L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine et moi dans les ruines du château

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                                                      Christine me suce dans les ruines du château médiéval


En ce mois de juin 1996, avec ma délicieuse compagne, Christine, nous sommes allés passer quelques jours dans les environs de Tiffauges. Cette région de la magnifique Vendée mérite une découverte impérieuse. C'est un véritable enchantement. Afin de profiter pleinement des produits du terroir et de l'hospitalité des autochtones nous optons pour la formule de la chambre d'hôte.

Nous arrivons le vendredi en fin d'après-midi. Nous sommes accueillis par les propriétaires. Des gens charmants. Nous prenons possession de notre chambre dans une grande maison typique de la région. Une grande chambre aérée et lumineuse. Le parquet en lames de chêne clair, le fin crépis des murs, la grande baie vitrée donnant sur le petit balcon, tout cela sent bon la tradition. C'est propre et entretenu.

Un grand lit recouvert d'une couverture en lin brodé. Deux grands coussins également recouverts de lin brodé. Deux tables de nuit, une grande armoire, une table, deux chaises et un fauteuil à bascule constituent le mobilier très XIX ème. Tout cela est de toute beauté. Réjouissant. Le soleil et une grande douceur ajoutent encore au bonheur de la découverte. Nous avons prévu un repas gastronomique à base de poisson dans un petit restaurant du bourg.

La petite salle de bain ainsi que les toilettes adjacentes présentent le même luxe simple et la même propreté exemplaire. Nous décidons de prendre une bonne douche afin de nous rafraîchir. Nous nous changeons pour notre sortie gastronomique de la soirée. Nous croisons le couple de propriétaires. Des quinquagénaires sympathiques. Ils nous proposent de partager le repas de midi, demain samedi. Nous acceptons avec plaisir.

En quittant la propriété, nous voyons arriver une jeune fille d'environ vingt ans sur une bicyclette. Elle nous fait un sourire et un signe amical de la main. Sans doute la fille des propriétaires. Je roule lentement sur la petite route. Le bourg est distant de deux kilomètres. Le paysage est enchanteur. Qui connait cette région sait le plaisir d'y évoluer dans la douceur. La sérénité qu'elle inspire.

Nous passons une soirée très agréable. Après la dégustation d'un délicieux repas nous nous promenons longuement dans le bourg. Demain après-midi, nous irons visiter les ruines du château de Gilles de Montmorency-Laval. Ce seigneur plus connu sous le nom de Gilles de Rais. Maréchal de France. Probablement l'amant de Jeanne d'Arc.

C'est un haut lieu historique. Gilles de Rais ayant même inspiré le personnage de "Barbe-Bleue". De quoi nourrir nos imaginaires pour le reste de la soirée. Un personnage haut en couleurs. Mais également un monstre qui a laissé le souvenir du premier serial killer de l'Histoire.

Le lendemain matin nous prenons notre petit déjeuner dans la chambre. La lumière du soleil inonde la pièce devant la baie vitrée largement ouverte. Nous savourons les petites baguettes beurrées. Dans la matinée nous allons nous promener au marché du bourg. Une matinée des plus agréables. Pour midi nous mangeons en compagnie de nos hôtes. Un repas délicieux. La jeune fille est avec nous. C'est bien la fille des propriétaires. Une étudiante tout à fait charmante.

L'après-midi, comme prévu, nous nous rendons aux ruines du château de Tiffauges. Malgré la luminosité, la chaleur et ce magnifique soleil, il se dégage de cet endroit une ambiance lourde et pesante. Il s'est passé ici des choses terribles. Nous pouvons ressentir de curieuses "vibrations". Il y a ici des choses invisibles et terrifiantes. Christine partage le même ressenti. Quelque chose d'oppressant.

Nous avisons une grande pierre sans doute tombée des remparts afin de nous y asseoir. Le lieu est parfaitement désert. Il n'y a que nous et le silence. Parfois le chant de quelques oiseaux résonne. Une légère brise agite les branches. Les arbres nous offrent leurs ombres protectrices. Nous sommes à l'écart du sentier qui monte vers les sinistres restes du donjon. Christine pose sa main sur mon sexe. Elle murmure : << J'ai envie d'une petite gourmandise ! >>.

Elle déboutonne mon bermuda pour en extraire le locataire. Mon érection fièrement dressée vers le bleu lapis-lazulien du ciel est comme une "friandise". Christine s'amuse longuement avec. La secouant dans tous les sens en riant. Elle me décalotte. Elle joue avec la peau de mon prépuce qu'elle frotte entre le pouce et l'index. J'apprécie en lui chuchotant des cochonneries. J'aime tant l'entendre rire.

Doucement, Christine se laisse glisser sur le côté jusqu'à poser sa tête sur ma cuisse. Elle continue encore un peu à jouer avant de poser ses lèvres douces et chaudes sur l'extrémité de ma turgescence. Je peux sentir sa langue qui fouille les plis entre mon gland et mon prépuce. Sensation délicieuse qui me fait frissonner malgré la douceur du climat. Au bout de quelques minutes ma coquine se met à sucer avec passion. Que du bonheur...

Nous sommes là, silencieux, à nous livrer au plaisir. Je regarde avec beaucoup d'attention partout autour de nous. Christine se déplace pour se mettre à genoux entre mes jambes. Ses coudes posées sur mes cuisses, elle est toute entière à son activité. Par moments je l'entends gémir. Ces gémissements sont le plus souvent causés par des montées de liquide séminal. Liquide que je peux sentir pompé avec régularité. Cette douceur indicible et unique. Je lui caresse doucement les cheveux.

Parfois je tiens ses cheveux en catogan. Je peux ainsi la "guider". Christine adore mes initiatives. Aussi, lorsque j'appuie sur sa tête, je peux l'entendre glousser. Elle me confie souvent qu'elle adore être surprise par mes petits élans fougueux. Parfois je la tiens par ses deux oreilles pour la "forcer" un peu. Je ne suis bien sûr pas obligé de "forcer" quoi que ce soit. Mais ce "jeu" nous ravit toujours beaucoup. De l'entendre glousser m'excite un peu plus. Ce qui déclenche évidemment de nouvelles et abondantes montées de sève.

De quoi régaler ma gourmande. De quoi me procurer les sensations les plus raffinées. Souvent, je lui retire la tête pour lui accorder quelques pauses. Elle en profite pour m'embrasser. Insatiable Christine.

Je suis un jouisseur invétéré. Rien ne peut tempérer mon hédonisme naturel. J'aime à faire durer en maîtrisant parfaitement mon sexe. C'est moi, dans la plupart des cas, qui décide d'éjaculer ou pas. Au bout d'une bonne heure je décide de faire cadeau de ma substance à ma pompeuse. J'éjacule donc en trois merveilleux spasmes qui me secouent de plaisir. Ma colonne vertébrale, parcourue de frissons, me picote de haut en bas. Je me retrouve soudain en légère sudation. Christine déglutit en gémissant. Assise sur le fessier gauche elle savoure avec application.

Comme toujours si je ne lui retire pas la tête elle continue. Christine aime repartir pour un second tour. Je regarde une nouvelle fois autour de nous pendant que Christine reprend mon sexe en bouche. C'est là que j'aperçois la jeune fille de la chambre d'hôte. Nul doute qu'elle est cachée là depuis un moment. Peut-être même depuis le début. J'ai bien remarqué son attitude durant le repas de midi et ses regards équivoques. J'en ai fait part à ma compagne qui l'a remarqué aussi. Elle m'a confié son impression. << Une belle petite salope sans aucun doute ! >>. Christine se trompe rarement. Ses convictions se vérifient souvent.

Nous nous redressons. Christine voit également la jeune fille qui reste debout près du bosquet. Ce bosquet ou elle est sans doute restée cachée. La jeune fille reste ainsi, avec un aplomb effronté, à nous observer en souriant. Une trentaine de mètres nous séparent. Je fais un "coucou" de la main. Elle vient vers nous. << Vous aimez la région ? >> nous demande t-elle. Avec un naturel désarmant. Comme si rien ne s'était passé.

C'est ma compagne qui répond : << Oui, il y a des endroits et des situations vraiment extraordinaires ! >>. Nous éclatons tous les trois d'un rire sonore. La "messe" était dite. Je propose à la jeune personne de nous accompagner pour le reste de la visite. En fin d'après-midi je propose un restaurant à trois. La jeune fille décline gentiment notre offre. Ses témérités et sa curiosité ont des limites. Elle évoque la présence de ses parents dans la maison.

Nous comprenons son embarras. Nous n'insistons pas...

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23/01/2015

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