L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christelle - Épisode 3

                                        

 

                                                Nous faisons plus ample connaissance

 

 

Cette deuxième nuit dans le gîte nous permet de récupérer dans les toutes meilleures conditions. Nous nous sommes endormis tous les deux l'un contre l'autre. Nous nous réveillons tous deux l'un contre l'autre. C'est toujours très étrange d'avoir un corps encore inconnu contre le sien en émergeant du sommeil. Insolite peut-être. Il est sept heures lorsque Christelle me couvre le visage de bises. J’ouvre les yeux pour voir qu’il fait déjà bien jour. Un rayon de soleil fait briller des particules dorées de la poussière en suspensions dans l’air. C'est beau. Nous sommes dans une toile de Vermeer. Tout y est. La lumière diaphane qui donne à toute choses une sorte de transparence. L'ambiance.

 

La jeune fille se serre contre moi. Son corps fin et chaud est d’un contact extraordinairement agréable. A l’oreille elle me chuchote : << Tu viens, on se lève et on se sauve. Tu veux bien ? J’en ai marre ici ! >>. C'est une jeune fille de vingt ans. Dynamique, assoiffée de découvertes. Il faut que ça bouge.

 

Rapidement nous prenons notre douche. Ensemble car ma complice m'entraîne déjà avec elle dans la salle de bain. Une connivence qui nous amuse en même tant qu'elle m'enchante. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur ce qui s'est passé hier, au bord du lac. Je précise : << On dort encore ici cette nuit et demain on file sur l'étape suivante ! >>. Christelle me regarde en silence. Rêveuse. Je rajoute : << Avant de partir j'ai soigneusement balisé mon itinéraire. Mais on peut improviser tu sais ! >>

 

Une fois habillés, une fois nos affaires dans le coffre de la voiture, nous voilà en route. Christelle aime bien ma conduite "pépère" comme elle se plaît à le répéter à plusieurs reprises. << Tu roules comme mon papa ! >> dit elle en faisant "marcher" ses doigts sur mon bras. Avec son téléphone elle prend de nombreuses photos. Je roule doucement sur ces petites routes de campagne. Le soleil distribue déjà sa douce chaleur. Il n'est que neuf heures trente. Christelle et moi nous faisons le même constat. En riant et à voix hautes. Nous sommes incroyablement biens. Heureux. Le paysage est de toute beauté. Il fait beau. La volupté du farniente nous envahit de son ensorcellement.

 

Nous arrivons à l’entrée d’un petit bourg. C’est jour de marché. Aussi, je gare la voiture à l’extérieur du village. Nous allons en profiter pour acheter des fruits à profusion, du pain et quelques crudités pour nos salades. Christelle me tient par la main. Parfois elle s'accroche à mon bras. Se pend à mon cou. La douce insouciance des vacances. Et toujours avec cette approche tactile pleine de délicatesse et de douceur. Cette fille est un trésor de douceur. J'en ai des frissons à chaque étreinte. Il y a des épidermes qui sont fait l'un pour l'autre. Un appel des sens. Une harmonie. Elle fait souvent un truc très particulier. À la fin d'une phrase elle gobe le lobe de mon oreille avec ses lèvres.

 

A un des commerçants où nous prenons des fromages je demande s’il connait des lieux de légendes locales. Il est souvent préférable de demander ce genre de choses aux autochtones. Ils en savent souvent davantage que les meilleurs guides Michelin ou autres. Quelle n'est pas notre surprise de découvrir qu’il nous propose la visite de ruines. Un hameau abandonné depuis 1750 dont l’entrée est située à quelques kilomètres. Le gentil monsieur, tout en emballant nos fromages, nous explique l'itinéraire. C'est simple. Je remarque que Christelle utilise son téléphone en fonction dictaphone. Elle enregistre. << Comme ça on ne pourra pas se tromper ! >> dit elle. Je découvre un esprit rationnel.

 

En quittant le village, contents d’avoir la perspective d’un endroit insolite à visiter, nous nous arrêtons aux pieds d’une colline. Nous pouvons y voir, au sommet, les ruines d’un vieux château. Disposant de fruits, de deux bouteilles d’eau et d’autres victuailles dans mon petit sac à dos, nous nous nous mettons en marche. Parcourant le sentier qui monte à travers d’épais massifs de résineux secs, Christelle s’arrête souvent pour m’embrasser. Je devine de la conspiration dans son regard mutin et amusé. La coquine a très certainement quelques idées derrière la tête. C'est merveilleux. Comme il est bon de se laisser aller. D'être le jouet d'une jeune fille pleine de vie. Pleine d'initiatives.

 

Nous arrivons dans les ruines d’un vieux château médiéval. Ces ruines sont infiniment plus petites que l’impression qu’elles donnent depuis la vallée. Nous avisons un coin d'ombre. Il est midi. Le soleil, haut dans le ciel, est devenu très chaud. D'une implacable ardeur. La vue sur les environs, depuis notre position stratégique, est fabuleuse. Nous sommes assis sur deux grosses pierres de granit. Je dispose la nourriture sur une troisième pierre, plate et large. Nous mangeons de bon appétit. Christelle évoque ses études. Sa deuxième année d'université. La préparation de sa Licence l'année prochaine. J'écoute. Elle ponctue souvent ses phrases en faisant "marcher" ses doigts sur mon avant bras.

 

Christelle se rapproche soudain de moi. Elle pose sa main sur mon sexe. Une main chaude sur le tissu de mon bermuda kaki. Presque de suite, une forte érection, contrariée par mon slip, me procure une sorte d’inconfort désagréable. Comme si elle le devinait, ma complice ouvre ma braguette pour en tirer ma turgescence naissante. S’agenouillant dans l’herbe, entre mes jambes, elle se met à me masturber doucement, scrutant mon sexe avec une curieuse attention. Parfois elle lève les yeux pour me regarder d'une étrange façon. Un peu comme si elle analysait mes réactions. Je souris comme un con. Béat. Un peu à la manière d'un amoureux transit. Ce qui la fait sourire, puis rire.

 

<< C’est sur "ça" que j’étais assise hier au bord du lac ? >> me demande t-elle, espiègle. Le regard par en-dessous. Je réponds, plutôt amusé : << Oui, c’est sur "ça" que tu faisais du "dada" hier ! Pour notre plus grand plaisir ! >>. Christelle scrute mon sexe avec une incroyable attention. Me décalottant puis tirant le prépuce pour recouvrir totalement le gland. Elle s'exerce à cette activité à de nombreuses reprises. Jouant avec la peau qu’elle tire entre son pouce et son index. Je commence à "couler". Tout ça m'excite évidemment. Comment pourrait-il en aller autrement ! Je me laisse faire. Je suis moi aussi au spectacle. Il y a les premières sécrétions. Je suis très "juteux".

 

Du liquide séminal se met à perler à l’extrémité fripée de ma peau. J’apprécie de me faire caresser ainsi. J’observe le visage angélique de ma manipulatrice. Chacune de ses expressions est comme le témoignage heureux d’une nouvelle découverte. Elle reste ainsi une bonne vingtaine de minutes à "explorer" mon intimité. Elle me sort les couilles. Une à une. Avec d’infinies précautions. J'apprécie. Surtout que je découvre une autre qualité. La délicatesse avec laquelle est utilise ses mains dans les activités manuelles. Adroite, habile, elle anticipe probablement par l'esprit ce qu'elle va faire de ses doigts. Je suis un peu gêné. Je pourrais être le papa de cette charmante coquine.

 

Christelle, approchant son visage, se met à renifler mon sexe. Je peux moi aussi en sentir l’odeur. Malgré la douche du matin, avec la chaleur et l’effort de la marche, les "senteurs" me montent aux narines. La jeune fille reste ainsi, humant longuement. L’excitation est considérable. Je laisse aux lecteurs d'imaginer l'intensité de la situation. Cette façon de renifler a pour effet de faire monter davantage de mon liquide séminal. Liquide qui coule à présent sur les doigts de ma manipulatrice. Parfois, de délicieux frissons secouent ma carcasse. Mais nom d'une pipe, que c'est bon ! Les jeunes filles sont étonnantes dans les activités manuelles. Je regarde ses doigts longs et fins.

 

Ma coquine change de position. Elle s’assoit sur sa fesse gauche. Dans la fraîcheur de ses vingt ans cette "analyse" ne peut que l'émoustiller. Cherchant la position la plus confortable elle hésite. Je regarde autour de nous. Nous sommes parfaitement seuls. Le chant des grillons, de plus en plus fort, constitue la "bande-son" de ce film merveilleux. Christelle pose ses lèvres sur mon sexe. Là. Juste sur l'extrémité de la "trompe" de l'éléphant comme elle l'appelle. Je peux sentir sa langue tenter de s’immiscer entre la peau du prépuce et celle du gland. C'est absolument divin. Grandiose. Éloquent. Elle reste ainsi, luttant longuement pour y parvenir. Je la regarde. Ses yeux fermés. La voilà concentrée sur son exploration linguale. Cette vision hallucinante me procure d'indicibles émotions. Des vertiges. Béatitude suprême.

 

Tout comme elle, je partage ce moment unique avec toute la solennité induite. Cette solennité pour le côté "sacré" de la fellation. Je frissonne à l'idée de ce qui va suivre. Peut-on parler d'extase ? Oui. Je le crois...

 

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23/10/2023

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