L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christelle - Épisode 33

                                       La douceur extrême d'une fellation passionnée

 

Christelle se serre contre moi. J'entends sa respiration s'accélérer. Je sens son souffle sur mon visage entre deux effusions. Elle ne cesse de m’embrasser longuement. A tel point que nos bouches, nos mentons sont rapidement trempés. Nos salives se mélangent faisant glisser nos lèvres l'une contre l'autre. Je caresse ses cheveux. Je passe ma main dans sa nuque. Je glisse l’extrémité de mes doigts sur ses joues. Je lisse ses sourcils. Nous sommes une fois encore enivrés de nos douceurs et de nos tendresses. C'est extatique. Et j'en ai des vertiges. Je m'accroche à cette jeune fille autant par mon corps que par mon cœur. J'en prends une fois encore la douloureuse et évidente conscience.

 

Christelle me chuchote des choses. Elle le fait à si faibles murmures que souvent, je ne comprends pas. C'est une constante dont elle est coutumière et dont elle s'amuse. Mais, prononce t-elle réellement des choses compréhensibles ? Finalement, cela n’a aucune importance. Surtout là, dans l’instant présent. Doucement, la jeune fille me pousse. Je perds l’équilibre. Je me laisse glisser sur le dos. Christelle cesse de m’embrasser. Elle pose sa tête sur ma poitrine. << J'entends et je sens ton cœur ! Il bât aussi fort et aussi vite pour moi ? >> murmure t-elle. Elle se redresse pour poser une nouvelle fois sa bouche sur la mienne. Cette fois pour y faire couler de sa salive. C'est un nectar.

 

Ma complice s'installe à son aise. Se couche en chien de fusil à mes côtés. Je peux ainsi continuer à caresser sa tête. Sa nuque. J'aime passer mon doigt sur le lobe de son oreille. Elle reste ainsi, silencieuse. Elle joue avec la peau de mon prépuce. Je sens que je suis trempé. Ma compagne d'aventures porte plusieurs fois ses doigts à sa bouche. Cela m’excite encore davantage. Lentement, ménageant sans doute ses effets, Christelle descend jusqu’à prendre mon sexe en bouche. Je suis toujours dans l'attente de la suite de cet évènement particulier. Car, comme à son habitude, Christelle reste immobile. Ses lèvres autour de l'extrémité de mon sexe. Quelques instants. Sa langue bouge.

 

Une fois encore, sous l’effet de l’indicible caresse, je suis pris de vertiges. Si je n’étais couché au sol, je serais certainement déjà à lutter pour conserver mon équilibre. Christelle se saisit de mes couilles. Elle les tient en faisant un "garrot" de son pouce et de son index. Elle serre. Je l’entends glousser. Sans doute amusée par ce qu’elle est entrain de faire. Ce sont mes spasmes de surprises et de plaisirs qui la font rire. Elle mâchouille maintenant la peau fripée de mon prépuce en gémissant. Sa langue qui tente de s'immiscer sur le gland. C'est surtout le méat qui est sensible à cette exploration linguale. Je découvre que Christelle est en sueur. L'épiderme de son visage glisse sous mes doigts.

 

Elle enfonce mon sexe davantage dans sa cavité buccale. En poussant un râle de plaisir. C'est chaud, c'est doux. Je me permets une fois encore cette métaphore gastronomique. Un peu stupide. J'ai l'impression d'avoir mon érection dans un bol de purée tiède. Je n'ai pas d'autres comparaisons. Je n'ai toutefois jamais essayé la purée. Une telle douceur. Je sens l’aspiration presque continue. Sa succion est ponctuée de déglutitions fréquentes. Je sens sa langue qui tente de pénétrer mon méat. A présent, Christelle espiègle, me masturbe doucement. Les sensations sont indescriptibles. La douceur est immense. Je tiens sa nuque. Doucement j’appuie sur sa tête, m’enfonçant un peu plus dans sa bouche.

 

La jeune étudiante pousse un gémissement de surprise. Elle a repris mes couilles qu’elle garrotte avec passion. Je la maintiens par la nuque. Par jeu. Christelle qui ne tente même pas, par jeu également, de se soustraire à mon étreinte. Je l’entends reprendre sa respiration par les narines. Elle pousse de petits cris de ravissements. Comme à mon habitude, je fais durer. Pour le plus grand plaisir de ma jeune suceuse. J'adore dresser l'oreille. Écouter les plus infimes gargouillis. Ses respirations, ses apnées, ses souffles. Ses soupirs participent de cette folle excitation qui me gagne. J'ai l'impression une fois de plus qu'il ne sera pas possible de connaître une gradation supérieure à ma jouissance.

 

De façon régulière, je saisis les cheveux de Christelle pour retirer sa tête. Cela lui permet de reposer sa mâchoire. Mais j'adore surtout voir les filaments gluants qui relient ses lèvres à mon prépuce. Lorsque ses lèvres me décalottent par passion, je remets la peau bien en place. Elle aime alors y laisser l'extrémité de sa langue avide. Je me tiens le sexe que je passe longuement sur ses joues. Je les macule de liquide séminal. Des premiers spermes qu'il contient. C’est elle qui reprend les choses en main. A chaque fois avec une tendresse plus grande encore. J’éjacule sans bouger. Lâchant toutes mes substances dans un écoulement que je tente de maîtriser. Trois saccades qui secouent tout mon corps alors que je hurle comme un dément. Christelle gémit de contentement. Elle vient de remporter une nouvelle victoire.

 

Pas un seul instant ma comparse ne se retire. Même si je l'entends déglutir avec difficulté, en toussant. Au contraire, elle enfonce sa bouche sur mon sexe avec insistance. Bien évidemment, nous partons pour un second tour. Christelle se blottit contre moi. Comme un petit animal effrayé, la jeune fille se serre contre moi avec plus de détermination encore. Elle suce avec passion. Je franchis allégrement ce cap de quelques minutes où l'excitation doit revenir. Afin de pouvoir apprécier cette continuité dans toute sa plénitude. Je suis trempé de sueur. À nouveau je caresse la nuque de ma compagne d'aventures. À nouveau je la tire par ses cheveux pour l'observer. Elle sait que je la regarde. Elle en gémit d'aise. Je n’ai plus qu’à me laisser faire…

 

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24/10/2023

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