L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine et moi au parcours sportif

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                                                          Christine me suce au parcours sportif

Cet après-midi d'une agréable journée de mai 1994 avec Christine, nous sommes entrain de courir. C'est sur le parcours sportif de la forêt voisine de la propriété. En temps normal, nous pratiquons notre jogging en matinée. Là, pour des raisons de travaux dans la maison, préférant être présents durant l'intervention de l'entreprise, nous avons différé notre entraînement aérobic à l'après-midi.

En arrivant devant la station No 5 quelques rotations de bustes. Notre attention est attirée par des mouvements et des bruits dans les fourrés. Christine est un fille très curieuse. Elle est toujours désireuse de tout voir, de tout savoir. Elle s'avance en silence. Je l'observe longuement faire sa voyeuse. Au bout d'un petit moment elle me fait signe de la rejoindre. Je découvre ce qui attire tant son attention. Christine pose son index à la verticale devant sa bouche. Elle chuchote << Chut >>...

Je m'approche pour voir. Là, à une dizaine de mètres, un couple se livre à des ébats amoureux. Deux personnes, un homme et une femme, couchés sur un plaid, qui font l'amour. Christine pose sa main sur mon "paquet". Elle me chuchote à l'oreille : << Super, non ? >>. C'est à cause de la main de ma coquine que je me retrouve en érection. Certainement pas à la vue de ce que fait le couple. Ce que font les autres me laisse d'une indifférence abyssale.

Je glisse également ma main entre les cuisses de ma complice. Je lui demande : << Ça te donne envie ? >>. Christine met sa main dans mon short. Elle se saisit de mon sexe. Elle me répond, amusée : << Avec lui ? >>. J'adore l'humour de ma délicieuse compagne. Une fois encore elle me déstabilise par une fulgurance dont elle a le secret. Je fais de gros efforts pour ne pas éclater de rire. Il n'est pas question de se faire repérer.

Au bout de quelques minutes, laissant le couple à ses ébats, nous quittons les lieux. Nous sommes à présent dans un tout autre état d'esprit que celui de l'entraînement sportif. Avisant un sentier qui s'éloigne du parcours sportif ma complice m'entraîne par là. Nous n'avons pas fait cinquante mètres qu'elle me pousse au sol. Christine me descend le short. Ma turgescence s'agitant toute seule par un effet "élastique" qui l'amuse toujours beaucoup.

Christine s'empare de mon sexe fièrement dressé vers le bleu du ciel. Elle le prend en bouche avec l'avidité coutumière. Comme toujours, sous l'indicible caresse, je suis parcouru de délicieux frissons. Les choses durent ainsi un bon quart d'heure. Ma complice, sachant que je suis un jouisseur invétéré, savoure mes sécrétions avec des gloussements de plaisir. Toutefois, gardant toujours mes esprits, je surveille les alentours avec une vigilance accrue. Ce qui décuple l'excitation. Les connaisseuses et les connaisseurs connaissent...

Je suis un grand spécialiste des plaisirs "tantriques". Je sais faire durer mon plaisir. Ainsi que celui de ma partenaire. Avec une infinie patience et un total contrôle. Pour moi, il n'est jamais question de céder à un orgasme qui arriverait sans qu'il ne soit totalement contrôlé et souhaité. Le plaisir, s'inscrivant dans la durée, est beaucoup plus important qu'un orgasme. Aussi, pour le plus grand plaisir de ma coquine, je fais durer longuement avant de lui retirer le "bâton-des-délices" de la bouche.

<< Pourquoi tu t'en vas ? >> s'écrie t-elle, surprise par mon attitude. Je réponds : << J'ai envie de te faire l'amour ! >>. Je l'embrasse goulûment. << Là, maintenant, comme eux ? >> demande t-elle en essayant de récupérer mon sexe avec sa bouche. Je précise : << Oui, peut-être comme eux, mais surtout comme nous ! >>. Je la retiens par les cheveux. << Pas maintenant. Je veux te sucer. On baise ce soir à la maison. Tu veux ? > me répond t-elle en s'enfournant à nouveau mon sexe. Tout en gémissant de bonheur.

Je suis un homme conciliant, toujours désireux de faire plaisir. Aussi, vaincu par tant de détermination, je me laisse faire. Christine nous offre une nouvelle demi-heure de pompage. Soudain, là, sur la droite, arrive une joggeuse. La jeune fille s'est sans doute écartée du parcours sportif pour satisfaire à un besoin naturel. Je la vois. Elle a un mouvement de recul. Elle s'arrête net. << Oh, excusez-moi ! > fait-elle en tournant les talons avant de filer à toute vitesse.

Cette "surprise" décuple encore notre excitation. Ma suceuse, toujours ravie d'être surprise dans ces moments-là, se redresse pour me dire : << Peut-être qu'elle s'est planquée pour nous mâter quelque part dans les bosquets là-bas ! >>. Puis, avec célérité, elle reprend sa ponction de liquide séminale. Je scrute attentivement l'endroit où a disparu la joggeuse. L'idée qu'elle est cachée à nous observer me parait fort plaisante.

Malgré tout, au bout d'environs une heure dans cette "station de pompage", je décide qu'il est temps de changer d'endroit. J'éjacule. Je le fais souvent sans bouger. En sournois. Je noie la bouche de ma coquine d'un flot épais et visqueux. Avec peine, sous l'effet de la "surprise" prévisible, cette dernière tente de tout déglutir le plus proprement possible. Au bout de cinq nouvelles minutes, après avoir procédé à un vidage de fond de cuve en règle, nous nous levons assez péniblement. Courbatures de l'après...

C'est là, en revenant sur le chemin du parcours sportif que nous croisons la joggeuse de tout à l'heure. << Tu vois, je te l'avais dit ! Elle était planquée ! > me fait Christine . << J'aurais fait pareil ! >> rajoute t-elle encore en me touchant le sexe. Un peu perplexe, je demande : << Tu crois qu'elle mâtait ? >>. Je suis encore jeune et un peu crédule. Je regarde Christine. Je suis toujours surpris par tant de lucidité.

De retour à la maison, considérablement "émus" par le déroulement insolite de notre entraînement sportif, nous mangeons rapidement. Nous nous dépêchons d'aller faire l'amour. Comme des bienheureux. Nous nous aimons jusqu'à vingt heures trente. Ensuite, vautrés dans des chaises longues, nous profitons de la soirée jusqu'à la venue du crépuscule...

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23/01/2015

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