L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine et moi devant un film porno

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                                         Christine me suce devant un bon porno

En ce temps-là, en 1995, il y a encore le bon vieux magnétoscope. Cette machine permet de visionner les bonnes vieilles cassettes vidéos. Branché sur le téléviseur par ces vieilles bonnes prises péritels, le magnétoscope permet au regardant de visionner le film de son choix. Il y a même encore ces bons vieux "Vidéos-Clubs" qui offre la possibilité de choisir et de louer les dites cassettes vidéos.

De temps en temps, avec Christine, ma compagne, nous allons louer quelques films. Le plus souvent le vendredi soir afin de pouvoir les regarder durant le week-end. C'est le plus souvent à la mauvaise saison. Il n'est pas rare que le téléviseur reste éteint de mars à novembre. Sportifs et amoureux de la nature, appréciant la lecture, nous avons toujours mieux à faire que de faire du "gras" sur un canapé.

Ce vendredi soir du début de décembre, nous sommes allés choisir quatre cassettes vidéos. Nous parcourons les différents rayons du vidéo-club. Au rayon "classique", nous choisissons le film "Diva" de Jean-Jacques Beineix et "Les Valseuses" de Bertrand Blier. Au rayon porno, nos choix se font sur "Gloryhole adventure" et "Joséphine Mutzenbacher". De quoi passer du bon temps en ce week-end froid et pluvieux à venir.

Le soir même, devant un délicieux repas de pâtes à la quinoa et aux champignons noirs, arrosé d'un excellent jus de kiwi, nous choisissons de visionner "Les Valseuses". Même si ce film n'est qu'une caricature des mœurs d'une époque révolue, le jeu des trois acteurs reste un savoureux moment de cinéma. Sans évoquer les dialogues proprement surréalistes et créés au millimètre pour les besoins d'un scénario épique. Fameux.

Ce n'est que samedi soir que nous introduisons "Gloryhole adventure" dans le magnétoscope. Une production Californienne de toute première "bourre". Film d'une durée d'une heure trente qui met en scène des jeunes femmes "bourgeoises", plutôt attractives. Jeunes femmes qui découvrent, avec ravissement, des trous parfaitement ronds dans des lieux insolites. Trous de six à huit centimètres de diamètre.

"Gloryhole adventure" se décline sur quatre aventures différentes. Des acteurs, on ne sait rien sinon que leurs virilités pendent de l'orifice d'une façon assez pathétique. Par contre, la première protagoniste, une brunette d'environ trente ans, dès son arrivée dans l'endroit, joue très bien la surprise, le ravissement puis tout ce qui s'en suit. La jeune femme, pas du tout "doublée", fait toutes les cascades elle-même. Excellentissime...

Au bout d'une dizaine de minutes, Christine et moi, il faut bien le préciser, nous nous retrouvons plutôt excités. Ce n'estpas seulement le stimuli des images qui est responsable de nos accélérations cardiaques, mais surtout le fait d'êtres tous les deux à les regarder. Bientôt, nous nous caressons. Ma main dans sa culotte, la sienne dans mon slip. Indéniablement, "Gloryhole adventure" est une réussite. Une sorte de "chef-d'œuvre" à voir absolument par tous les couples un peu esthètes. Amoureux de cinéma de qualité en versions originales.

Christine se laisse tomber sur le côté, me sort le sexe du slip. Ma turgescence humide dans la main, elle me commente les images que pourtant je regarde aussi. Me précisant les impressions et les sensations que doivent ressentir l'actrice à tel ou tel moment. A la limite de la tachycardie, je demande à ma compagne si elle n'a pas le désir de faire l'amour, là, sur le canapé. Elle-même, le cœur battant, me précise qu'elle veut "me faire" comme dans le film...

Christine commence donc sa fellation pendant que débute la seconde aventure du long métrage. Une belle brune, vêtue d'un manteau de fausse fourrure, d'une jupe en cuir et de cuissardes, découvre à son tour un de ces trous mystérieux. Elle s'y affaire avec une virtuosité toute particulière. Christine, tout en me suçant, ne perd pas le fil de l'histoire. Nous sommes tous les deux à gémir de concert avec la fille du film. Un "cœur" à trois, en quelque sorte, et dans le registre soprano.

Le second film termine à peine, dans un flux laiteux dégoulinant sur la fourrure synthétique de la belle, que j'éjacule une première fois. En abondance. L'excitation double, due à l'image et aux sensations, a eu raison de ma maîtrise habituelle. Christine, avide de ne pas perdre le fil de l'histoire, ne lâche pas prise. Aussi, après avoir surmonté cette première épreuve, je m'apprête à subir la seconde.

La troisième aventure commence à peine. Une très belle blonde, pas du tout "Bimbo", vêtue d'un jeans et d'un chemisier, chaussée de "baskets", découvre, elle aussi, un de ces trous magiques, dans les toilettes d'un hôtel de grand luxe. Qui dit "magique" dit "baguette". Cette dernière apparait très vite pour le plus grand ravissement de la fille. Christine, excitée comme une puce, se met à me pomper comme si elle était l'actrice du film. Fabuleux...

Là, à présent maître de mes émotions, je me fais sucer en savourant l'instant autant que ma compagne. Les stimulations que procurent les sens de la vue, conjugués aux sens tactiles, sont tout simplement divines. Il faut l'essayer au plus vite toute affaire cessante. La fille blonde, au bout de vingt minutes, reçoit le fruit de ses efforts. Visiblement avec un enchantement non feint.

Christine, s'arrêtant régulièrement de sucer, me fait des commentaires sur ce qu'est entrain de déguster la fille du film. Avec un luxe de détails plus salaces les uns que les autres. Christine, comme je t'aime ! Là, devant nos yeux, commence la quatrième et dernière aventure du film. Une grande rousse, sosie d'une actrice célèbre, découvre elle aussi un de ces trous sans fond, au bout du couloir d'un vieil immeuble.

Christine, tout en continuant sa merveilleuse caresse, tout en commentant certaines images, se met à bouger du bassin. Nul doute, les effets conjugués des images et de son activité commencent à porter atteinte à son habituelle et parfaite maîtrise d'elle-même. La redressant pas les cheveux, je l'installe à mes côtés. J'enlève rapidement sa petite culotte, dont le fond mouillé ne laissait aucun doute sur son état, pour m'introduire dans sa petite fente trempée. Un délice...

Je ne peux plus voir le film puisque je tourne le dos au téléviseur. Il m'importe subitement très peu de découvrir ce qui va encore arriver à la rouquine. Christine par contre, en gémissant, n'en rate pas une miette. Tout en se faisant niquer comme une bête, elle commente, entre deux râles, ce qui se passe à l'écran. C'est tout simplement grandiose. Je n'ai jamais vu la fin de cette quatrième aventure !

Le lendemain, dès le début de l'après-midi, nous visionnons le second film, "Joséphine Mutzenbacher". Un grand classique Autrichien de 1974. Dehors, il fait un temps épouvantable. Une fois encore, le canapé résiste à nos ébats avec la solidité légendaire du matériel Suédois...

Joséphine Mutzenbacher interprétée par la sublime et candide Patricia Rhomberg...

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23/01/2015

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