L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Une étudiante BTS Tourisme me fait visiter la ville (5)

 

 

 

Je la force à s'accroupir à côté des toilettes. Je la maintiens par les cheveux. Je dirige son visage à quelques centimètres de mon sexe. Je lâche de petits jets. C'est à mon tour d'être très étonné. Je n'ai même pas besoin de la forcer. Isabelle, entre chaque jet, vient pomper mon sexe avec avidité. J'ai quelques vertiges soudains. Quelques spasmes secouent mon corps comme des décharges électriques. Je suis obligé de me tenir aux murs.

 

Nous somme tous les deux dans les plus hautes sphères du vice. Isabelle lève la tête, me regarde, me fixe. La jeune fille semble implorer encore plus de saloperies. Je reprends mes esprits. Je dois rester le "Maître". Je force la jeune fille à se relever. Je l'emmène. Je tiens la laisse. J'entraîne Isabelle dans la chambre. Je décroche ses menottes. Je libère ses poignets et ses chevilles. Je soulève Isabelle pour la déposer sur le lit. J'oublie complètement mon personnage. Je le fais avec tant de douceurs.

 

Il me faut impérativement retourner au rôle qui m'est imparti. Isabelle est couchée sur le dos. Je touche son sexe avec toute la vulgarité du personnage. Isabelle m'embrasse avec fougue. C'est elle qui fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Je me mets sur la jeune fille. Je la pénètre doucement avec d'infinies précautions. J'oublie encore une fois mon rôle. Je pénètre la jeune fille de toute la longueur de ma virilité. Je me mets à lui faire l'amour comme un damné.

 

J'imprime à mon bassin des mouvements de va et vient. Incontrôlés et de plus en plus rapides. Enfin je reprends mes esprits. Je ralentis pour cesser. Isabelle comme saisie de vertiges semble avoir beaucoup de peine à concentrer son regard. Ses yeux se referment. Je repars dans un rythme effréné. La jeune fille, cambrée en arrière, la tête rejetée sur l'oreiller, me tient par la nuque. Elle m'enserre de ses bras en poussant de petits cris.

 

Isabelle gémit comme une démente. Je suis obligé de placer ma main sur sa bouche. Je la baise comme un vrai salopard ! Selon sa demande. Je la baise encore et encore. J'enfonce mon sexe le plus profondément possible. Je caresse ses fesses. Je me rends compte qu'elle a toujours le gode enfoncé dans le cul. Soudain, reprenant ses esprits, Isabelle me crache au visage, dans la bouche ! La jeune fille me repousse. < Vicelard ! > me lance t-elle. < Espèce de salopard ! Ordure ! > me fait-elle soudain avec rage. Je suis interloqué. Est-ce le jeu ? Je la baise encore plus fort !

 

La tête rejetée en arrière, les reins cambrés, la jeune fille se fait niquer comme une folle. J'y mets tout mon corps, tout mon cœur.

 

Ses cheveux trempés de foutre et de pisse collent sur ses joues et sur l'oreiller. Elle n'arrête plus de me cracher dans la bouche et au visage. La jeune fille semble prendre un plaisir supplémentaire à m'insulter, me traitant de tous les noms. Isabelle se lâche sans doute ainsi pour la première fois. Et d'une telle façon. Quel bonheur !

 

Je me retire afin de ne pas éjaculer. Mon excitation est immense. Je relève la jeune fille. Je la saisis par ses cheveux. Fermement. Je la force à se mettre debout. Je me saisis du gode. Je le lui enfonce dans le sexe. Isabelle a un réflexe jouissif surprenant. Cambrée en avant, les jambes écartées. < Tu es le pire salaud que je n'ai jamais vu ! > me fait-elle en tombant à genoux devant moi. Je suis un peu décontenancé. Je n'en montre rien

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Je me mets à genoux devant la jeune fille. Je tiens le gode et ses cheveux. Je lui enfonce le gode un peu plus. Je joue avec l'objet. Je le fais tourner. Je le fais coulisser dans le sexe de la jeune fille qui tente de m'embrasser. Je l'en empêche. Je dois préserver le peu de conscience qui me reste. Isabelle se cabre. Elle pousse un râle profond et sonore. Je l'emmène à un nouvel orgasme. Je me penche pour regarder.

 

Son sexe dégouline de cyprine. Je retire le gode. C'est comme si j'ouvrais des vannes. Je me couche rapidement sur le dos. Je glisse ma tête entre les cuisses de la jeune fille. Elle s'assoit sur mon visage. Je vais à nouveau me livrer à mon festin préféré. Je suce le jus de la jeune fille qui ruisselle autour de ma bouche ! J'avale tout ce que je peux. Je suce. Je pompe. Je déguste. Je savoure. C'était le fameux nectar des dieux à n'en point douter ! L'élixir de longue vie ! Je m'entends gémir comme un bienheureux.

 

Isabelle est agitée de spasmes qui la secouent de tremblements violents. L'intérieur de ses cuisses n'arrête plus de vibrer contre mes joues. Isabelle se relève avec un profond soupir. Elle murmure des choses incompréhensibles. Je me redresse. J'ai un vertige plus important encore. Je dois me retenir à la commode qui est à gauche. Isabelle semble dans le même état. Nous échangeons un délicieux sourire.

 

Je m'installe sur la chaise. Je viens de vider le vagin de la jeune fille de toutes ses humeurs. Le goût que j'ai en bouche est un peu acide. Quel régal. Isabelle se relève avec peine. Elle s'approche de moi pour me chuchoter : < Je n'ai jamais vécu de tels sommets ! C'est la première fois ! C'est une nouvelle addiction. Je sais déjà que je serais toujours à la recherche de cette première fois ! >. Isabelle m'embrasse avec une telle tendresse que mon coeur fait un bond extraordinaire dans ma poitrine.

 

Le goût de sa bouche est fort . Cette bouche qui a été le réceptacle de tous les "jus" possibles. Mon vide-couilles. Mon urinoir. La bouche de la jeune fille dégage une odeur de pissotière. Je le lui fais remarquer. Elle me regarde par en-dessous et me fait : < Un grand moment de pissotière ! >. Nous rions de bon cœur. Isabelle se serre contre moi. Ses cheveux trempés sont froids dans mon cou.

 

< Maintenant , je veux te vider les couilles ! > me fait-elle en m'attrappant le sexe. Moi, comme un idiot, j'ai  la stupidité de m'orienter vers un romantisme déplacé ! Alors qu'Isabelle reste "branchée" sexe. Elle garde sa raison et sa lucidité à présent retrouvées jusque dans les tréfonds du vice ! Je suis admiratif. Je me sens sombrer dans un sentimentalisme ridicule. Et qui n'a pas lieu d'être ! L'excitation sexuelle m'envahie à nouveau très vite. < En temps normal, je ne suce pas ! > me fait Isabelle en appuyant son propos d'un clin d'œil vicelard.

 

Je m'installe confortablement sur la chaise. Mon sexe fièrement dressé sous le nez de la jeune fille qui semble en humer les effluves. Je regarde le beau visage trempé de sueur, de foutre et de pisse de la jeune fille. Isabelle approche sa bouche pour gober ma turgescence gluante. Ses joues se creusent rapidement par la succion. Isabelle suce, parfaitement immobile et silencieuse.

 

La jeune fille reste ainsi sans bouger. Elle est consciencieusement concentrée sur son pompage de foutre . Elle doit en recueillir de grandes quantités. Je la vois déglutir. Je l'entends tenter d'avaler. Le bruit de ses déglutitions m'excite au plus haut point. Nos corps sont trempés de sueur. Malgré la fraîcheur toute relative de la nuit. Je lâche mon sperme en trois saccades et quelques coulures que la jeune fille savoure avec délice. Nous gémissons de concert dans la même tonalité.

 

Après m'avoir bien rinçé, vidé et essoré, Isabelle se redresse. < Je suis crevée ! > me fait-elle ! Je lui dépose plusieurs bises sur son front humide. L'odeur des cheveux de la jeune fille devient acre. Je propose une douche. Avant de nous rendre à la salle de bain, au sol, je dépose les deux serviettes de l'hôtel. Afin d'absorber la pisse. Nous nous savonnons en riant. La jeune fille ne tarit pas d'éloges quand à mes "compétences".

 

Nous nous couchons. Nous sommes juste couvert d'un drap. Lorsque nous sommes allongés l'un à côté de l'autre, nous nous endormons presque de suite. Nous tentons bien de lutter encore un peu. Isabelle a posé sa tête sur mon épaule. Je suis couché sur le dos. Nos paroles se diluent dans des propos abstraits. Nous sombrons dans un profond sommeil. Epuisés. Fourbus. Soulagés.

 

Le lendemain, vers neuf heures, au réveil, Isabelle se serre avec force contre moi. < Bonjour Maître ! > me fait-elle. Nous éclatons de rire. Isabelle me chevauche en me chatouillant. Elle peut sentir mon érection matinale. Sans même nous demander se qui nous arrive, nous sommes l'un dans l'autre. Nous faisons l'amour. Nous nous berçons doucement. Nos douceurs et nos tendresses contrastent fortement avec nos excès de la veille.

 

L'orgasme arrive rapidement. Nous filons sous la douche en riant. J'invite Isabelle à déguster un petit déjeuner dans le salon de thé de son choix ! Nous évoquons notre soirée folle. < J'ai un peu honte ! > me fait Isabelle en me prenant la main. Je la rassure en lui faisant remarquer que la honte participe du plaisir de ce genre de chose. Nous nous sourions longuement. Nous quittons cet agréable endroit.

 

Isabelle m'emmène aux jardins d'Arcadie. C'est dans le centre de la ville. Jusqu'à midi nous  flânons au bord de cette si belle Garonne. C'est l'heure d'aller manger. Comme par pudeur, durant tout le repas, nous nous refusons d'aborder les "aventures" de la nuit passée. Il me faut honorer mon rendez-vous de quatorze heures trente. Raison de ma présence à Bordeaux.  J'invite Isabelle à la retrouver vers dix sept heures devant l'hôtel de ville.

 

Je suis là à l'heure. Isabelle se serre contre moi. Toute heureuse de me revoir. Nous marchons un peu. Nous bavardons. Nous décidons d'aller passer la soirée au bord de la mer. Nous roulons sur la petite route du littoral. Nous découvrons rapidement un agréable restaurant. Une fois encore, nous occultons notre "séance" de la veille. Isabelle me fait toutefois une réflexion : < Je veux refaire. Et avec toi. Encore une fois ! Je t'écris dès ce soir !>.

 

De retour en ville vers vingt trois heures Isabelle me souhaite une bonne nuit. La jeune fille vit encore chez ses parents.  Il lui est difficile de découcher une seconde nuit. Un nouveau mensonge serait grossier. Je ne le lui propose d'ailleurs pas. La jeune fille me promet d'être dans le hall de l'hôtel, demain matin, à neuf heures. Isabelle veut absolument m'accompagner à la gare Saint Jean. J'ai beau lui dire que ce n'est pas une bonne idée. < Tu t'es déjà attaché à moi ? > me demande t-elle avant de rajouter, mutine : < Moi aussi ! >.

 

Il y a un long silence. Ces mots résonnent encore aujourd'hui dans mes souvenirs. Isabelle me fixe. Son regard fouille mon âme, mon cœur. Nul doute, nous connaissons la même émotion. Il est grand temps de mettre un terme à mon séjour Bordelais. Nous avons beaucoup de difficultés à nous quitter. Isabelle fait quelques pas et revient. Je fais pareil. Nous nous serrons l'un contre l'autre entre deux éclats de rire.

 

Le lendemain, Isabelle est là. Les yeux encore cernés du plaisir de sa première nuit de "soumise". Sur le quai de la gare, mon vieux cœur se brise une fois de plus. Le train est là. Le quai de la gare est bondé de monde. Isabelle reste un peu distante. Elle a cette sage attitude féminine. Je suis à la fenêtre du train. Je vois la silhouette de la jeune fille s'éloigner. Elle disparaît, là-bas, au loin, sa main levée.

 

Bordeaux est sans doute une des plus belles villes de France.

 

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06/03/2017

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