L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine et moi en voiture

Avatar de Julien.jpg

 

                                                           

                                                          Christine me suce en voiture

En ce début des années quatre vingt dix, avec Christine, nous aimons sortir en soirée. A partir du mois de juin, les soirées sont souvent de sublimes moments de douceurs. Nous aimons prendre la voiture et partir à l'aventure sur de petites et charmantes routes de campagne. Dans notre région il y de superbes départementales. Peu fréquentées ou souvent désertes.

Ces petites routes communales, peu fréquentées, sillonnant au travers la verdure des prés et des champs, proposent souvent un véritable enchantement. Nous aimons à en savourer les surprenants changements de paysages. Traverser des forêts, se retrouver devant les ruines d'un vieux château, louvoyer entre des étangs, tout cela nous charme.

Avec la configuration de ces routes sinueuses, il serait absurde de rouler à des vitesses excessives. Je m'applique donc à rouler à faible vitesse, ne dépassant jamais les soixante kilomètres heure. Il nous arrive parfois de croiser un parfait abruti qui défie la raison à des vitesses absurdes. Pourquoi ce coup de klaxon et ce coup d'accélérateur rageur en nous dépassant ?

Là, en roulant, il n'est pas rare que ma complice me fasse comprendre, par des caresses, qu'il serait agréable de sacrifier au dieu Priape. Comme je ne suis pas homme à frustrer ses élans, éminemment prometteurs et féminins, je me prête de bonne grâce à ses jeux de mains. Rapidement, je me retrouve avec la braguette ouverte, le sexe au courant d'air des vitres baissées.

Je ralentis encore ma vitesse. Ma douce complice est à présent à demi couchée sur le côté. La fellation a commencé pour notre plus grand plaisir. Je roule à dix kilomètres heure. N'étant pas homme à perdre mes moyens, je surveille mes rétroviseurs et la route avec une acuité redoublée. Il est souvent déjà vingt et une heures trente. Le jour, doucement, fait place au crépuscule. La route, déjà peu fréquentée, devient déserte.

Je roule en appréciant l'indicible caresse. Rien n'est plus agréable, lors d'une fellation, que ce plaisir physique qui s'associe à ce plaisir cérébral. Pouvoir offrir, à son heureuse "victime", un des moments les plus sublimes de l'existence. Il doit en être de même pour le cunnilingus. Je ne sais pas. Je suppute qu'il en va de même. Christine m'en décrit souvent les jouissives sensations.

Nous parcourons ainsi de nombreux kilomètres. Rien n'est plus jouissif que de devoir rester concentré sur une activité et de sentir cette délicieuse caresse. De temps en temps, par un reflet dans le pare-brise, dû à la lumière des compteurs, je peux voir mon heureuse pompeuse s'affairer sur mon sexe. Qu'elles sont belles lorsqu'elles font "ça", les coquines ! C'est toujours un spectacle divin. Je savoure l'instant certainement autant que ma douce partenaire.

En temps normal, comme tout jouisseur invétéré, je sais faire durer, maîtrisant parfaitement mon sexe et mes orgasmes. Mais là, dans cette situation particulière, il me faut encore monter le curseur d'un cran. Me mettre en mode "total-contrôle". Je m'y applique avec ma rigueur habituelle. Le plus difficile, au bout d'une trentaine de minutes de conduite, est de surmonter l'excitation prodigieuse que suscitent les gémissements de plaisir de ma suceuse. Un réel bonheur supplémentaire. C'est quand même la fille que j'aime.

Moi, en parfait gentleman, je lui demande : < Tu veux qu'on se garde pour la maison ? Ou veux tu que nous fassions l'amour, là, dans un chemin ? >. Le plus souvent, connaissant sa passion pour la fellation, pour toute réponse j'ai droit à un gloussement. Un petit cri de ravissement suivit d'un gémissement terriblement excitant. Je gare alors la voiture sur le bord de la petite route déserte. Là, au bout de quelques minutes, lui caressant les cheveux, je lui offre le fruit de ses doux efforts.

Dans un long râle de plaisir, ma complice déguste les trois saccades et le "reste". Longuement, sans en perdre la plus petite et précieuse goutte...

 

____________________________

Tous droits réservés - 2014 - ©

 

Note de l'auteur :

L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle.  Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal.

La divulgation d'informations relatives à la vie privée, ou à l'identité,  constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 du code pénal.

 


23/01/2015

A découvrir aussi