L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine et moi, en barque, sur l'étang

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                                                    Christine me suce dans la barque sur l'étang

 

Toujours en ce début des années quatre vingt dix et toujours avec mon adorable compagne. A l'automne, nous aimons louer un petit gîte. En ce début de belle saison c'est souvent en Vendée, du côté de Fontenay-Le-Comte. Une région magnifique. Nous y avons récidivé trois années consécutives.


C'est toujours le même gîte. Accueillant, rural, situé à proximité d'une ferme où nous pouvons aller faire nos courses. A pieds en soirée c'est superbe. Il y a là de délicieux fromages "maison", des yaourts, du beurre, des œufs et du pain de "campagne". Nous sommes devenus amis avec le couple d'agriculteurs qui nous loue le gîte. Qui connaît la Vendée sait à quel point l'accueil y est chaleureux.

Un après-midi particulièrement ensoleillé nous avons demandé à emprunter la barque en bois. C'est pour naviguer sur l'étang à proximité de la ferme. Notre ami fermier est enchanté de nous la prêter. L'étang, plutôt vaste, entouré de bosquets, d'arbres et de hauts roseaux, est un véritable havre de paix. L'étang, propriété de notre ami agriculteur, n'est que peu fréquenté.

Cet étang est souvent le but des cavaliers qui viennent depuis le centre hippique situé à trois kilomètres. Les cavaliers en font le tour en admirant le calme des lieux. C'est dans ce cadre bucolique que nous aimons nous installer au bord de l'eau. Depuis quelques jours, nous nous sommes promis de faire du bateau sur cette eau dormante reflétant le bleu du ciel. Une ambiance réellement romantique.

Nous voilà entrain de voguer sur les eaux de l'étang. Je rame lentement. Christine vêtue d'un short et d'un t-shirt, simplement chaussée de sandalettes, me lit des extraits d'un livre étonnant. Nous faisons doucement le tour du plan d'eau. Je longe les roseaux et les rives au plus prêt. Deux petits ruisseaux viennent déverser leurs trop plein dans l'étang. Ce qui créé un léger courant. C'est poissonneux par là.

Trouvant l'ombre de ces grands peupliers plutôt plaisante, j'arrête de ramer pour me vautrer au fond de la barque. La tête sur un rouleau de cordage qui me sert de coussin. J'écoute la voix douce de ma complice. C'est comme une chanson dans le silence qui nous entoure. Au bout d'une dizaine de minutes, elle vient se blottir contre moi. Nous regardons les environs. Nous profitons du privilège de l'instant.

Très rapidement, au bout de quelques minutes, ma coquine se met à me tripoter. Elle sait que mon sexe réagit toujours au quart de tour dans ces moments là. Se dressant comme le mât d'un bateau, avec vigueur et fierté. Cela fait toujours plaisir à voir. Ouvrant la tirette de mon short kaki, Christine m'embrasse tendrement. Ma turgescence pointe vers le ciel.

Se penchant sur le côté ma complice se met à me sucer. Comme toujours, cette indicible caresse me met dans un état "second". Les yeux fermés, je savoure autant qu'elle. Comme à chaque fois j'ai l'impression d'avoir mon sexe dans un bol de purée tiède, onctueuse. Que l'on me pardonne cette métaphore culinaire mais c'est la plus proche description d'une réalité phénoménale que je ne peux que traduire ainsi.

Nous sommes là depuis un temps indéfinissable. Je lui caresse les cheveux. Je murmure des folies qui participent à la faire gémir. Mon sixième sens se met soudain en "branle". J'ouvre les yeux avec ce fort sentiment d'être observé. Là, sur la gauche, à une vingtaine de mètres, une jeune fille, sur son cheval, depuis la rive, nous regarde avec un curieux sourire. Vision équestre d'une belle amazone.

J'ai ce réflexe imbécile mais normal de redresser ma compagne en cachant ma virilité des deux mains. Je dis : << Il y a quelqu'un ! >>. Ma complice se redresse pour constater à son tour la présence de la cavalière. Celle-ci, la vingtaine au grand maximum, nous adresse un sourire, un signe de la main avant de faire tourner sa monture. Rapidement elle disparait derrière les bosquets. << Tu crois qu'elle mâtait depuis longtemps ? >> me demande Christine. Je réponds amusé : << Je ne sais pas, mais j'ai senti son regard ! >>. Christine s'écrie : << Viens, on continue, peut-être qu'elle reviendra faire sa voyeuse ! >>. Je suis un peu gêné. Christine reprend sa délicieuse activité.

J'ai beau scruter longuement les environs, il n'y a plus personne. Cette situation nous a bien excité. Aussi, rapidement, au fond de la barque, nous nous mettons à faire l'amour. Le secret espoir de nous faire surprendre à nouveau reste toutefois vain...

 

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23/01/2015

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