L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christelle - Épisode 28

                                                              Alexine se révèle

 

Une fois dans la cuisine, après notre douche, nous préparons notre rapide repas du soir. Deux gros avocats avec du thon en entrée. Une baguette coupée en deux dans sa longueur avec de fines tranches de saumon fumé. Christelle boit du coca. Je préfère l'eau plate. Christelle, assise sur mes genoux, savoure sa boisson avec des glaçons. C’est devenu une douce habitude. Elle reste blotti contre moi. Nous faisons le bilan de cette extraordinaire journée. Christelle me confie ses impressions : << Tu sais, quand je suis partie en stop avec ma copine, avant que nous nous séparions, j’avais vraiment le désir de m’éclater et de saisir chaque opportunité ! Avec toi, je suis servie ! Je t'aime ! >>

 

J’écoute les confidences de la jeune fille. Je pense être l’heureux privilégié d’une aventure extraordinaire. Je lui fais part de ce ressenti. Nous prenons conscience d’êtres tous deux d'heureux privilégiés. Une heureuse rencontre qui se prolonge dans des concours de circonstances de plus en plus extraordinaires. Christelle m'avoue la profonde sérénité que lui procure nos aventures communes. Après un long silence, elle rajoute : << Cette pipe à un vieux cet après-midi était un fantasme depuis quelques années. Nous avions un vieux voisin qui me montrait parfois sa bite dans le jardin. J’ai donc procédé à une sorte de catharsis. Grâce à ta complicité. Je t’aime ! >>. Je reste béat d'admiration.

 

Un dernier tour aux toilettes pour Christelle. Je suis couché à parcourir la brochure publicitaire donnée par Alexine. Christelle vient me rejoindre. Elle s'allonge contre moi pour regarder les photos. Il y a une bonne dizaine d'ânes, quelques chevaux. Une écurie. Un petit corps de ferme. Une ambiance bucolique. Sur certaines photos on reconnaît la jeune femme qui nourrit ses bêtes. La respiration de Christelle devient ténue et régulière. Ma délicieuse compagne d'aventures vient de s'endormir. J'éteins la lampe de chevet en essayant de bouger le moins possible. Je m'allonge. Je nous recouvre juste du draps. Christelle doit déjà rêver car je sens quelques mouvements brusques.

 

Le lendemain matin, une fois encore, je suis réveillé par la quantité de bisous que me dépose Christelle partout sur le visage. La poitrine. L’extraordinaire douceur de ses lèvres qui s’attardent sur les miennes m’enivre déjà dès le réveil. Je passe délicatement mon bras autour de son épaule. << Bonjour, tu as bien dormi ? >> demande t-elle en me chevauchant. << Mmhh ! >> murmure t-elle. Pour profiter de mon érection matinale et d’une rigidité de fer, elle y frotte son sexe. Nous restons ainsi une bonne dizaine de minutes. La jeune fille se retire pour me faire : << Je vais te faire pipi dessus. Viens, on se lève. On prend notre petit-déjeuner et on file ! >>. Il est huit heures du matin.

 

Le petit déjeuner est copieux. Christelle préfère le thé au café ce matin. Nous revenons sur la journée de hier. La douche. Nous voilà dans la voiture pour neuf heures trente. Le programme de la journée est simple. La propriété de la jeune femme est distante d'une cinquantaine de kilomètres. Autant dire que nous avons tout notre temps. En roulant, Christelle me fait : << Si elle te suce, tu m’aimeras quand même ? Elle est dans ta tranche d’âge cette femme. Elle est belle et seule. J’ai un peu peur ! >>. Je gare immédiatement la voiture sur le bord de la route. La climatisation est un bonheur avec les grosses chaleurs qui s'annoncent encore aujourd'hui. Je prends ma comparse contre moi.

 

Je caresse sa joue. Je passe mon index sur le bout de son nez. Je la rassure : << Ne t’inquiète surtout pas. S'il doit se passer quelque chose, on va se la "faire" ensemble ! >>. Christelle se met à rire. Elle s'écrie : << Mais je n'ai aucune attirance pour les meufs ! >>. C'est moi qui éclate de rire. Je dis : << J’espère que tu ne vas pas rester avec elle si elle te lèche le minou. J’ai les mêmes raisons que toi d’avoir la trouille ! >>. Christelle fourre sa main dans ma braguette. Mon sexe en main, elle fait : < Tu as fini de dire des conneries aussi grosses que ta bite ! C’est pas bientôt fini ! On s'inquiète sans doute pour rien ! >>. Christelle me tord le sexe en m'embrassant passionnément.

 

J'avise le bourg sur notre gauche. Nous quittons la départementale pour prendre l'étroite route communale. Il y a des commerces sur la place. "Carrefour City". Parfait. Nous avons la glacière avec ses glaçons à l'arrière. Je gare l'auto sur le parking. C'est sympathique de faire des courses. Il y a cette odeur de petite épicerie alors que c'est tout de même une supérette. Dans le magasin, Christelle s’amuse à s’accroupir dans les rayons pour me montrer son absence de culotte. Nous rions beaucoup. Pour ramener le dessert promis, notre choix se porte sur une belle tarte aux myrtilles. Le rayon des produits biologiques, très bien achalandé, nous permet de faire toutes nos provisions.

 

Dans la voiture, garée en plein cagnard, sur le parking, nous nous dépêchons de ranger les produits frais dans la glacière. C'est sûr, je vais investir dans une de ces glacières électriques à brancher sur l'allume cigare. Heureusement que la climatisation évite que les glaçons ne fondent trop vite. Nous reprenons la route. Christelle me masturbe lentement. Nous avons tout notre temps. Je peux rouler doucement. Je suis toujours très prudent. Mais en me faisant sucer je redouble d'attention. Parfois, elle s'assoit au sol pour me piper quelques instants. De quoi entretenir mon excitation. Moi, de même, j’ai souvent ma main droite entre ses cuisses. Dehors il fait chaud. Nous sommes "chauds".

 

Nous arrivons. La propriété est magnifique. Peut-être un peu plus petite qu'elle ne paraît sur les photos de la brochure. L'ensemble est bucolique et d'un charme fou. << C'est magnifique ! >> s'écrie Christelle en lâchant mon sexe. Je le remballe après avoir garé la voiture entre une Jeep et un van. Il est exactement midi. Il y a des poules, des oies. C'est fleuri. L'endroit évoque "la petite maison dans la prairie". Alexine est assise sur l’escalier de sa maison. Elle attend que nous sortions du véhicule pour se lever. Elle vient à notre rencontre. Souriante. vêtue d'une robe d'été. De sandalettes. Aujourd'hui ses longs cheveux sont noués en natte. Sa silhouette est fine et athlétique. Pas grande.

 

La jeune femme nous fait un sourire merveilleux. Nous nous serrons les mains. << Vous avez trouvez facilement ? >> nous demande t-elle. Nous la rassurons. Tout s'est très bien passé. Alexine nous invite à la suivre. Nous visitons sa propriété. L'écurie cache un petit bâtiment ultra moderne. Il y a là les quatre studios qu'elle propose à la location aux mois d'été. Ils sont tous occupés par des touristes qui ne reviennent que tard dans la soirée. << Si vous revenez dans la région l'an prochain, vous savez que je loue ! >> précise Alexine. Nous la suivons pour retourner vers sa maison. À l'arrière un poulailler, des clapiers et surtout ce magnifique potager. << Ma passion ! >> lance la jeune femme.

 

<< Comme elle est belle ! > murmure Christelle quand Alexine nous précède pour entrer dans la maison par l'arrière. Christelle a insisté pour que je laisse ma braguette ouverte. Elle chuchote à mon oreille : << Ouvre-là s'il te plaît ! >>. Nous restons dans l'entrée. << Installez vous au salon, c'est à droite. Je suis à la cuisine ! >> lance Alexine. Christelle m'entraîne par le bras. Le salon est meublé à la façon traditionnel des maisons de campagne de la région. Christelle pose sa main sur ma braguette avec insistance. << Ouvre ! >> murmure t-elle. Devant mon hésitation elle s'accroupit devant moi pour descendre la tirette. Elle se redresse immédiatement en disant : << Voilà ! >>

 

Alexine revient avec un grand plateau. << Prenez place ! >> rajoute t-elle en posant les victuailles sur la table. Elle se rend très vite compte que ma braguette est ouverte. Même si rien n'en dépasse. En général les femmes font plutôt semblant de ne s'apercevoir de rien. Pas Alexine. Se pinçant les lèvres avec un sourire équivoque, Alexine me fixe d'un regard suggestif. Pour bien me faire comprendre qu’elle a remarqué ce "détail". Christelle est accroupie devant le sac à dos posé au sol. Elle fait mine d'y chercher quelque chose. Je comprends que ce n'est qu'un prétexte pour dévoiler son absence de culotte. Mon sang ne fait qu'un tour. Je découvre un autre de ses comportements.

 

Alexine doit vivre la même émotion que moi. Au même instant. Mais pourquoi donc ma compagne d'aventures a t-elle cette attitude maintenant ? Me viennent à l'esprit ses mots qu'elle prononce tous les matins au petit déjeuner : << < Nous sommes en vacances pour nous éclater et nous n’avons pas de temps à perdre ! Si ça fonctionne pas comme on veut, on se casse. Tout simplement ! >>. Christelle se relève en disant : << Nous ne devrions pas laisser la glacière dans la voiture. Je vais aller la chercher ! >>. Elle file à toute vitesse. Son attitude m'étonne. Peut-être que la présence de cette autre femme la déstabilise. Peut-être est-ce pour se donner de la contenance.

 

Alexine me laisse seul au salon. Je veux rejoindre Christelle qui revient avec la glacière jaune. Je vois Alexine courir à sa rencontre. Elle se saisit de la glacière. Je les regarde bavarder en traversant la cour. Alexine propose de mettre le contenu de la glacière au frais. J'hésite car il n'est pas prévu de nous attarder. Christelle en tire la boîte contenant la tarte aux myrtilles. Je ramasse le petit sac à dos. Nous avons toutefois prévu d'éventuels vêtements de change, nos affaires de douche. Tout cela est dans l'auto. L’intérieur de la maison est décoré avec goût. C'est faussement rustique. Mais tout est d’une propreté clinique. Une délicate odeur de lavande imprègne l’atmosphère du lieu.

 

Après nous êtres lavés les mains, nous allons passer à table. Retourner dans le salon. C'est là, devant la porte de la salle de bain qu'Alexine s'accroupit pour ramasser un mouchoir en papier. Elle reste ainsi en disant : << Il faudra que je fasse un peu de ménage un de ces jours ! >>. Je comprends immédiatement que ce n'est qu'un prétexte. Sa manière d'écarter les cuisses, à plusieurs reprises, afin que Christelle et moi découvrions qu’elle non plus ne porte absolument rien sous sa robe pastel aux motifs floraux.

 

Pas le moindre poil. Je déteste...

 

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24/10/2023

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