L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christelle - Épisode 4

 

                                                      Les choses se précisent

 

Christelle est assise sur sa fesse gauche depuis cinq minutes. De sa langue agile, exploratrice, elle fouille les peaux fripées de mon prépuce. Passant en dessous, lissant mon gland. Les sensations me propulsent dans d'autres sphères. La jeune fille arrive pourtant à fouiller cet espace intime avec une certaine vélocité. Je l’observe. Incroyablement concentrée. Christelle, les yeux fermés, appliquée dans son activité linguale, donne l’impression de vivre une sorte d’extase. Son visage angélique, aux traits délicats, reflète cette fausse innocence des jeunes filles espiègles. Comme elle est belle mon "exploratrice" ! J'en frissonne malgré les chaleurs. J'en ai même des vertiges. Décharges électriques.

 

En appui sur mes coudes, je place le sac à dos afin de pouvoir m’y adosser confortablement. Je ne veux rien perdre de ce spectacle exceptionnel. Christelle me tient le sexe entre le pouce et l’index. De sa main droite. Sa main gauche palpe délicatement mes couilles dodues. Je suis à présent dans un état de semi érection. J’ai le privilège de pouvoir me contrôler parfaitement. Autant sur le plan psychologique que sur le plan physiologique. J'applique cette particularité une fois encore. Mettre à profit ces possibilités me procure évidemment d'indicibles sensations. Je suis un jouisseur impénitent. C'est étrange ce plaisir que paraît prendre la fille en se sachant observée.

 

Christelle, se penchant un peu plus, prend l’extrémité de mon membre dans la bouche. Elle reste ainsi longuement sans sucer. Je sens sa langue continuer son activité exploratrice. C’est à ce moment qu’elle ouvre les yeux pour me regarder. Surprise de me voir entrain de la scruter, elle semble étonnée. Mais, dans l'état où je me retrouve, puis-je vraiment me fier à mes sens ? Ne serais-je pas la victime de ses petits jeux de coquines ? Ses yeux, après une expression d’intense surprise, prennent une expression amusée. Soudain, ses joues se creusent. Mon exploratrice se met à sucer. J'ai une décharge électrique le long du dos. Je suis certain que la coquine sait ménager ses effets.

 

Je me contrôle parfaitement. Ce privilège me permet de jouir de l’instant avec une acuité qui décuple davantage mes sensations. Je me concentre longuement. J'entends de légers gargouillis. Ce bruit de "bulles", me donne une indication parfaite de ce qui se passe. Le jus monte. Aspiré avec conviction. Christelle, jusqu’alors silencieuse, émet maintenant de légers gémissements. Des gémissements qui appuient sans doute les efforts déployés pour faire face aux arrivées de liquide séminal. Pas l'ombre d'un doute. Mes couilles fonctionnement à plein régime. C'est qu'une pipe ça produit dans l'usine à sperme ! Je suis très "juteux". De quoi régaler ma suceuse. Et elle déguste en gourmet.

 

Parfois, afin de pouvoir déglutir, elle se retire en émettant de discrets << Han ! Haaaaaa ! >>. Tout en avalant passionnément. Son plaisir monte visiblement autant que le mien. Sournoisement, je laisse couler un rapide filet pisseux. Je suis un spécialiste. Plutôt que de lâcher un jet, même bref, je préfère contrôler l’arrivée du liquide en le laissant couler. Christelle, novice et ignorante de ce que je suis entrain de faire, savoure en poussant de petits gloussements. Elle ne sait probablement pas encore les saloperies que je m'apprête à commettre. Comment pourrait-elle s'en douter ? Jeune fille presque nubile qui se livre à de nouvelles expériences. C'est merveilleux. Je suis un salaud magnifique.

 

Je l’observe. A t-elle conscience qu'elle fait ça à un vieux briscard ? Lorsque le "mélange" lui envahit la bouche, elle se retire en déglutissant avec peine. Et toujours en poussant des petits gloussements ravis. De longs filaments laiteux lient ses lèvres à la peau trempée de mon prépuce. Ces mêmes filaments finissent invariablement par venir s’étaler sur son menton. Dégoulinant de plus en plus dans son cou puis sur le haut de son T-shirt. Une mèche de ses longs cheveux colle même sur sa joue gauche. Je remarque une fois encore que les filles très excitées sont toujours en sueur. C'est une constante. Ce qui créé plein de petites perles scintillantes sur son nez, ses joues, sont front.

 

Christelle suce avec un plaisir manifeste. Dans ses efforts pour tenter de ne pas en perdre la moindre coulée, je peux quelquefois voir des bulles perler aux commissures de sa bouche. Je lâche, pour la troisième fois, une petit giclée. Croyant à une éjaculation, elle précipite sa tête afin de prendre le maximum de mon sexe dans la bouche. Pompant avec avidité. Je crois que c’est là qu’elle comprend ce que je suis entrain de faire. Elle ouvre les yeux, me fixe, interrogatrice. J'ai envie de crier : << Je ne suis qu'un vieux saligaud ! >>. J'ai envie de lui avouer l'animal qui vit en moi. Ce rustre mondain qui surgit quelquefois du plus profond de moi-même ! Tel un sanglier d'un sous bois.

 

La jeune fille garde de grands yeux ouverts et soudain amusés. La bouche ruisselante de pisse jaunâtre, elle rit. Elle semble ravie de l’aubaine. Il n’y a qu’un vieux cochon pour apprendre ce genre de chose à une jeune fille. J'en suis très fier et je revendique mon appartenance au "Club" des pervers pisseux. Du haut de ses vingt ans, Christelle découvre une "spécialité" gouteuse qu’elle ne soupçonnait sans doute pas. Je la vois reprendre sa pipe goulument, avec une avidité surprenante. J’en profite évidemment pour lui en lâcher une nouvelle lampée. Je contrôle parfaitement. Mes épanchements sont parfaitement maitrisés. Le vieux vicelard dans toute sa lubrique splendeur distribue ses "générosités". Certes, j'avoue que cela me gêne, me rend honteux sur le coup. Mais ça participe de l'excitation.

 

Christelle gémit à présent de plus en plus fort. Parfois, sous l’abondance des "coulures" que j’impose, pour son plus grand plaisir, la jeune fille se retire pour tousser. Avec des efforts louables et compréhensibles, elle tente de tout avaler en toussotant. Elle en a les yeux humides. Elle me sourit avant de reprendre sa pipe juteuse. Nous partageons exactement le même bonheur de l'instant. Pipe terriblement baveuse car évidemment je pissouille allègrement. Son menton est trempé. A cause de la chaleur cela doit la picoter car elle se gratte. Nous bénéficions d'une chance considérable. Pas d'insectes pour nous gâcher le plaisir. De plus en plus souvent Christelle s’essuie le bas du visage. D'un revers de main. Je lui tends un mouchoir en papier que je tire du sac à dos. Je dis : << Torche toi la bouche petite gourmande ! >>. Elle rit.

 

Nous sommes là depuis trois bons quart d’heure. Parfois je lui retire délicatement la tête afin qu’elle puisse reposer sa mâchoire. Elle m’en est reconnaissante car dans un gloussement elle pousse un petit cri de ravissement. Qu'elle est belle ! Comme pour me témoigner de son appétit Christelle ouvre sa bouche. Une bouche gluante et emplie de filaments laiteux. Elle fait tourner, faisant mousser l'ensemble. Elle m'en montre fièrement le résultat. Il lui est impossible de déglutir en une seule fois. C'est que je distribue généreusement ! Toute la substance visqueuse que je lui offre la fait gémir de bonheur. C'est très certainement sa toute première "vraie" pipe. Pipe à un véritable vicieux. Je suis un profiteur. Elle le devine. Au bout de quelques minutes, me souriant, comme enivrée mais avec la mâchoire reposée, elle revient pomper.

 

Je décide d’éjaculer. Car c'est moi qui décide. Toujours. Pas mes pulsions. Là aussi je contrôle parfaitement le déroulement de mon orgasme. Plutôt que d’éjaculer dans les saccades habituelles et les spasmes du corps qui les accompagnent, je laisse s’épancher le sperme longuement, sans bouger et sans gémir. Ça coule. En sournois. Ça coule dans la bouche de ma pompeuse. Christelle, surprise, ne sachant plus à quelle sainte bite se vouer, déglutit avec grand peine et en gloussant de plaisir. Comme elle ne comprend pas encore vraiment, je la laisse continuer sa pipe pour un second tour. Et la suite est toujours beaucoup plus "passionnante" pour les "gouteuses". Elle en fait partie...

 

Ma situation devient légèrement inconfortable. Christelle s'est remise à genoux. Je me redresse. Debout devant la jeune fille, je lâche plusieurs giclées. Au risque de la noyer. Désireuse de ne pas en perdre la moindre goutte, m’agrippant par les hanches, elle fait des efforts désespérés pour en avaler tout ce qu’elle peut. En toussant, en ayant des hauts le cœur, elle s'agrippe à mes hanches. Des gouttes de sueur coulent de son front. Ce qui constitue un étonnant mélange qui se mêle aux larmes de son plaisir. Elle se retrouve avec tout le visage trempée. Même ses cheveux sont mouillés par endroit. Un peu comme si elle sortait de sous la douche. Je me sens toujours un peu honteux après de tels comportements. Même si cette émotion ne dure que les minutes nécessaires pour me ragaillardir avec de nouveaux assauts paillards.

 

Nous restons ainsi un nouveau quart d’heure. Soudain, un violent haut le cœur saisit la jeune fille. En toussant, manquant de s'étouffer, elle se retire. La tête penchée sur le côté gauche, Christelle, le corps secoué de spasmes, se met à vomir dans l’herbe. Lorsqu’elle se redresse, qu'elle lève son visage pour me regarder, les yeux larmoyants, elle me fait un sourire avant de me dire : << Excuse-moi, je crois que mon estomac me joue des tours pendables ! >>. Je la saisis sous les aisselles pour la redresser. Je lui essuie le visage avec deux mouchoirs en papier. Je murmure : << Christelle, tu vas me faire mourir de plaisir. Ma tension artérielle me procure des vertiges ! >>. Elle éclate de rire.

 

Nous sommes allongés dans l’herbe à l’ombre des épais murs de pierres. Silencieux. Doucement Christelle, après croquer dans ma pomme, comme apaisée de ses démons de découvertes, s’endort. Sa tête contre mon épaule. Je ne tarde pas à la rejoindre dans un profond sommeil. Je suis encore étourdis de plaisir, de jouissances et d'émotions quand Morphée s'empare de moi. Malgré qu'il n'est que dix sept heures trente...

 

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23/10/2023

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