L'ECRIT DE JOIE

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Valérie - 4 - Nous faisons l'amour

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                                                                   Nous faisons l'amour

 
Nos échanges de courriels sont devenus une douce habitude. Nous aimons évoquer par l'écrit les délicieux moments que nous nous offrons. Cela nous procure tant de secrets plaisirs. Echanger ainsi nos impressions. Glisser insidieusement vers les plus intimes détails. Dans son dernier message  Valérie me propose de la retrouver en ville. Le lundi est son jour de repos. Malgré une vie privée tourmentée la jeune fille sait organiser son emploi du temps. Une fois encore elle arrive à se libérer pour cette seconde partie de la journée.

J'arrive pour quatorze heures. Valérie a suggéré un rendez-vous dans la galerie commerciale. Le grand magasin du centre ville. Une fois encore, avec cette étonnante ponctualité, la jeune fille arrive en même temps que moi. Toujours vêtue de son manteau noir et de son pantalon noir. Valérie est chaussée de ses escarpins noirs à talons. Elle me semble à chaque fois plus grande. Ses longs cheveux flottent en toute liberté sur ses épaules. J'aime cette  apparence féline.  

Une fois encore je lui propose de passer l'après-midi chez moi. Cette suggestion semble la ravir. Nous nous faisons la bise. Presque de suite Valérie se serre contre moi. < Comme je suis contente de te voir ! > me fait-elle en se collant à moi. Je lui prends les épaules. Je lui fais : < J'ai pensé à toi presque tout le temps ! >. Nous quittons le centre commercial pour marcher un peu à l'extérieur. En cette seconde moitié de mars le climat se radoucit un peu.

Une fois dans la voiture la jeune fille déboutonne mon pantalon. Sortant mon sexe, comme à son habitude, elle se met à jouer avec. Mon prépuce entre son pouce et son index . Cette sensation, d'abord agréable, devient très rapidement délicieuse. Une fois encore nous quittons le romantisme pour la sexualité. Une sexualité romantique comme Valérie se plait à appeler nos délicieuses étreintes.

Il y a trente minutes de voiture pour arriver chez moi. Nous bavardons. Je deviens peu à peu le confident de la jeune fille. J'apprécie de rouler en-dessous des limites de vitesses autorisées. Non seulement cela me procure un sentiment de sécurité supplémentaire mais cela me permet de profiter pleinement des paysages. Sans évoquer le plaisir de la conduite. Je suis à l'écoute.

Nous échangeons des bons mots et des rires. Il me faut également faire preuve d'une plus grande concentration sous l'effet des caresses incessantes de la jeune fille. Celle-ci aime à me déstabiliser en toute circonstance. Prenant plaisir à me perturber quelque peu. Les filles restent le plus délicieux mystère de ma vie. Je suis un privilégié.

Nous arrivons devant chez moi, Valérie me demande de ne pas me reboutonner. Je ferme toutefois mon duffle coat. Il n'est évidemment pas question de se faire surprendre la braguette ouverte par des gens du voisinage. En entrant dans mon appartement, la jeune fille retire son manteau. Je retire le miens. Mon sexe, retrouvant sa liberté, pend de ma braguette.

La jeune fille, s'accroupissant devant moi, se met à me masturber doucement. Faisant toujours très attention de ne pas me décalotter. Ce que j'apprécie tout particulièrement. Rien n'est préférable à un gland bien protégé par cette météo de mars. Même à la maison. Approchant sa bouche, Valérie se met à suçoter l'extrémité de mon prépuce. Cessant le mouvement de son pouce et de son index, c'est avec ses lèvres qu'elle prend le relai. Immédiatement l'indicible caresse m'envahit d'une douceur vertigineuse.

Je vacille. Je chancelle. Valérie me tient par les cuisses. Elle maintient mon équilibre. Elle connaît bien le "principe" du bonheur qu'elle me prodigue. Me fixant dans les yeux avant de fermer les siens, comme pour déguster, la jeune fille retire sa bouche pour me faire : < Are you ready, darling ?>. Je réponds : < Yes, it's right ! Go baby ! >. Elle engouffre ma virilité avec appétit. 

Au bout de quelques minutes j'invite la jeune fille à se redresser. < Aïe, mes jambes ! J'ai vingt ans. Je me fais vieille ! > me fait-elle en riant. Valérie me suit près du canapé. Je m'assois et j'invite la jeune fille à s'installer près de moi. Je lui demande : < Voudrais-tu un café ou un Thé ? >. < Volontiers ! Un petit café ! > me dit-elle en essuyant le liquide séminale qui luit et suinte sur ses lèvres.

Lorsque je reviens de la cuisine  Valérie est nue. Totalement nue. Assise sur mon canapé, ses vêtements biens pliés sur la petite chaise.  Valérie reste simplement chaussée de ses escarpins à hauts talons. La petite sangle de cuir enserre ses chevilles délicates. La jeune fille a un sourire terriblement évocateur. Le regard par en-dessous, elle m'observe. Coquine en diable...

Je verse le café dans la petite tasse. Sans en mettre à côté, malgré mon trouble. Je m'assois à nouveau. La jeune fille pose sa jambe gauche sur ma jambe droite. Ecartant ainsi ses cuisses. De sa main droite elle touche son sexe toujours exposé. De sa main gauche Valérie tripote mon prépuce. < Tu aimes les surprises ? > me fait-elle, mutine et amusée.

J'apprécie avec une sorte de solennité l'instant présent. Je lui fais part de mon trouble délicieux. De mon bonheur de vivre une telle situation. Je pose mon index sur la pointe de son sein droit pour lui dire : < Tu sais, ce que j'aime avec toi, c'est cette surprenante lucidité avec laquelle nous agissons tous les deux ! >. Après un silence appuyé, je m'entends répondre : < Plus la lucidité est grande, plus le plaisir est intense ! >. Comme la jeune fille a raison !  

Il y a un petit moment de silence. Nous évoquons les émotions causées par la situation. Nos envies et la façon de les vivre. Valérie se met à califourchon sur moi. Je m'allonge du mieux que je peux. Les jambes tendues devant le canapé. Mon sexe turgescent pénètre Valérie. Un peu comme s'il était indépendant de ma volonté. Je me retrouve dans la jeune fille. Quelle délicieuse sensation. Le plus agréable fourreau dont on puisse rêver. C'est la place naturelle de nos deux sexes. Les deux pièces d'un puzzle enfin réunies.

Nous restons sans bouger. Nous fixant dans les yeux. Nos lèvres se frôlent de temps à autre. Nous sommes pleinement conscients. Soudain Valérie m'embrasse. Avec fougue. Profondément. Goulument. Comme à son habitude. La jeune fille fouille ma bouche de sa langue. De la salive coule sur nos mentons. Nous en bavons de plaisir. Passionnés et fous...

Doucement, de concert, nous nous berçons. Un mouvement lent, rythmé et régulier. Chaque balancement nous procure d'ineffables plaisirs. La langue de Valérie fouille ma bouche. Nous en sommes à baver sans retenues. Nous contrôlons parfaitement nos mouvements. Je peux sentir le bassin de Valérie. Elle recherche des sensations. L'angle le plus favorable. La jeune fille se concentre sur cette recherche tout en m'embrassant. Je cesse de bouger.  Pour lui permettre de trouver.

La jeune fille accélère. Elle se tortille, souffle et gémit. Elle ralentit son mouvement. Contrôlant et maîtrisant totalement chaque instant de son plaisir. Et du miens. Je me laisse faire. Quel plus merveilleux spectacle que de voir cette jeune fille se concentrer ainsi. La recherche de sensations. Je l'observe, se tortillant sur mon pal. Valérie est en sueur. Des mèches de ses  cheveux collent sur son front. Sur ses joues.

Soudain, sans prévenir, la jeune fille se retire et se lève. Se couchant sur l'épais tapis, les cuisses largement écartées, elle m'invite à la rejoindre. Prenant le coussin de velours, je le place délicatement sous la tête de Valérie. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Cambrée sous moi, la tête rejetée en arrière, Valérie recommence ses explorations. Sa recherche de sensations. Son bassin se bloque contre le miens. Elle reprend son mouvement lent et régulier.

Je prends appui sur mes mains.  Ne pas gêner ses recherches par le poids de mon corps. Parfois, elle m'entraîne à me coucher sur elle. Parfois, l'espace d'une seconde je me retire. M'introduisant à nouveau dans son sexe trempé en prenant appui sur mes mains. Nous restons longuement sans bouger. Il y a quelques à coups complices. Je reste immobile. Je la regarde se mordiller la lèvre inférieur. Valérie a les yeux fermés. 

Lentement, passant ses jambes autour de mon corps, Valérie se met à imprimer un mouvement de va et vient. Je reste sans bouger. Appréciant chaque seconde de ce passionnant voyage, je m'efforce de n'en être que le passager.  Nous échangeons des regards brûlants. < Tu te rends compte que je suis une baiseuse ? > me fait la jeune fille en accélérant ses mouvements. Je ne sais que répondre.

Lentement, à mon tour, j'entre enfin dans la danse. Nous nous berçons dans une immense tendresse. Je suçote les sourcils de la jeune fille. Je passe mes lèvres sur la peau de son visage. Je veux sa sueur. J'ai envie de ne pas perdre une seule goutte de toutes ses sécrétions. A mon tour, je lui murmure : < Tu te rends compte que je suis un baiseur ? >.  < Ah non ! Je ne me rends compte de rien ! Tu es prié de faire quelques efforts ! > fait-elle avant de s'agiter de plus en plus vite.

J'ouvre les yeux en même temps qu'elle. Nous nous regardons jouir. Avec attention. Une acuité  d'entomologiste. Nous tentons en vain d'analyser nos émotions.  Les expressions de nos visages mouillés de sueur. C'est absolument fabuleux de la voir jouir. C'est divin de découvrir les rictus de sa bouche. Les déformations de la commissure de ses lèvres. Ses paupières tressaillent. A mon tour je prends l'initiative de fouiller sa bouche.

Mon baiser profond déclenche un puissant spasme. Un frisson secoue le corps de la jeune fille. Se cabrant en arc de cercle Valérie émet un râle.  Plusieurs gémissements. J'éjacule comme jamais. J'ai le feu au ventre. J'ai le feu aux reins. J'ai le feu aux tempes. Je suis là à mourir de plaisir.  Dans un râle incontrôlable, je laisse mon jus s'écouler, se répandre partout dans la fille.

Nous restons immobiles. Trempés de sueur. Je pose ma tête contre son épaule. Les mains de Valérie caressent mon dos. < C'était merveilleux ! > me fait-elle au bout d'un long moment. Je me retire doucement. Je m'allonge à ses côtés.

Avec ma bouche je descends sur ses tous petits seins pointus. Je m'y attarde un peu. Je descends plus bas. Je veux lécher le sexe de la jeune fille. En récupérer toutes les sécrétions. Je déguste chaque centimètre de sa peau humide. Je lèche cette sueur comme un animal. Je n'ai plus aucune inhibition. Je n'ai plus aucune dignité. Je suis entrain de me nourrir des saveurs de ce corps encore haletant.  La jeune fille apprécie mes passions en gémissant doucement. 

Valérie tente bien de faire de même. Nous sommes l'un contre l'autre. Chaque geste nous coûte.  Nous plongeons dans un profond sommeil...

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18/04/2012

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