutarde à l'ancienne, je dispose une fine gousse d'ail, un tout petit oignon saucier finement coupés. Quelques olives noires à "la grecque" que je dénoyaute. J'y rajoute les endives tranchées. Je remue et je saupoudre de levure diététique en paillettes. Une pincée de sel. Je prépare la table. Je débouche une de ces bouteilles d'un délicieux jus de mangue de la Biocoop. Je vais chercher les filles...

Le repas est apprécié à sa juste valeur. Clarisse, avec cette curieuse attitude qu'elle garde durant tout le repas, me félicite chaleureusement. Christine, espiègle et facétieuse, précise que son dessert préféré sera pris au salon. Que dans cette attente elle se contente d'une coupe glacée. Je ne capte pas immédiatement le sous-entendu. Elle aime préparer les desserts. Ma compagne prépare trois coupes emplies de grosses boules de glace. Vanille, pistache et pralin. Tout le temps que nous restons encore à table, fusent des plaisanteries sur la glace à "deux boules". Plaisanteries fines mais jamais lourdes.

Après le repas nous nous installons au salon afin d'y prendre un bon café. Là, sur le canapé, effrontément, Christine me met la main au "paquet". Clarisse m'observe en riant. Ma compagne m'ouvre la braguette. Je suis assez mal à l'aise. D'être assis là, le sexe dressé, devant une autre personne que je ne connais que très peu. Je sais que Christine raconte certaines de nos "aventures" à Clarisse. Elle me l'a déjà dit mais je n'y ai jamais vraiment prêté attention. Là, j'en prends toute la mesure. Les deux filles ont fait leurs études ensemble. A présent dans le même lycée, elles sont restées complices.

Christine agite mon sexe en le tenant par la base. Clarisse sourit en observant la scène avec une attention étonnante. Christine, s'allongeant sur le côté, pose sa tête sur ma cuisse. << La glace à "deux boules" ? >> fait Clarisse avec une espièglerie que je ne lui connais pas. Christine fouille dans mon pantalon pour en sortir "les boules". Tout cela me procure un mélange de gêne et d'excitation. Je n'en mène pas large. Malgré la douceur de ce mois de mai je suis agité de frissons.

Christine se met à me sucer. Clarisse s'installe confortablement dans son fauteuil. Le bras relevé et le menton posé sur sa main fermée elle me fixe comme elle ne l'a jamais fait. Je soutiens son regard. C'est à la limite du supportable car terriblement excitant. Christine, se relevant régulièrement, commente ce qui se passe. Clarisse éclate de rire. Dès que ma compagne reprend sa fellation, Clarisse et moi nous recommençons à nous fixer. C'est divin...

Les choses perdurent ainsi depuis un bon moment. Clarisse a passé sa main gauche entre ses cuisses croisées. Elle reste toutefois sans bouger. Je lui fais un clin d'œil. Elle me fait un sourire terriblement évocateur. Je prends les cheveux de Christine. J'imprime à sa tête un mouvement de va et vient. Je fixe Clarisse qui baisse souvent les yeux, comme gênée. Christine adore être "guidée". Elle se met à gémir. Je suis très excité. Ma production de liquide séminal oblige ma compagne à de fréquentes déglutitions. Clarisse observe comme hallucinée.

Au bout d'une bonne demi heure j'éjacule comme un bienheureux. Clarisse, à ce moment précis, en observant les très discrètes secousses de mon bassin, comprend ce qui se passe. Deux spasmes qui agitent son corps. Elle a beau essayer de le dissimuler, j'ai vu. Elle ouvre la bouche comme pour reprendre sa respiration. Je lui fais un nouveau clin d'œil. Surprise. Elle fait pareil. Christine repart pour le second tour. Je la prends par les cheveux pour la redresser. Je précise que nous avons une invitée. Qu'il faudrait peut-être s'en occuper...

Il est vingt deux heures. Clarisse propose de nous laisser. Elle se lève pour se saisir de son sac à main. Christine se redresse complètement. Nous raccompagnons Clarisse jusqu'à sa voiture. Elle revient demain après-midi, samedi, pour terminer les travaux de préparation. La fête du lycée. Je propose le repas du soir en commun. Ce qui est accepté avec un apparent plaisir prometteur. Nous regardons la voiture disparaître dans la nuit. Christine se met contre moi pour me dire : << Comme c'était bon, mhhhh ! >>.

Une fois dans la salle de bain, Christine et moi, nous procédons à nos toilettes du soir. Elle me fait : << Demain je te suce devant Clarisse une nouvelle fois ! Elle n'a jamais fait "ça". Je sais que cela la trouble agréablement. Tu veux ? >>. Je regarde ma coquine avec amour en lui disant : << Ce que femme veut, Dieu le veut ! >>. Christine éclate de rire avant de répondre : << Laissons cet individu en dehors de nos belles histoires ! >>...


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22/02/2015

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