L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine et moi dans le bus

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                                                          Christine me suce dans le bus

Avec Christine aussi nous aimons passer nos vacances d'été en Ecosse. Nous y allons tous les ans. Départ fin juin. Retour début septembre. Nous sommes le plus souvent dans ma famille à Edimbourg ou à Saint-Andrew. Nous y allons en voiture. Je n'hésite pas à rouler deux jours pour y monter. Nous sommes en 1995. J'ai 28 ans. Ce mois de juillet est particulièrement chaud et agréable. Ma première Mercedes. Mais pour nous amuser il n'est pas rare que nous prenons le bus pour quelques destinations villageoises.

Ce lundi matin nous prenons le bus à Perth. La région du Perthshire est à découvrir absolument. C'est une succession de vallées verdoyantes, de collines se découpant sur le ciel d'un bleu lapis-lazulien et de petits bourgs isolés. Les autochtones y sont d'un accueil et d'une gentillesse toute écossaise. Il y a le fameux Loch Toy qui n'a rien à envier au Loch Ness. Je n'évoque pas les nombreuses distilleries de Whisky car je ne bois pas d'alcool. Par contre nous aimons visiter les distilleries et leurs installations. L'odeur de l'orge et du malt laisse toujours une douce impression. Les glaces qu'on y sert souvent sont délicieuses.

Ce jour-là nous avons organisé une randonnée le long de la Tay. Cette rivière, au gré de ses fantaisies, se transforme en torrents, en petites cascades selon les reliefs où elle coule. De plus cet itinéraire permet de découvrir les magnifiques châteaux et parcs de la région. Le sentier balisé, partant du Grannog, passant par le parc des rapaces de Gleneagle, nous emmène pour une journée entière d'enchantements paradisiaques. Y aller en bus est tellement ludique.

Nous sommes assis au fond de l'autocar. Il est huit heures du matin. Il fait doux. La luminosité si particulière de ma merveilleuse Ecosse inonde toute chose d'une lumière diaphane. Christine évoque la possibilité de se faire muter en Ecosse dans une école française. Chaque jour elle tombe encore plus amoureuse de ce pays unique. Je dois souvent tempérer ses ardeurs touristiques. Je me dois de faire preuve de raison. Mon business naissant est en France. Il me faut encore faire fructifier mes activités avant d'envisager une installation à l'étranger.

Nous sommes tous deux confortablement installés sur la banquette du fond. Les autres passagers sont assis à l'avant. Il doit y avoir une dizaine de personnes. A chaque arrêt il en monte d'autres mais il en descend également. Le chauffeur à moustaches, jovial et débonnaire, plaisante avec un couple de passagers assis sur les banquettes derrière lui. Christine se met donc tout naturellement à me tripoter.

Rapidement je me retrouve avec la braguette ouverte. Le sexe libre dans l'air écossais. Ma compagne, coutumière du fait, apprécie de me mettre dans l'embarras dans les situations les plus insolites. Surtout les moins orthodoxes possibles. Je me fais donc masser la turbe au fond du bus. Nous parcourons une petite route du Perthshire. A plusieurs reprises Christine m'embrasse goulûment. Ma délicieuse coquine sait bien que cela m'excite encore davantage. Je mouille. << Une fuite au robinet ? >> demande t-elle selon son expression préférée.

Cette activité humide perdure depuis une dizaine de minutes. Nous regardons les magnifiques paysages qui défilent sous nos yeux admiratifs. C'est là, après l'arrêt du Men of stone, à côté de la poste du petit bourg, que Christine se penche sur le côté pour se mettre à me sucer. C'est son second petit déjeuner. Elle l'apprécie autant que le premier. Je reste vigilant. Le bus s'arrête toutes les dix minutes pour charger et décharger des passagers. Et si ça continue, je ne vais pas tarder à décharger également...

Cela dure ainsi une bonne demi heure. C'est tellement doux et bon de me faire sucer ainsi que j'en ai la larme à l'œil, (et la goutte au nez). Parfois, lorsque nous passons en hauteur d'une vallée, je saisis Christine par son catogan pour la redresser. Je veux qu'elle profite du panorama autant que de sa sucette à l'anis. Après tout, elle peut profiter de notre randonnée pour savourer mon sandwich derrière n'importe quel bosquet. Je le lui fais remarquer. Cela l'amuse beaucoup. Ce qui ne l'empêche nullement de retourner à sa dégustation.

Il reste quatre kilomètres avant l'arrêt ultime. Le pont Gone qui sera le prélude de notre randonnée. Je me mets à bouger doucement du bassin. En rythme. Ainsi Christine peut savourer une éjaculation juste avant l'arrêt du bus. Cinq minutes d'une petite concentration émouvante et je lâche mon sperme en trois saccades régulières. Trois abondantes giclées ponctuées d'une grosse goutte. Christine en gémit de plaisir. Les yeux pleins de cette touchante reconnaissance elle se serre contre moi. Nous sommes si heureux tous les deux.

Nous récupérons nos sacs à dos. Ils sont posés sur les filets au-dessus des sièges. Nous descendons du bus. Nous saluons le chauffeur à qui je laisse discrètement un billet d'une livre. Le bus démarre. Un coup de klaxon. Un signe de la main. Nous nous mettons à marcher sur le pont en bois qui traverse la Tay. Ce petit pont couvert d'une étonnante charpente. Une architecture insolite et surprenante. Ce chemin nous emmène sur le Tay footpath. Ce sentier qui va longer la rivière Tay sur six miles. Cette journée exceptionnelle me laisse un merveilleux souvenir.

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23/01/2015

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