L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine et moi en bicyclette

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                                                       Christine me suce au bord de la route

Toujours en cette époque, les années quatre vingt dix, avec ma délicieuse compagne, Christine, nous aimons à nous promener à bicyclette. Nous avons une préférence pour ces petites routes peu fréquentées que nous aimons à parcourir en soirée. Lors de ces magnifiques soirées d'été, entre la mi juin et la mi septembre, quand nous ne sommes pas en vacances, nous randonnons à vélo pour notre plus grand plaisir.

Parfois, lorsque notre libido nous démange, nous faisons alors quelques haltes afin de nous embrasser longuement. Ce qui ne manque jamais de nous exciter considérablement. Ces petites pauses nous permettent également de savourer la douceur de ces soirées. Il est souvent entre vingt heures et vingt deux heures. Nos choix nous emmenent sur ces toutes petites routes communales qui traversent d'étonnants paysages.

Christine, délicieuse coquine, aime faire de la bicyclette vêtue d'une petite jupette, d'un T-shirt. Il est donc extrêmement agréable de voir sa plastique avantageuse montée sur un vélo. De la voir pédaler devant moi sur les petites routes. En la regardant ainsi je suis conscient de ce privilège supplémentaire que m'offre l'existence. Elle doit ressentir les mêmes émotions. Surtout que la culotte est dans la pochette du guidon.

C'est une de nos nombreuses soirées de virées. Il est vingt et une heures. C'est un tronçon de quelques kilomètres parfaitement droit. Il traverse une superbe forêt. Nous nous arrêtons pour nous assoir sur un vieux banc de pierre. Nous aimons nous tripoter. Ma main va rapidement se promener sous sa jupette. La sienne vient rapidement se glisser sous mon short. Nous nous embrassons comme des fous. Nous fouillons nos bouches de nos langues exploratrices. Un délice car il y a encore le goût de la pomme que nous avons partagé.

Je me mets à genoux dans l'herbe. Je regarde à gauche. Je regarde à droite. La route est déserte. Je me mets à savourer son sexe avec appétit. Je m'attarde longuement sur ce clitoris turgescent. Je stimule le plaisir de ma douce complice. Par intervalles réguliers je vais fouiller de ma langue agile les plis et les replis de ses lèvres. Avec mon index, doucement, je reste à l'entrée de sa petite grotte. Je caresse la muqueuse trempée. C'est une si douce sensation.

Ma coquine, les cuisses écartées, me tient la tête comme pour me guider. Je l'entends gémir. Parfois, entre deux aspirations, je la regarde. Comme elle est belle. Sa tête rejetée en arrière, les yeux fermés. << Tu es fou ! >> me dit elle. Christine rajoute dans un soupir : << Et tu vas me rendre folle ! >>. Tout cela en cambrant son bassin avec des mouvements réguliers.

Ce qui devait arriver fini par arriver. Dans un râle Christine a son premier orgasme. Elle veut me repousser doucement. J'adore résister. Je lui offre un second tour. Elle a beau lutter pendant trente secondes, elle finit toujours par succomber. A s'offrir une nouvelle fois. Je continue de lécher les saveurs de ce sexe si doux, si tendre si coulant. Mon miel. Sans évoquer ce clitoris en érection.

Le bruit d'un moteur. Une automobile. Il doit être vingt heures quarante cinq. La voiture ralentit. Nous avons sans doute l'air ridicule. Je suis à genoux. Christine les cuisses relevées, les pieds posés sur le banc. Je regarde. C'est un couple. La femme nous fait un signe de la main et un grand sourire. L'homme présente un pouce levé comme pour signifier "Super" ! La voiture disparait rapidement.

Suite à cette séance exhibitionniste involontaire Christine connait un second orgasme très rapidement. Des frissons la parcourent. Je me relève. Christine me saisis par les hanches. Elle m'attire entre ses cuisses écartées. Elle s'empare de mon sexe. Nous regardons de tous côtés. Il n'y a personne. Là, avec cette indicible douceur, sa bouche se referme sur ma virilité. Je suis couvert de frissons.

Je suis debout devant ce banc. Je me tiens entre ses jambes. Je me fais sucer. Toutefois je reste vigilant. Cette obligation de devoir surveiller les environs rajoute encore à l'excitation. Nous gémissons de concert. C'est réellement fameux. Même si je préfère être assis ou couché sur le dos pour me faire sucer, j'apprécie. De savoir que ma compagne a déjà eu son plaisir deux fois me stimule considérablement. J'ai envie de fermer les yeux. J'ai envie de me laisser aller.

Une dizaine de minutes. Par crainte et par l'inconfort de la situation je me retire. << Tu n'es pas bien ? >> me demande Christine qui semble inquiète. Interrogative. Je la rassure : << Si ! Je suis trop bien. Mais j'aimerais être dans de meilleures dispositions ! >>. Je me réajuste. Je remballe. << Tu veux qu'on change de coin ? >> me demande Christine. Je réponds : << Non, je vais me garder pour la maison, je veux te faire la totale ! >>. Je l'aide à se relever doucement. Je l'embrasse tendrement.

Nous reprenons la longue ligne droite. Sur nos bicyclettes nous pédalons en chantant. Là, garée dans un chemin perpendiculaire à la route, la même voiture. Nous sommes heureux de constater que les deux hédonistes de tout à l'heure s'adonnent à quelques agapes. C'est une si belle soirée d'été. Ces deux coquins sont sans doute quelque peu stimulés par nos agissements libidineux de tout à l'heure.

De retour à la maison c'est le feu d'arti-fesse habituel...

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23/01/2015

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