L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christelle - Épisode 18

                                                 Une découverte pour Christelle

 

Je roule doucement sur cette toute petite départementale. Volontairement, Christelle et moi, nous prenons les routes les moins fréquentées. Nullement pressés, ayant tout notre temps, nous avons ainsi l’illusion de savourer davantage chaque instant. Ma comparse aime bien prendre plein de photographies. Son téléphone dans la main droite. Avec sa main gauche dans ma braguette elle joue avec mon sexe. Je suis en admiration. Cette capacité toute féminine de pouvoir faire plusieurs choses en même temps. Comme par exemple me divertir de quelques anecdotes concernant sa vie. Ce sont souvent des associations d'idées. C'est la première fois qu'elle passe des vacances seule.

 

Seule. C'est à dire sans ses parents. << On est venu par là quand j'étais petite mais je ne me souviens plus vraiment ! Ce sont parfois des endroits qui éveillent un vague souvenir ! >> précise t-elle. De ma main droite, sans prévenir, je vais fouiller dans sa culotte, sous sa jupette. J'ai toujours eu une préférence pour les boîtes de vitesses automatiques. C'est beaucoup plus peinard. << Tu veux que je l’enlève ? >> me demande ma coéquipière. Tout en serrant mon sexe avec force. Je m'écrie : << Oh oui, retire là ! >>. De tenter d’introduire mon médius, au risque de me faire une entorse du poignet, n’est pas sans contraintes. Ce qui provoque des crampes et des douleurs dans l'avant bras. Christelle m’aide de son mieux en s’avançant davantage sur le siège. Cuisses largement écartées, sa culotte sur le tableau de bord.

 

Je regarde furtivement sur ma droite. Christelle, parfois, ferme les yeux pour savourer ma caresse. J’avise un chemin qui quitte la route. Là, à droite, il y a de vielles ruines. Toute la région hérite d'un riche passé médiéval. Ce sont sans doute les vestiges d'une ancienne chapelle. Je m'engage dans le chemin. << Vous me faites enfin le "coup de la panne" monsieur ? >> me demande ma délicieuse passagère. Tout en posant sa tête sur mon épaule. Les élans affectueux de Christelle sont aussi pertinents que ses assauts sensuels. Je gare la voiture entre les ruines et un calvaire. Sur son dessus ne subsistent que les silhouettes informes des personnages sculptés jadis dans la pierre trop friable.

 

Je sors de la voiture en faisant : << Viens ! >>. Christelle sort de la voiture. Elle me regarde avec de grands yeux. Peu habituée à de telles initiatives de ma part, elle me suit. Je contourne l'auto. J'ouvre le coffre. J'en tire le plaid à grands carreaux beiges que je mets sous mon bras. Je prends la main de ma complice pour l’entraîner derrière les ruines. Je dispose le plaid au sol. Christelle m'observe. Étonnée par tant de détermination. Depuis sept jours, c'est elle qui mène la barque de nos aventures. Elle semble à la fois admirative et émerveillée. Ma compagne d'aventures se précipite pour me sauter au cou. << Mais je t'aime toi ! >> s'écrie t-elle. Et cette fois, c'est moi qui l'embrasse !

 

Pourtant, reprenant la direction des opérations, c’est elle qui m’entraîne sur la couverture. Sa nature de femme Alpha reprend le dessus. Elle m'y pousse jusqu'à m'y faire tomber. Elle me rejoint immédiatement. Je la fais basculer sur le dos. Sans la laisser prendre conscience de ce que je m'apprête à faire, je me mets à quatre pattes, ma tête entre ses cuisses. Christelle, plutôt surprise, me tient par les cheveux. Elle comprend. Elle anticipe. Elle écarte ses cuisses pour poser ses pieds nus sur mon dos. Je me mets à lécher ce minou avec la fougue d’un assoiffé, avec la passion d’un dévot et avec l’appétit d’une fin de jeûne. J'adore le cunnilingus. Je vais enfin donner libre cours à mon penchant.

 

Christelle lâche de petits cris, se cambre. Il est certain que ce genre de pratique ne doit pas être courante dans sa jeune existence. C'est donc en homme d'expérience que je me fais un devoir de lui offrir de nouvelles sensations. Elle a de petits mouvements du bassin. Ma complice de débauche se lâche soudain comme je ne l’ai jamais vu. En criant : << Tu es fou ! Attention ! >> elle lâche un jet de pisse qui se brise sur mon visage. Puis un autre et un autre encore en poussant des râles de plaisirs. Le plaid est aussi trempé que mes cheveux, mon visage et le haut de mon T-shirt. Les jets ne semblent plus cesser. << Prends-moi ! >> me supplie t-elle. Je m'enivre de ses sucs, de ses jus. Folie.

 

J'ai ma petite idée. Je monte sur elle. Je sors mon sexe en érection pour l’introduire dans le sien. Je veux le faire doucement, comme j’aime. Pour ma libido c'est un instant magique. J'aime le faire lentement en faisant durer. D’un mouvement sec de ses hanches, se glissant sous moi, elle s’empale complètement dans un cri. Christelle m'attire à elle avec force, cherchant à ce que je la pénètre encore plus profondément. Pour ne pas lui imposer le poids de mon corps, je reste en appui sur mes bras. Je suis dégoulinant de pisse. Ce qui ne semble pas la déranger. De toute manière avec la chaleur, ça va sécher très vite. Je découvre à nouveau ses curieux murmures incompréhensibles.

 

Christelle m’attire à elle avec une telle fougue que je m’écroule sur son corps. << Je t'aime ! >> susurre t-elle plusieurs fois. J'imprime un mouvement de va et vient de plus en plus rapide, devenant même parfois frénétique. Nous baisons comme des déments. Agités de secousses délirantes. La jeune fille, la tête rejetée en arrière, les yeux fermés, se laisse emmener en poussant de petits râles. Elle qui d’habitude prend les initiatives les plus heureuses se laisse baiser dans un laisser aller qui me laisse perplexe. Ses petits cris devenant de plus en plus stridents. Il faut souhaiter que personne ne se balade dans les environs. C'est tellement bon, tellement fort qu'on s'en moque.

 

Régulièrement, pour me préserver d’une éjaculation non souhaitée, je cesse tous mouvements. Il faut préciser que pour la seconde fois de cette matinée je m'adonne à une séance de folies. Pas besoin d'entraînement sportif. Nous sommes de véritables athlètes. << Je t’aime ! >> lance plusieurs fois ma comparse. Christelle se contorsionne. Remue son bassin dans tous les sens. cherchant le meilleur angle de plaisir. Elle enfonce une nouvelle fois sa langue dans ma bouche. La jeune fille doit avoir un orgasme violent car elle se cambre en hurlant. Elle cesse tout mouvement. En poussant un long râle, comme une bouée qui se dégonfle, elle s'affaisse complètement. Trouvant enfin le repos.

 

Je me retire. << Non, ne pars pas ! > s'exclame t-elle en essayant de me retenir. Je suis fourbu, épuisé, en sueur. C'est comme pour me préserver. Je me redresse en répondant : << Direction la prochaine étape et la prochaine "punition" ! >>. Christelle, étonnée, ouvre de grands yeux. Avec l’air gênée, me montrant le plaid trempé de pisse, elle dit : << Tu as vu dans quel état tu me mets ? >>. Je l'aide à se relever en la tirant par les mains. Je fais : << Oh oui. Je dois te punir. Je dois rattraper ces sept jours passés sous ton règne ! >>. J'entraîne Christelle vers le ruisseau. Je retire mon T-shirt pour le tremper dans l'eau. Je me rince la tête. Elle me regarde et dit : << Pardon ! >>

 

Tout en m'essuyant je réponds : << Je ne pardonne plus, je donne des gages ! >>. Christelle s'écrie : << Oh oui, donne-moi des gages ! >>. Elle s'accroche à mon cou pour me couvrir le visage de bises. Elle rajoute : << Tu aimes baiser avec des petites pisseuses ? >>. Nous rions aux éclats. Je la soulève. Elle m'enserre de ses jambes. La passion qui anime ce nouveau baiser risque de nous faire tomber. C'est tellement vertigineux. J'essore mon T-shirt. Je n'ai qu'une chemisette informe dans le coffre. Lorsque je l'enfile Christelle me dit : << Tu ne peux pas garder ce truc, on dirait un clodo ! >>. Je réponds : << Mais oui, mais c'est la faute de ma petite pisseuse ! >>. Nous rions.

 

Je fixe le plaid à la fenêtre de la voiture. Juste la partie mouillée. De l'autre côté je coince le T-shirt en le bloquant avec la vitre remontée. Christelle s'écrie : << Et voilà une Mercedes de romanichels ! >>. Elle palpe ma braguette. Nous repartons avec ce linge qui flotte aux fenêtres arrières. Ainsi, avec les trente kilomètres qui restent à faire, ce dernier pourra sécher un peu. Je roule à nouveau. Christelle, sa tête sur mon épaule me fait : << Je suis si bien avec toi ! >>. Je reste longuement silencieux. Christelle fourre sa main dans ma braguette. Pose sa tête sur mon épaule. Elle rajoute : << C'est la première fois qu'on s'occupe de mon sexe avec une bouche ! Et c'est génial ! >>

 

Nous arrivons aux environs de Pont d’Arc…

 

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23/10/2023

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