L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christelle - Épisode 19

                                                                          Pond d'Arc

 

Nous bénissons l'inventeur de la climatisation en automobile. Il fait chaud depuis le début de l'été. Il est difficile d'échapper à ces grosses chaleurs. Nous rusons autant que nous le pouvons. La circulation est fluide. Je propose parfois à ma coéquipière de prendre le volant. Elle décline alors mon offre en répondant invariablement : << J'aime me laisser promener. Et tu me promènes si bien ! >>. Nous arrivons aux abords du site préhistorique de Pont d’Arc. C’est un haut lieu très fréquenté, touristique et bien connu. Aussi, nous découvrons toutes les voitures déjà garées sur un des trois parkings. Je suggère d’aller garer l'auto à quelques distances. << Excellente idée ! >> lance Christelle.

 

Nous pourrons parcourir la distance à pieds par le chemin qu'on distingue en contrebas. Christelle consulte son téléphone. << Google Maps ! >> dit elle en me montrant l'écran quand je suis à l'arrêt. Je fais demi tour. Je roule dans le sens inverse. Christelle m’indique un petit chemin qui quitte la route sur la droite. Je m’y engage. Là, sur la gauche, il y a une maison en pierres de tailles. Habitation typique et vétuste d'apparence. Une vieille dame est penchée sur des pots de fleurs. Nous nous arrêtons à sa hauteur. Ma compagne d'aventures sort du véhicule. Elle salue la dame puis prend l’initiative de lui demander si nous pouvons laisser notre auto à proximité. J'observe sa gestuelle.

 

Nous garons la voiture dans la cour. La certitude de savoir la voiture en sécurité nous rassure. Nous mettons quelques affaires dans le petit sac à dos. Barres de céréales, pommes, la bouteille d'eau. Christelle me prend la main, heureuse, en sautillant elle tourne parfois autour de moi. Nous prenons le chemin indiqué par la vieille dame. Pont d’Arc est à trois kilomètres. Ma complice, marchant vite, m’entraîne en chantonnant. Elle s'arrête régulièrement pour prendre quelques photos. Un prétexte pour poser ses lèvres sur les miennes. De nous tenir par la main les mouille de sueur. C'est assez désagréable. Nous nous lâchons très vite. Les nombreux arrêts bisous ne mouillent pas nos lèvres.

 

Nous marchons depuis environ dix minutes. Nous sommes sur les hauteurs. Nous voyons l’animation du site touristique depuis notre point de vue stratégique. Christelle met sa main sous mon short. En montant le long de ma cuisse. Sa main exploratrice est douce et chaude. Je suis rapidement en érection. Depuis le début de cette journée nous sommes tous deux considérablement excités. J'entraîne ma coquine à l'ombre des cyprès et des pins. Il y a un véritable tapis d'aiguilles de pins sur le sol. Christelle s'accroupit pour y poser la main. << C'est tout frais, regarde ! >> s'écrie t-elle. Je m'accroupis pour poser ma main. C'est effectivement très étonnant. Christelle m'y fait tomber.

 

Je regarde autour de nous. Nous sommes absolument seuls. J’avise le rocher qui fait penser à une table naturelle. Je me redresse. L'endroit est très exposé. Nous sommes sur le bord du chemin. Christelle se redresse. Elle empoigne le tissu de ma braguette en murmurant : << J'ai trop envie ! >>. Je soulève la jeune fille. Je l’entraîne et la dépose sur la roche. Là, à l'abri d'éventuels regards de promeneurs, l'endroit est bien moins exposé. Elle est en jupe. Mon initiative doit la ravir car elle m’enserre de ses jambes qu’elle passe autour de ma taille. Christelle m’embrasse avec tant de douceur. Sa langue caresse la mienne. Mon érection est contraignante car mon sexe est tordu au fond du slip.

 

Christelle, en appui sur ses coudes, me fait le plus merveilleux des sourires. Elle retire sa culotte. Je sors mon sexe. Il est dur et raide. Je le frotte sur le sien. Doucement, avec une infinie précaution, je m’immisce en elle. Christelle n’a que faire de mes précautions. De quelques coups de reins elle s’empale d’un seul coup sur ma raideur. Je suis en elle. Je commence à bouger. Nous avons tous les deux le même rythme. << Tu sais que tu es un parfait salaud ! >> me fait la jeune fille. Je demande : << Pourquoi ? >>. Elle se redresse. S'accroche à mon cou pour me chuchoter à l’oreille : << Parce que tu es comme moi, tu ne penses qu’à "ça" ! >>. Elle lèche subitement mes lèvres.

 

Ma complice se laisse aller. Je la retiens afin qu'elle ne tombe pas. Qu'elle puisse s'allonger sur le dos. Je m’agite dans la fille comme un dément et je conclue : << Mais ? Si je suis le salaud que tu prétends, tu es donc une parfaite salope ! >>. Christelle se met à rire. << La tienne présentement ! >> précise la jeune fille avant de se laisser aller dans un long râle annonciateur de l'orgasme à venir. Ou alors à quelque chose qui y ressemble furieusement. Christelle se redresse. Elle m’embrasse. Je me retire. << Non ! Reste ! >> s'écrie t-elle, presque suppliante. Je lui dis : < Il n’en est pas question ! C'est une punition pour comportement déviant ! En route mauvaise troupe ! >>

 

Je remballe. Je suis à chaque fois à la limite de l’éjaculation et les sensations induites sont absolument divines. J'aime faire quelques efforts afin de contrôler mon plaisir. Ce qui permet d'en offrir bien davantage à ma complice de débauches. Mon sexe dégouline de liquide séminal. Christelle me montre sa foufoune trempée. Elle se redresse d'un bond en s'exclamant : << Mais qu'est-ce que c'est bon ! >>. Nous nous mettons à marcher. Pont d’Arc est là-bas. Nous descendons le chemin. Nous arrivons à l’accueil. Une ravissante jeune fille nous remet nos tickets. << J'ai envie de baiser Julien. Il faut que je me fasse violence pour ne pas te sauter dessus ! >> murmure ma délicieuse coquine.

 

Nous partons à la découverte du site. Il y a beaucoup de touristes. Nous nous tenons à nouveau par la main. Il y a dans les vieilles pierres un peu plus de fraîcheur. Parfois, comme par défi, devant les regards des gens que nous croisons, Christelle m’embrasse rapidement. Cette jeune fille de même pas vingt ans, embrassant un homme qui pourrait être son père, constitue certainement une attraction supplémentaire. Certains semblent en apprécier le spectacle avec beaucoup d'intérêt. Ce qui stimule ma complice d'aventures qui en rajoute. Parfois, pour d'autres formes de défis, ma coquine se serre contre moi pour cacher sa main. << Ouvre ça ! Sors là ! >> chuchote t-elle. Espiègle.

 

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23/10/2023

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