L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine reçoit le menuisier (Partie 2)

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                                                    Le menuisier - ( Partie 2) -

Monsieur Lucas arrive comme prévu pour huit heures. Il gare sa camionnette devant les escaliers du perron d'entrée. Le menuisier commence par décharger son véhicule. Depuis la fenêtre, nous pouvons découvrir les parties détachées de notre escalier. Il fait beau. Le temps est sec. Aussi, monsieur Lucas dépose son matériel contre le muret. Il sort également quelques outils et boîtes qui viennent rejoindre le reste.

Avec Christine, désireuse de "goûter" du menuisier, nous avons mis au point la stratégie habituelle. Pendant la durée des travaux je reste dans le salon. La partie "bureau" est notre coin "administratif". Le salon est une grande pièce d'environ dix mètres sur douze. Un mobilier victorien en assure l'habillage. Une immense cheminée. C'est donc le lieu idéal pour y passer du bon temps. Il y a une étroite lucarne de 20 x 15 cm qui permet de voir dans le couloir.

Je vais accueillir monsieur Lucas. Je lui propose mon aide pour entrer le matériel. Je précise que je ne dispose que de très peu de temps car j'ai un rendez-vous pour dix heures. Que je ne suis de retour que pour midi. L'artisan décline mon offre. Christine, vêtue d'un pantalon noir moulant, d'un sweat-shirt noir très serré et chaussée de souliers à talons vient saluer notre artisan. Ce dernier se met à la tâche immédiatement.

Je prends congé. Je prétexte du travail. J'entre dans le salon. Christine s'affaire entre la buanderie, au sous-sol, et un peu de rangement. Autant de prétextes pour exhiber ses formes sculpturales aux regards de notre artisan. Ce dernier, tout en s'activant avec méthode et professionnalisme, regarde passer et repasser la jeune fille. Moi, depuis le salon, par l'étroite lucarne, je peux admirer les agissements de ma compagne.

Remontant de la buanderie, Christine, accroupie devant le panier à linge, s'affaire à trier. Le linge à suspendre dehors. Sur le séchoir déposé sur la terrasse extérieure. Son pantalon, aussi moulant qu'un leggings, laisse deviner toutes ses formes. Son sexe aux lèvres aussi charnues que celles de sa bouche. La bosse de son clitoris particulier. On devine tout cela sous le fin tissus noir. Monsieur Lucas l'a bien remarqué.

J'observe tout cela avec délectation. Christine, mon "actrice" préférée m'offre encore un superbe "film". Il est à présent l'heure de me rendre à mon soi-disant rendez-vous. Je sors du bureau. A haute voix, à l'attention de Christine, je dis : << Je serais de retour pour midi au grand maximum ! >>. Elle vient me faire la bise. Je sors de la maison pour partir. Discrètement, par une des deux portes fenêtres que j'ai laissé ouverte, je retourne dans le bureau.

Je constate que malgré l'avancée des travaux monsieur Lucas devient soudain beaucoup plus loquace. Plus "bavard". Tout en installant les lames sur les marches, il plaisante avec quelques "gauloiseries" biens senties. Bref, monsieur Lucas s'avère être un sacré "coco". Il faut dire que la jeune fille l'a bien émoustillé avec ses formes affolantes. De ma cachette, j'entends les plaisanteries grivoises de notre coquin.

Une fois encore, Christine a ces mots, sur le ton habituel de la plaisanterie, qui "crucifient" notre homme : << Même si je ne fume pas j'apprécie la pipe ! >>. Une fois encore ce n'est pas tombé dans l'oreille d'un eunuque. Le bougre, sans perdre le nord magnétique, lance : << J'ai ce qu'il faut, la pipe et le tabac ! >>. Christine le rejoint au bas de l'escalier. De ma planque j'admire la suite de l'épisode.

Christine s'assoit sur une caisse en bois. Monsieur Lucas, sans se défaire de sa bonhommie, ouvre sa braguette. Il en extrait une chose aux dimensions impressionnantes. << Wouah ! >> fait ma compagne. Notre menuisier s'approche. Prenant le sexe de notre homme en main, Christine se met à le masturber doucement. Monsieur Lucas essaie de l'embrasser. Ce que Christine refuse toujours avec vigueur. << Tu veux pas baiser ? >> lui lance notre homme. << Non ! C'est la pipe, c'est tout ! >> répond la jeune fille.

Elle avance son visage pour prendre le sexe de notre drôle en bouche. Le type la saisit par les cheveux. Il lui enfonce son membre profondément. Christine manque de s'étouffer. Monsieur Lucas, en vrai salaud, lui maintient la tête. Elle cherche à se dégager. Rien à faire, il la tient fermement. << T'aimes ça, hein , je vais t'en donner ! >> dit il. Christine, dans un effort, se dégage enfin. Le type, sans lui lâcher les cheveux, se cambre sur ses genoux fléchis.

Cambré sur ses jambes, me tournant le dos, il maintient la tête de la jeune fille. Je la vois bouger des jambes en essayant de repousser le type. Rien à faire, il la serre fortement. Il bouge du bassin de manière régulière. La jeune fille gémit. Vu la taille du chibre, Christine ne gémit sans doute pas que de plaisir. Elle a la bouche pleine et ça se voit !

Enfin il la relâche. Dans un cri, Christine se dégage. Elle veut se lever. Le type l'en empêche. Il l'attrape à nouveau par les cheveux. Il se met à lui toucher les seins de façon vulgaire. Il lui place la main entre les cuisses. Christine, dans un effort, se redresse tout en se libérant de l'étreinte du type. Je suis prêt à intervenir. Ma compagne, toisant l'artisan, lui lance : << Vous cessez où je le dis à mon mari ! >>. Le type, retournant à son travail répond : << Il le sait ton mari que tu es une petite salope ? >>. << Oui ! >> lance Christine en venant me rejoindre au salon. Elle ferme la porte à clef derrière elle.

Elle se met dans mes bras en tremblant. Presque en larmes elle confie : << Un vrai salaud ! >>. Il est onze heures trente. Je sors par la porte fenêtre. Je fais mine de rentrer. Une fois dans le couloir d'entrée, je regarde le travail effectué. C'est impressionnant. l'escalier est presque monté. Monsieur Lucas, comme si de rien n'était, me fait savoir qu'il aurait terminé pour quinze heures au maximum. Christine sort du bureau. Elle joue à la perfection l'épouse qui vient accueillir son mari.

Nous avons préparé à manger. Nous sommes à la cuisine. A mon regard, Monsieur Lucas a sans doute compris que Christine m'a tout raconté. Aussi, tout penaud, il termine son travail sans mot dire. Effectivement il termine pour quinze heures et s'en va. Avant de partir, il me fait, sans oser me regarder dans les yeux : << Excusez-moi pour le désagrément ! >>. Je ne réponds que par  un : << Au revoir ! >>. Glacial.

C'est la seule et unique fois, en huit ans, où les choses auraient pu dégénérer. Mais bon, depuis le temps que ma compagne tente le diable en lui suçant la queue, c'est un peu dans la logique des choses. Par la suite, elle s'entoura de plus de précautions.

Lorsque j'ai la facture, il y a une minoration de 15 % pour une obscure raison de "promotion" ! C'est sympathique. De plus le travail est parfait. Nous n'avons plus jamais eu de nouvelles de monsieur Lucas, marié, deux gamins.

L'escalier est superbe. il ne nous reste plus qu'à le cirer...
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22/02/2015

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