L'ECRIT DE JOIE

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Valérie - 8 - Avec Valérie et Isabelle

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                                                           Lundi après-midi avec Valérie et Isabelle

 

Nous avons échangé beaucoup de courriels très évocateurs depuis ce lundi à l'hôtel. Nous n'avons pas arrêté d'envisager une suite à cette visite à Isabelle. Inventant différents scénarios plus suggestifs les uns que les autres. En fait, nous en avons conclu qu'il fallait parler de tout cela dans la réalité. Valérie me fixe rendez-vous ce lundi après-midi à quatorze heures. Le parvis de la cathédrale.

Le temps plutôt doux de ce début avril  invite à la flânerie. Jamais un hiver ne m'a paru aussi long. D'en sortir enfin est une perspective plutôt réjouissante. Valérie et moi, nous nous sommes vus dimanche matin lors de ma visite au salon de thé. A cause de la clientèle nombreuse, il ne nous est pas possible d'évoquer nos scénarios. Valérie a sans cesse des sollicitations d'amateurs de pain, de pâtisseries ou encore de viennoiseries diverses.

La jeune fille arrive quasiment à l'heure. Elle est vêtue de sa jupe sombre, d'une veste trois quart noire et chaussée d'escarpins à talons. Valérie laisse flotter ses longs cheveux sur ses épaules. Avec cette plaisante liberté habituelle. Sa silhouette en est  sublimée.

Nous échangeons quelques bises. Valérie me glisse une douceur à l'oreille. Nous marchons bras dessus, bras dessous. Nous sommes heureux de nous revoir. S'arrêtant, se tournant vers moi, la jeune fille me fait : < Que dirais-tu d'aller directement chez Isabelle à l'hôtel ? >. Après un instant de surprise, je lui demande : < Pour faire comme la dernière fois ? >. Valérie m'embrasse longuement.

Nous parcourons la distance qui nous sépare de l'établissement à pas rapides. Nous évoquons quelques idées vicieuses. Des choses que nous échangeons dans nos courriels. Malgré les situations délicates de sa vie privée, je ne peux m'empêcher d'être admiratif.  Cette faculté qu'elle a d'occulter tous les soucis lorsque nous sommes ensembles. Le sexe est souvent une excellente catharsis. Cela se vérifie là encore.

Nous arrivons à l'hôtel vers quatorze heures trente. Isabelle, le combiné de téléphone à la main, nous fait un grand sourire. Elle mime un bisou qu'elle nous envoie en soufflant dans sa main. La jeune fille nous invite d'un signe de la main à contourner la réception. Une fois encore, tout en bavardant, elle me fait un clin d'œil. Ce reflexe me trouble de plus en plus.

Valérie et moi nous passons dans le petit salon. Nous nous installons dans les profonds fauteuils. Valérie me fait un délicieux sourire Je me lève pour lui déposer une bise sur le front. Elle m'attrape par la braguette. La jeune fille m'embrasse goulument comme elle aime à le faire. Elle fouille ma bouche de sa langue fougueuse. Tout cela est fort prometteur.

Isabelle arrive à ce moment précis. < Alors, les petits coquins. A peine ai-je le dos tourné que vous vous adonnez au stupre et à la luxure ? > fait-elle, les mains sur les hanches. Valérie, en riant, s'écrie : < Non ! A la luxure seulement ! Le stupre ce sera avec toi ! >. Isabelle tire la langue avec vulgarité. Elle répond : < Le stupre c'est ta spécialité à toi ! >. Nous rions tous les trois de bon cœur.

Après nous avoir fait la bise, Isabelle vient s'asseoir dans un des fauteuils. Elle nous raconte quelques anecdotes amusantes. En rapport avec son travail. La jeune fille continue en nous précisant : < Je termine à quinze heures et je reprends à dix sept heures. Je vous propose de monter dans ma chambre de service ! >. Presqu'en même temps, sans même nous concerter, nous nous levons. < Génial ! > fait Valérie avec enthousiasme.

Nous montons par l'escalier de service. Dans l'étroit couloir, Isabelle, avec sa clef, ouvre la seconde porte sur la droite. Poussant le battant, elle nous invite à entrer dans la petite pièce. Un espace réduit et très simplement meublé. Il y a un petit lit, une table étroite, deux chaises, une armoire et une table de nuit. Un petit lavabo est accroché au mur. La chambre est un endroit plutôt austère.

Sur la table, une simple plaque électrique, une cafetière Italienne, trois petites tasses et trois petites cuillères. Un paquet de sucre et un paquet de café. Une plante verte maladive. Isabelle est  vêtue comme la fois précédente. Un tailleur noir, un pull noir et fin sur un chemisier blanc. Elle est chaussée d'escarpins à talons. Presqu'aussi grande que Valérie elle est superbe. Malgré mon mètre quatre vingt deux, je me sens petit en compagnie de ces deux filles chaussées de hauts talons.

< Je vous fais un café ? > lance Isabelle en nous invitant à nous asseoir sur le lit. Valérie se contente de répondre : < Non ! Juste la crème ! > Elle mime une masturbation masculine de sa main droite. Elle tient une des tasses dans sa main gauche, à la hauteur de son sexe. Isabelle en montrant ma braguette, nous fait : < Nous avons un distributeur à portée de main ! >. Nous rions de bon cœur.  

Je suis assis sur le petit lit. Valérie à mes côtés qui me caresse la cuisse. Isabelle debout nous observe. Je suis en érection.  L'idée de passer ce moment privilégié avec les deux filles me trouble. Je m'efforce de ne rien laisser paraître de mes émotions.  Soudain, sans prévenir, Isabelle s'accroupit devant nous. Les cuisses écartées.  Elle est excitante dans cette position. Valérie pose sa main sur mon sexe. Elle m'observe. Vicieuse, elle me demande : < Je te sors la bite ? >. 

L'instant est intense. Valérie m'ouvre la braguette. Mon érection contrariée par le tissus de mon pantalon rend les choses ardues.  Elle tient enfin mon sexe dans sa main. La jeune fille l'agite comme un trophée. Isabelle observe tout cela avec attention. Ce moment est toujours source de délicieux tourments. Je reste en apnée pour assister à toute la scène.

Ma turgescence dans la main Valérie regarde Isabelle. Cette dernière me lance un long regard libidineux par en dessous. Elle me fait, avec ce clin d'œil habituel : < Tu bandes comme un salaud  dis donc ! Encore des filles sans doute ! >. Valérie en riant me la secoue dans tous les sens.  Le regard d'Isabelle se fait envieux. Je vis là un moment divin.

Se redressant, Isabelle prend une chaise. La posant à l'envers, le dossier entre les jambes, elle s'y assoit. Les cuisses écartées, les bras croisés et posés sur le dossier. La jeune fille, dans cette posture suggestive, nous regarde. Valérie m'embrasse comme à son habitude. Fouillant ma bouche de sa langue vive, tout en tenant mon sexe dans sa main. J'ouvre les yeux pour constater qu'Isabelle nous regarde avec attention. Je les ouvre aussi pour être certain de ne pas rêver.

Valérie me repousse sur le lit. Je m'appuis contre le mur. La jeune fille approche sa bouche de mon sexe. Je peux sentir son haleine chaude sur l'extrémité de mon prépuce. Je fixe Isabelle. Mon excitation est vive. Valérie se met à sucer. Délicatement comme elle sait si bien le faire. Je continue à fixer Isabelle dans les yeux. Il est très excitant de surmonter cette gêne extrême. De savourer la douceur indicible de la fellation en même temps.

Les bruits de succions emplissent la pièce. Je gémis sous l'effet de la douce caresse. Parfois, il m'est impossible de garder les yeux ouverts. Le plaisir est si intense. Immense. Un plaisir partagé par tous les trois. A des degrés différents certes, mais j'ai l'intime conviction qu'à l'instant chacun y trouve très exactement son compte. Le sucé, la suceuse et la voyeuse. Nous sommes évidemment entre cérébraux...

Un long moment et Valérie se redresse. Mon sexe est trempé. Valérie en a des coulures sur les lèvres et le long du menton. J'aime à distiller longuement mon liquide séminale dans sa bouche. Je n'éjacule toujours que très tardivement. Je partage là cette qualité avec une connaisseuse. < Tu es pleine de jute ! > fait Isabelle à l'attention de Valérie. Tout en rapprochant encore la chaise.

Valérie se lève. Elle s'approche d'Isabelle pour l'embrasser. Je regarde cet étonnant spectacle. Isabelle se pourlèche de la substance que lui offre généreusement Valérie. Valérie revient vers moi. Elle s'assoit  et m'embrasse à mon tour. Le goût de sa bouche est fort. Elle se relève, me prend par la main, me force à me lever aussi.  La jeune fille m'emmène devant la chaise. Devant Isabelle.

Je suis debout devant la jeune fille. Je bande mou. Il pend de mon méat un épais filament visqueux et laiteux.  Ma braguette est largement ouverte. Isabelle approche son visage. A quelques centimètres, la jeune fille observe avec attention. Sans toucher. Approchant encore son visage. Isabelle se met à humer, à respirer, à en renifler l'odeur. Cela dure quelques minutes.

Valérie, accroupit, regarde la scène. Concentrée. Il n'y a que le bruit de nos respirations. L'ambiance est torride. L'air est épais d'un vice presque palpable. < J'ai l'impression d'être dans un porno ! > fait Isabelle en s'emparant de mon sexe. Isabelle approche encore son visage. A l'aide de ses deux mains posées sur ma taille, elle m'attire pour engloutir ma virilité. Je regarde ce spectacle étonnant, sublime. Je suis saisis d'un irrépressible vertige.

Les yeux fermés, Isabelle pompe avec bonheur. La quantité de jus doit être conséquente. Presque immédiatement la jeune fille se met à déglutir. Je l'entends reprendre son souffle, tentant  d'avaler avec difficulté. Mon excitation est telle que mes couilles distillent du liquide séminale de façon continue. Je les sens "bouillir". Je suis couvert de frissons. Je suis couvert de sueur.

Valérie s'approche encore pour regarder son amie sucer. Puis, se relevant, elle approche son visage du mien. Elle se met à me scruter, à me dévisager. Toute proche. Comme pour une analyse d'entomologiste. Mon excitation est à son comble. Valérie, au bout d'un moment de cette attention particulière, m'embrasse avec passion. Me passant la main dans les cheveux, elle me murmure :< Elle suce mieux que moi ? >. Je me contente de l'embrasser sans répondre.

J'éjacule dans la bouche d'Isabelle. Je crois n'avoir jamais éjaculé avec une telle puissance. C'est ce je me dis à chaque fois. Isabelle a des soubresauts. Comme autant de hauts le cœur qui la secouent de spasmes. La jeune fille déglutit avec peine. La quantité de sperme doit être considérable. Pour la rassurer je saisis sa tête délicatement. Je lui caresse les cheveux, les joues.

Valérie continue à m'embrasser. C'est une étrange douceur. Les deux filles me plongent dans d'indicibles bonheurs paradisiaques. Isabelle continue sa succion avec la même douceur que le baiser de Valérie. Je suis proche de l'apoplexie. Baisse de tension. Palpitations cardiaques. Affolement des sens. Perte de l'équilibre. La "totale".

Valérie m'embrasse si délicatement que je la serre dans mes bras ! Comme un amoureux transi, éperdu. Isabelle me suce si délicatement que je reste sans bouger. Perdu. Je veux que cet instant se fige pour l'éternité. De toutes mes forces. La jeune suceuse me vide complètement. Le pompage du "fond de cuve".  Si délicieusement suave. Gargouillis. Bruits de bulle...

Isabelle se retire. Elle tient mon sexe mou entre son pouce et son index. Etudiant la chose avec la même attention que précédemment. Se penchant en avant, Valérie approche son visage de celui d'Isabelle. Les deux filles s'embrassent longuement. Doucement, je sens monter une nouvelle érection. Comment pourrait-il en être autrement sans manquer de la plus élémentaire des politesses envers ces deux jeunes "furies".

Lorsque Valérie se redresse pour venir porter son visage près du mien, elle me fait : < On est si bien !  >. Lorsqu'elle ouvre la bouche pour prononcer ces mots, je  vois les filaments de sperme épais entre sa langue et son palais. Sans doute le reliquat de ce qu''Isabelle vient d'y déposer. D'y cracher...

Sans prévenir j'enfonce mon sexe dans la bouche d'Isabelle une nouvelle fois. Pas du tout surprise par mon élan, la jeune fille se met à sucer. Nous repartons pour un second tour. Ce fameux second tour des connaisseuses. J'ai trente ans de plus que ces deux adorables jeunes filles de vingt ans. Je partage pourtant totalement leur goût pour les situations véritablement torrides. Glauques. Pas inhibées pour deux sous, elles me ravissent.

Un moment passe. Isabelle se retire. Elle me regarde par en-dessous. Un regard vicieux. Elle me fait : < Valérie m'a parlé de ta "spécialité" ! Tu me fais goûter ? >. Là, vraiment, s'en est trop. Même pour un vieux briscard comme moi ! Cette anecdote intime a été révélée également ! Je regarde Valérie avec amusement en lui disant : < Rapporteuse ! >. Nous rions de bon cœur.

Je me laisse totalement aller. Cette délicieuse seconde fellation me fait chanceler. Valérie, toujours très observatrice, me tient les couilles par derrière. A travers le tissus de mon pantalon. Elle cesse et se saisit de l'autre chaise. S'asseyant dans la même position qu'Isabelle, elle se met à observer. Valérie "analyse" avec une grande attention la pipe de son amie.

Je me concentre longuement. J'essaie de m'imaginer pieds nus dans l'eau froide d'une rivière. Enfin, grâce à ce stratagème, je me lâche selon le souhait d'Isabelle. Toujours avec un contrôle total, je lâche de tous petits jets. La jeune fille, d'abord surprise, déglutit avec peine ces petites giclées régulières. Valérie me fixe dans les yeux avec un air terriblement vicieux. Elle sait très exactement ce que je suis entrain de faire. Elle-même passionnée par ces épanchements. < C'est génial ! > fait-elle en passant son bras autour du cou d'Isabelle.

Valérie, de temps en temps, approche son visage de celui d'Isabelle. Celle-ci, se retire et porte sa bouche sur la sienne. Je peux voir tout ce qu'elle partage avec son amie. Un "mélange". Du liquide séminal, du sperme, de la salive, de la pisse...

Régulièrement, en parfait gentleman, je repousse la tête d'Isabelle. Je lui retire doucement la tête. La tenant pas les cheveux. Cela lui permet non seulement de respirer sans contrainte mais également de reposer sa mâchoire. Je passe mon sexe sur son visage en le frottant sur sa peau. Je reste ainsi. Je décalotte mon gland contre les lèvres. Elle en gémit de vice, la bouche lascive.

 

Au bout d'un long moment j'éjacule. Comme un dément. Emplissant une nouvelle fois la bouche de la jeune fille. Elle pompe fortement. Longuement, afin de bien me vider. Puis, la bouche pleine, Isabelle se tourne vers Valérie pour l'embrasser. Déversant dans sa bouche le sperme qu'elle n'a pas encore avalé. Valérie gémit en pompant la bouche d'Isabelle. Leurs joues creuses, mélangeant leurs salives et mon jus, elle se sucent la bouche.

Je regarde les deux jeunes filles se pourlécher. J'observe leurs langues s'unir. Leurs bouches pleines de filaments laiteux. C'est prodigieux. Un spectacle inoubliable. Un moment qui est entrain de s'imprimer à tout jamais dans nos souvenirs. Divin. Je lâche un jet de pisse sur les deux visages unis. Valérie se met à gémir fortement. Comme une démente. Presqu'un cri. Se tournant vers mon sexe elle ouvre sa bouche. Valérie vient me sucer. Je vacille sur mes jambes en tombant sur le lit. Les filles s'essuient avec des serviettes.

Il est dix sept heures quinze et Isabelle doit s'apprêter. Se changer.  Sécher ses cheveux. Il lui faut retourner à son travail. En descendant, nous nous promettons de vivre cette aventure encore une fois. Isabelle regarde fixement Valérie. Presque solennelle, Isabelle fait : < Tu serais d'accord pour lundi, Val ? >. Il y a un profond silence. Je n'interviens pas dans la conversation. Je préfère que les filles règlent ça entre elles. Je suis libre et disponible. Pas elles.

Nous prenons congé d'Isabelle. Une fois dans la rue Valérie  se serre dans mes bras et me fait : < Tu sais, ça me rend un peu jalouse. Je crois que je ne pourrais pas le vivre une seconde fois ! Tu m'en veux ? >. Je comprends parfaitement. Je fais la promesse de ne jamais évoquer cette éventualité en premier. Ni devant l'une, ni devant l'autre. < Elle ne m'aurait pas offert un peu de ta seconde jute, j'aurais quitté la pièce ! > me fait-elle encore. Je reste silencieux. Je culpabilise stupidement.

Je propose un restaurant. Nous sommes attablés dans un petit établissement Chinois. Je promets à Valérie de venir la voir au salon de thé jeudi après-midi. Je lui promets également de ne jamais tenter de voir Isabelle sans elle. Jamais. Valérie prend mes deux mains dans les siennes...

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18/04/2012

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