L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine et moi dans le train

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                                                            Christine me suce dans le train


Avec ma délicieuse compagne Christine, en ce début des années quatre-vingt dix, nous aimons par-dessus tout les déplacements en avion ou en train. Nous donnons la préférence au train pour nos déplacements en France. Lorsque nous allons à l'étranger c'est le plus souvent en avion. Il est tellement simple de louer une voiture une fois sur place. Sauf en Ecosse par exemple où nous allons en voiture...

Ce mois de septembre radieux invite vraiment à découvrir les régions enfin désertées. Finies ces cohortes de touristes de juillet et d'août. Rien n'est plus pénible que ces familles de Simpson. Ces familles bruyantes qui touchent à tout, envahissent tout et consomment du congé comme on consomme du hamburger.

Nous avons décidé d'aller passer quelques jours dans ce magnifique pays d'Oc. Destination les châteaux Cathares et les citadelles du vertige. Nous partons donc de la gare de la ville voisine avec le train de huit heures quarante cinq. Cette matinée ensoleillée est une véritable invitation à l'évasion. J'ai réservé les billets de première classe. A cette époque les TGV sont encore confortables et luxueux.

Nous prenons place sur des sièges confortables. Le wagon des premières classes est presque vide. Comme souvent. Pour ce lundi de septembre, rares sont les personnes voyageant de Quimper à Carcassonne, via Paris. Comme souvent, lorsque nous partons en "expédition", ma compagne et moi sommes les proies d'agréables tourments. C'est donc avec une douce complicité que nous nous tripotons avec plaisir. Discrètement tout de même. Christine aime être en jupe. Pour me faire de douces surprises elle ne porte pas toujours de culotte. Une preuve de bon goût dont fait preuve cette jeune fille.

C'est à la hauteur de Rennes que le wagon commence à se remplir de voyageurs. Il nous faut être plus vigilants. Par chance la banquette voisine reste inoccupée. Ma complice écarte ma braguette. Elle est ouverte depuis Lorient. Christine le fait toujours avec cette agilité et cette virtuosité qui lui est coutumière. J'aime tant les filles capables d'initiatives heureuses. Avec elle, je suis "servi".

Ma coquine se penche sur sa gauche. Après m'avoir embrassé goulument elle se laisse glisser sur le côté. Doucement jusqu'à en gober mon sexe. C'est à la fois inquiétant et excitant de me faire sucer ainsi. Nous pouvons entendre le murmure des conversations à quelques sièges. D'être aux aguets participe d'un moment de plaisir total. Je recommande. Surtout pour lutter contre l'ennui des déplacements.

Nous arrivons en gare de Laval. Il faut cesser car le train accueille de nouveaux voyageurs. Avec peine je replace ma turgescence dans son "sac". La bosse ainsi crée dans mon pantalon, refuse de disparaître. Christine s'en amuse en la tenant fermement. Il y a une dizaine de nouveaux arrivants dans le wagon. Toujours personne à nos côtés.

C'est lorsque le train démarre que ma coquine me déboutonne à nouveau. Reprenant sa noble activité, ma compagne se penche à nouveau sur sa gauche. Tout en appréciant je reste d'un vigilance extrême. Je me sers des vitres comme d'autant de rétroviseurs. En effet, il y a toujours des casse-pieds qui circulent entre les sièges dans les trains en marche. Même dans le calme des premières classes.

Ou est le bon vieux temps des compartiments qui se fermaient avec une porte coulissante et où l'on pouvait tirer les rideaux ?

Il y a le nouvel arrêt à la gare du Mans. Une fois encore il nous faut cesser nos activités ludiques. Encore une fois des voyageurs montent dans le wagon. D'autres en descendent. Ça contrebalance. Une fois encore, au départ du train, la banquette voisine reste déserte. Par contre un couple de personnes âgées s'est installés derrière nous. Ma coquine reprend rapidement les "choses" où elle les a laissé. Une légère coulure macule mon pantalon et le chemisier de ma douce. Nous avons des mouchoirs en papiers et de l'eau plate.

Toujours aux aguets je savoure le moment autant que ma compagne. Christine qui se régale à la fois de la situation et de mes épanchements. Je peux la sentir frissonner lors d'instants biens particuliers. Jusqu'à présent le voyage se passe très bien. L'excitation est à son comble. Surtout parce qu'il faut la dissimuler. Maîtrise totale.

Les "connaisseuses" et les "connaisseurs" savent ce que cela sous-entend. Over the top !

Une fois encore, arrivant à la gare de Chartres, le train embarque et débarque des passagers. Crac ! Un couple vient s'installer sur la banquette voisine. Ma compagne me glisse à l'oreille : << Merde ! Des casse-burnes ! >>. Et question "burnes" elle en connait un rayon ! Il faut faire contre mauvaise fortune bon cœur. Nous envisageons toutes sortes de stratégies. Les toilettes par exemple. Finalement, je propose à ma coquine de prendre notre mal en patience et d'attendre la prochaine opportunité.

La fellation en train c'est drôlement sympathique mais il faut parfaitement maîtriser le propos...

 

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23/01/2015

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