L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine et moi en camping

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                                                       Christine me suce sous la tente

Nous sommes au mois de juin 1996. Ce week-end est particulièrement chaud et agréable. Ce ne sont pas encore ces grosses chaleurs de l'été. Le climat est donc tout particulièrement doux. Avec Christine nous prenons l'initiative d'aller camper au bord du petit lac. Cet endroit où nous aimons souvent venir nous promener et nous baigner.

Ce début d'après-midi de samedi nous arrivons après une randonnée de trois heures. Voilà l'endroit souhaité. Ce lac est inaccessible en voiture. Il n'y a donc que très rarement du passage. Quelques amoureux du calme et de la solitude d'une nature préservée. De plus l'endroit est classé parc naturel. Il reste sous l'étroite surveillance des brigades vertes. Le camping y est toléré uniquement le week-end.

Nous garons la voiture aux pieds des collines. De là nous prenons le sentier balisé qui longe la rivière. Ce cours d'eau se transforme. Au fur et à mesure de notre marche sur l'étroit chemin qui grimpe il devient torrent. Pour devenir cascades successives. Nous portons nos sacs à dos. J'ai la tente. Nous avons tout le nécessaire jusqu'à demain soir dimanche.

Ces trois heures de marche sont le prélude à vingt quatre heures de farniente. Les réjouissances sur les bords de ce petit lac aux eaux claires et limpides. Creusée par un glacier il y a des millénaires la formation de ce cratère a permis cet endroit enchanteur et secret. Nous arrivons vers treize heures. Immédiatement nous montons la tente. Il n'y a pas encore ces tentes au montage rapide. Il faut donc se livrer à quelques réflexions. Notice en main...

L'endroit que nous avons choisi est une petite plate-forme légèrement en hauteur. Quasiment invisible depuis le sentier distant d'environ cent mètres. Il faut se livrer à quelques "grimpettes" pour pouvoir y accéder. Après le montage de la tente nous savourons les salades préparées le matin. Dans des tupperwares il y a de la salade de carottes, de choux et d'endives. Un avocat chacun. Accompagné d'un pâté de lentilles. De thon. Un repas qui rend le tonus. Les fruits du desserts sont l'épilogue de ce délicieux repas bucolique.

Nous descendons au bord du lac. L'idée de nous y baigner. Les eaux sont encore fraîches. Elles offrent toutefois une alternative agréable à la chaleur. Nous sommes à quatre cent mètres d'altitude. Nous voilà assis sur les roches. Nous trempons nos pieds. Avec la température de l'eau il vaut mieux s'habituer doucement. Mais le désir d'une baignade reste fort.

Christine, comme elle aime le faire, me tripote le sexe. Sa main dans mon maillot de bain. Je suis donc la victime d'une érection permanente depuis un bon quart d'heure. Nous devisons en appréciant ces moments de bonheur. Soudain un effroyable bruit sourd. Le tonnerre déchire le silence qui nous entoure. Un peu comme un poignard qui déchire la peau d'un tambour. Le vacarme assourdissant résonne longuement. Je lève les yeux pour découvrir de lourds nuages noirs qui s'amoncellent. Là, sur la droite, en haut des sommets.

Il faut se rendre à l'évidence. Nous aurons droit à un des premiers orages de la belle saison. Il y a quelques éclairs lumineux. Impressionnants. Les coups de tonnerre se succèdent. Les premières grosses gouttes nous tombent dessus. Nous remontons rapidement. Nous nous mettons à l'abri sous la tente. Bien nous en prend. Aussitôt sous la toile, la pluie se met à tomber avec un bruit sourd et continu. Le tonnerre gronde. Les éclairs zèbrent le ciel, déchirant cette curieuse obscurité apparue si soudainement.

Je sors mon sexe pour le présenter à Christine. Elle me caresse la braguette depuis un moment. Longuement elle joue avec. Elle le scrute. Elle le renifle. Christine étudie une fois encore son "jouet" préféré. Je l'observe. J'aime la regarder s'amuser. Dans toutes les situations, même les plus prosaïques de l'existence, elle est toujours si attractive. Christine reste mon spectacle. Christine est l'actrice préférée du film de notre vie.

Le tonnerre gronde. La pluie fait un bruit d'enfer sur la toile de la tente. Nous nourrissons quelques inquiétudes. Pour le moment tout semble étanche. Christine approche sa bouche de mon sexe. Elle en lèche longuement l'extrémité après l'avoir décalotté. Elle fouille de sa langue chaque plis de la peau de mon prépuce. Je sens la douce chaleur de sa respiration sur le gland. Sur le méat. Délicate sensation à nulle autre pareille.

Au bout de quelques minutes Christine referme la bouche sur mon sexe. L'indicible vertige m'envahit immédiatement. Il n'y a pas de mots pour décrire le plaisir que procure la fellation. Il en va de même pour le cunnilingus. C'est tout simplement indescriptible. Et c'est tant mieux. Tenter de décrire ces sensations permet de s'exercer à l'art de la sémantique. Je regarde ma complice sucer. Comme elles sont belles quand elles font "ça" !

Christine aime se savoir observée. Surtout dans ces situations. Aussi, pour m'offrir ce sublime spectacle, elle prend garde de ne pas coucher sa tête sur mon ventre. Pour l'aider à conserver cette position inconfortable je la maintiens par ses cheveux. Parfois je lui tiens le menton. J'aime la "guider" en la tenant par les oreilles. Mais le plus souvent, au bout de quelques minutes, elle trouve la meilleure position. La tête posée sur mon ventre. Je me laisse glisser sur le dos. Les coudes endoloris...

Christine sait que j'adore "ça". Autant qu'elle. Je fais durer longtemps. Souvent au-delà du raisonnable. Pour éviter les crampes de sa mâchoire, avec de fréquentes intermittences, Christine cesse. De reposantes petites pauses. Je monte alors son visage près du mien pour le couvrir de baisers. Nous nous murmurons des choses très excitantes. Christine retourne à sa passion. Gloussant de plaisir...

La pluie cesse. Un silence étrange s'appesantit sur toute chose. Il n'y a plus aucun autre bruit que celui de la succion de Christine. Ces gargouillis si caractéristiques d'une fellation passionnée. La luminosité revient. L'orage s'éloigne. Tout en me faisant pomper, j'ouvre la tente. Je regarde au dehors. Tout est trempé. Le ciel est à nouveau immensément bleu. Le soleil y brille en maître absolu.

J'éjacule. Les trois saccades habituelles. Christine déglutit en gémissant. Elle reste longuement à faire le "fond de cuve". Ce fond de couilles qu'apprécient les "connaisseuses". Elle s'apprête à repartir pour ce second tour qu'elle aime tant. Je l'attire vers moi. Je maintiens sa tête par les cheveux. Je l'entraîne au dehors. Il faut nous chausser car le sol est détrempé. Je tiens Christine par les cheveux. Je l'emmène au bord de l'eau. Il est dix sept heures trente. Nous décidons de faire le tour du lac par le petit sentier.

Il y a une nouvelle fellation sous tente durant la nuit. En prélude à l'amour que nous nous mettons à pratiquer longuement avant de dormir. Il y a encore la fellation du dessert le lendemain après le repas de midi. Il y a ce cunnilingus enivrant du réveil. J'aime le goût que laisse la nuit sur le sexe de Christine. J'aime la lécher. J'adore fouiller ses muqueuses après une suée. Les saveurs naturelles et les sécrétions qui s'en suivent ont toujours mes préférences.

Il en va de même pour Christine. Ce week-end est toutefois reposant. Le dimanche est une journée radieuse, chaude et ensoleillée. Nous en profitons. Nous allons même dans l'eau jusqu'à mi cuisses. Démonter la tente reste une épreuve. De retour à la maison pour vingt deux heures. La descente est un autre enchantement. Les pluies d'orages ne laissent que très rarement autre chose que des ravines très rapidement sèches. Nous nous promettons de refaire.

Un grand souvenir...

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23/01/2015

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