L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine et moi en forêt

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                                                                       Christine me suce en forêt

Ce soir de début juin, en ce même début des années quatre vingt dix, avec Christine, nous partons en voiture. Nous roulons doucement, comme j'aime à le faire, afin d'apprécier le paysage. Christine me caresse doucement en me chuchotant des choses excitantes. Pas qu'aux creux de l'oreille.

Au bout de quelques kilomètres j'avise un chemin sur la droite. Il s'enfonce dans la forêt. Roulant au pas, j'avance doucement sur un chemin sec et très carrossable. Au bout d'environ un kilomètre je gare le véhicule sur un petit terre plein dégagé. Nous sortons de la voiture, pressés de nous dégourdir les jambes. Entre autres...

Nous prenons un sentier assez raide qui monte entre deux rochers impressionnants. Nous marchons depuis un quart d'heure pour arriver devant les ruines d'un ancien château médiéval. Il doit être vingt heures trente. Il nous reste deux bonnes heures avant la nuit. Le ciel encore bleu nous rassure quand à la météo de la soirée.

Nous pénétrons dans les petites ruines par ce qui doit être l'ancienne poterne. La végétation a envahi les lieux depuis longtemps. Un vague sentier longe les grosses pierres des murailles. Nous marchons lentement en regardant attentivement autour de nous. La découverte est attractive. Ces ruines nous excitent quelque peu. Christine, entreprenante et coquine, comme j'aime, me palpe parfois l'entre-jambes en m'embrassant goulûment. C'est superbe.

Nous nous installons sur une roche posée comme une table de pierre dans la végétation. De là nous avons une vue magnifique sur la plaine. Nous pouvons voir l'océan qui brille sous le soleil descendant. Mon coquine, se levant, s'accroupit devant moi entre mes jambes écartées. Elle m'ouvre la braguette avec l'admirable virtuosité dont elle est devenue coutumière. Une turgescence magnifique jaillie soudain de mon pantalon à manches courtes. Mon sexe pointe fièrement vers le ciel.

Presque de suite, s'emparant de mon sucre d'orge, Christine se met à en savourer les effluves et les premières arrivées de liquide séminal. J'aime la regarder. Les filles sont tellement belles, les yeux fermés, lorsqu'elles sont entrain faire ça. Elles n'imaginent pas vraiment l'indicible plaisir qu'elles nous procurent, par la vue comme pas les sensations. Nous autres alors, dans ces moments là, nous n'en menons pas large. Les yeux humides de reconnaissance.

La fellation dure ainsi, depuis un quart d'heure, entrecoupée de pauses où nous nous embrassons avec fougue. Je caresse les cheveux, le visage de ma passionnée avec amour. A chaque fois qu'elle s'empare de mon sexe, humide et bouillant, je monte encore d'un cran dans le plaisir. De quoi se damner à tout jamais pour une longue éternité de jouissances.

Nous sommes là, oublieux de tout ce qui nous entoure. Entre le chant des oiseaux, le bruissement des végétaux, je peux entendre les gloussements, les gémissements. Les bruits de succions si caractéristiques. Une pipe. A un moment, j'ouvre les yeux. Suis je alerté par mon sixième sens ? Là, à environ vingt mètres, un couple de jeunes gens nous observe. J'ai le réflexe de repousser doucement ma suceuse.

<< Bonsoir, excusez-nous, nous ne faisons que passer ! >> nous fait le garçon.

La jeune fille me regarde. Elle observe mon sexe avec un sourire étrange. Un vrai bonheur de se faire surprendre ainsi. Les "connaisseuses" et les "connaisseurs" savent ce que je sous-entends là. Un "must". Sans être forcément exhibitionniste, de se faire surprendre dans quelques égarements, reste tout de même un agréable petit stimuli.

Je réponds : << Bonsoir. Il n'y a aucun mal, vous êtes tout excusés ! ! >>. Christine me pince discrètement. Nous sommes très gênés.

Christine se redresse. Elle se pose devant moi afin de cacher mon sexe. Elle réajuste sa jupe que j'avais remonté sur son dos. Le couple s'éloigne. Juste avant de disparaître la jeune fille nous regarde en nous lançant un grand sourire, tout en levant le pouce. Tout cela nous excite considérablement. Nous reprenons les choses où nous les avons laissé. Au bout d'une vingtaine de minutes, j'éjacule avec des spasmes qui agitent tout mon corps. Grandiose !

Après quelques minutes, afin d'arriver à la voiture avant le début de la nuit, nous prenons le chemin du retour. C'est en arrivant au début de la descente du sentier que nous revoyons le couple. Lui, couché sur le dos, se fait sucer. Elle, couchée à ses côtés. En passant près d'eux Christine lance à leur attention : << Ce sont des rencontres qui ouvrent l'appétit, n'est-ce pas ! >>. Pour toute réponse il y a leurs rires. Des rires qui nous amusent autant qu'eux. A tout hasard je laisse tomber ma carte de visite au sol. La fille l'a vu. Nous les laissons vaquer à leurs occupations.

Une fois dans la voiture, je me mets au sol, entre le vide-poche et le siège. Là, j'entreprends d'offrir un somptueux cunnilingus à ma délicieuse coquine. Elle l'a bien mérité...

 

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23/01/2015

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