L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine et moi dans les toilettes du Musée

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                                                     Christine me suce dans des toilettes culturelles

En cette agréable année 1996, avec ma délicieuse compagne, Christine, nous sommes partis quelques jours à Amsterdam. C'est durant le week-end prolongé de la Toussaint. Nous voulons faire notre pèlerinage annuel au superbe Rijksmuseum. Cette destination régulière pour y voir, une fois encore, la merveilleuse collection permanente. En effet, c'est là qu'il faut découvrir les plus belles pièces de la peinture du siècle d'or Hollandais.

Nous avons trois jours devant nous. Pour apprécier pleinement la visite de ce superbe musée, il faut y consacrer un après-midi entier. Il y a tant de belles peintures, tant de toiles extraordinaires. Nous voulons également aller sur Roterdam afin d'y voir, une fois encore, le fameux Museum Boijmans Van Beuningen. Dans ce lieu aussi on peut admirer de sublimes toiles du siècle d'or, le XVII ème siècle Hollandais.

De plus, comme le climat plutôt doux pour cette période nous y invite, nous voulons faire une petite visite en bateau sur les canaux d'Amsterdam. Ces trois jours sont donc dotés d'un timing biens rempli. Nous descendons toujours au même hôtel. Un établissement d'une chaîne bien connue et proposant un service irréprochable. Pour un coût attractif. Le matin, jogging, dans la vieille ville, avec d'autres coureurs et cyclistes matinaux.

C'est en visitant la première salle de l'étage, présentant d'extraordinaires marines du XVII ème , que nous commençons à discrètement nous tripoter. Comme à notre habitude nous aimons manifester notre bonheur d'être ensemble par des témoignages tactiles. Il n'y a que peu de monde en ce jeudi après-midi. Il est donc très simple d'avoir les mains baladeuses. Ma compagne adore fouiller ma bouche de sa langue exploratrice. Provoquant ainsi de formidables érections. J'adore lui mettre la main entre les cuisses. Il y a toujours un spasme étonnant. L'effet de surprise...

Nous passons devant la porte des toilettes à plusieurs reprises. Malgré les grandes libertés de mœurs ayant cours en Hollande, les toilettes ne sont pas mixtes. Il nous faut donc ruser dans la plus totale discrétion. A cette époque, la vogue des caméras de surveillance n'a pas encore gagné les lieux publics. Après avoir bien observé les lieux, j'entre le premier dans les toilettes "Homme". Ma coquine ne tarde pas à me rejoindre sur la pointe des pieds.

Nous sommes seuls dans cet espace lumineux et blanc. Qui connait les toilettes de ce musée sait la petite fontaine qui se trouve au milieu. Me saisissant par la main, ma compagne m'entraîne dans une des cabines de la rangée de droite. Nous avons toujours une préférence pour les rangées de droite. Là, s'accroupissant tout en m'ouvrant la braguette, elle se met en situation fort attractive. Comme elles sont belles dans ces moments-là !

Ma douce complice me suce depuis une dizaine de minutes. Je me suis assis sur le couvercle fermé de la cuvette. La propreté clinique des lieux ne pousse pas à l'hésitation. Nous ne sommes pas dans un pays latin. Elle est à genoux devant moi. Nous sommes à gémir discrètement dans le silence le plus total. Soudain, le bruit de la porte, un bruit de pas, résonnent sur le carrelage. Cet impondérable nous pousse à suspendre nos respirations. Nous écoutons avec attention.

Après s'être lavé les mains, un quidam doit pisser au-dessus d'un des urinoirs. Nous pouvons entendre distinctement le jet venant se briser contre le fond de faïence blanche. Ma douce coquine se remet à l'ouvrage en me fixant de ses yeux troublants. C'est un grand moment. L'inconnu s'en va comme il est venu. Quelques minutes s'écoulent à nouveau. Le bruit de la porte se fait entendre une nouvelle fois. Des pas...

Dans le silence, nous pouvons distinctement entendre la voix d'une femme qui chuchote en Anglais. C'est un couple qui arrive là. Nous entendons la porte d'une des cabines se refermer. Peut-être sont ils venus là dans un but semblable au notre. Au bout de quelques instants, le même bruit se fait entendre que dans notre cabine. Ce bruit de succions, de gargouillis si caractéristiques. Une pipe juteuse. A n'en point douter un couple se livre là aux mêmes occupations que nous.

Ma complice se remet à l'ouvrage avec tout cet enthousiasme dont elle est coutumière. Je lui chuchote les cochonneries habituelles. Ce qui la faisait glousser. Nous pouvons entendre la même chose provenant de la cabine proche de la notre. J'éjacule avec bonheur en caressant les cheveux de ma douce coquine. A présent nous n'observons plus de réelles attentions. Elle se régale avec ses gémissements habituels.

Nous sortons de la cabine après nous êtres réajustés. Nous pissons à tour de rôle. Joindre la nécessité à l'agréable est une formalité obligatoire en vacances. Nous nous lavons les mains lorsque le couple sort à son tour d'un des cabinets. Une ravissante jeune femme accompagnée d'un beau "vieux" viennent vers les lavabos. Nous nous saluons en souriant. Nous échangeons quelques mots. L'anglais étant ma première langue, le couple est ravi de pouvoir partager quelques impressions.

Une fois de retour dans la galerie des "Natures Mortes", nous croisons le couple à quelques reprises. A chaque fois ce sont des sourires complices. Je propose à Christine de faire plus ample connaissance avec ces visiteurs. Elle préfère décliner ma proposition. Nous n'avons plus que deux jours. Mais l'idée n'est pas pour lui déplaire. Christine aime goûter d'autres saveurs. Nous n'en sommes encore qu'au début.

Ce troisième séjour à Amsterdam est superbe. La troisième visite à Rotterdam est agréable. Nous profitons de ce séjour pour nous goinfrer de ces délicieuses glaces Hollandaises, succulentes et à nulles autres pareilles. Trois jours divins.

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23/01/2015

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