L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christelle - Épisode 6

                                              

 

                                                         D'excellents moments

 

Nous voilà de retour au gîte. Après notre douche, Christelle et moi redescendons à la voiture avec nos bagages. Ainsi, pas besoin d'assurer demain matin. Il est vingt heures trente. Nous prenons la petite route qui sort du bourg. Nous partons en chasse afin de nous trouver un petit restaurant sympathique. La jeune fille est vêtue d’une robe rouge à motifs floraux blancs. Une ceinture enserre sa fine taille. Elle a quitté ses baskets pour des sandalettes. Christelle dans son éblouissante simplicité est superbe. Je louche sur ses cuisses, ses genoux. Tout chez cette jeune fille semble si fragile. Avec ce soleil sa peau prend jour après jour cette teinte miel qui donne envie d'y goûter. Je pose ma main sur son genoux. Elle saisit mon poignet. Pour que surtout je ne l'enlève pas.

 

Je suis vêtu d’un pantalon blanc et d’une chemise crème. << Je ne sors jamais avec des hommes élégants qui ont l'âge de mon père ! >> lance t-elle en faisant monter ses doigts le long de mon avant bras. Appuyer un peu avant de redescendre pour poser sa main sur ma braguette. Avec la douceur de la soirée, je porte des espadrilles très confortables. Christelle, une fois encore, glisse à nouveau sa main dans mon bermuda. Je roule doucement. Nous nous racontons quelques anecdotes amusantes. Christelle évoque des aventures de son adolescence. Le plus souvent des histoires ayant traits à ses années de collège. À ses années de lycéenne. La jeune fille est à présent étudiante. Là aussi, elle a quantité de choses à raconter concernant son université, les profs et ses copains étudiants. Nous rions beaucoup.

 

Une dizaine de kilomètres. Nous arrivons à l’entrée d’un petit bourg. Là, sur la droite, un de ces restaurants "routiers" qu'on rencontre aux détours d'un virage, d'un bois, dans les campagnes profondes. Je gare la voiture sur le parking. Je ferme ma braguette. Christelle s'écrie : << Dommage ! >>. Il y a des tables libres sur la terrasse. Il y a l'embarras du choix. Juste deux couples à deux tables opposées. Une tablée de six petites vieilles très élégantes et plutôt discrètes. Une fois encore nous avons droit à quelques regards interrogateurs. Suis-je le père ou l’amant de cette adorable jeune fille qui me tient la main ? C'est toujours un peu embarrassant. Je me raisonne. Nous n'avons pas à nous justifier.

 

Nous commandons un plat typique. La Maôche. Une spécialité de la région. Recommandée par les documents à disposition dans les offices de tourisme. J'aime bien en récupérer un maximum et les feuilleter. C’est une préparation à base de chair à saucisse et de choux farci dans une panse de porc. Nous décidons d’accompagner ce repas d’un vin rouge. Un vin des Côtes du Vivarais. Christelle est ravissante. Son visage angélique, entouré de ses longs cheveux en libertés, trouble mes sens plus d’une fois. Je le lui fais remarquer. Comme le prétendent souvent les belles filles, elle affirme que ce n’est pas si vrai que ça ! << Je n'aime pas mon nez. Il est trop fin ! >> s'exclame t-elle. Je le pince légèrement en disant : << Moi je l'aime ! >>. Il y a de longues séquences où, tout en mangeant, Christelle garde sa main sur la mienne.

 

Pendant le repas, absolument délicieux, Christelle me fait du pied. Parfois, entre deux sujets que nous aimerions sérieux, la jeune fille, facétieuse et espiègle, lance une plaisanterie ou un bon mot. Toujours d’une finesse étonnante. Discrètement, en me fixant dans les yeux, elle pince le téton de son tout petit sein droit. Elle s’amuse à tourner son pouce et son index comme sur un bouton. << On. Off ! >> dit elle à chaque fois en imitant mon accent écossais. De sa langue, elle fait une boule contre l’intérieur de sa joue. Sa main fermée qu'elle tourne devant la bouche. Belle, intelligente et entreprenante. J’apprécie les filles "classes". Je passe ma langue sur mes lèvres pour lui rendre le "message". Elle fait : << Mmmmmh ! >>. C'est certain, tout ça ne passe pas inaperçu. Il y a même une des séniors voyeuses qui toussote.

 

Nous prenons chacun une énorme coupe glacée. Une autre spécialité de la région à la crème de marron. Un délice absolument prodigieux. Je paie. Christelle, toujours soucieuse de rester indépendante, insiste pour partager l’addition. Je rechigne, je renâcle, je m’offusque. En pure perte. La jeune fille, fière et autoritaire, sort de son petit sac à dos un porte monnaie de vieux cuir. Je fais la gueule. Elle me tire la langue avec une horrible grimace. Je dis : << Interdiction absolue mademoiselle. Vous êtes mon invitée pour les jours à venir ! >>. Elle éclate de rire en lançant : << Bon, je paierai en "nature" ! >>. Sa main posée sur la mienne donne la réponse aux interrogations de certains regards curieux. Surtout de la part des six dames qui chuchotent à notre égard. Nous rions. Pour enfoncer le "clou", Christelle me fait des bises.

 

Nous nous levons. Je surprends Christelle qui tire la langue en direction des six commères. Nous rigolons comme des fous en retournant à l'auto. Il faut reprendre le chemin du retour. Encore une fois ma comparse glisse sa main dans ma braguette. Il fait nuit. Une fois encore nous rions de bon cœur. La fatigue de cette journée chargée de surprises et d’émotions commencent à se faire sentir. J’invite le lecteur à découvrir les épisodes précédents pour bien en comprendre l'origine. Pour en saisir la teneur. << Gare-toi dans le chemin là-bas, qui descend ! >> s'exclame soudain ma complice d'aventures. Un peu surpris, je tourne pour faire quelques dizaines de mètres. Je coupe le moteur. Christelle se met à quatre pattes sur le siège passager. Elle fouille dans mon slip pour en extraire mon sexe. Mou et humide.

 

<< T'es comme une fille toi, tu mouilles dès qu'on te fait des choses agréables ! >> dit elle avant de prendre ma virilité en bouche. Je caresse sa tête. Bien évidemment mon érection est rapide. Quelques minutes d'une fellation qui achève de m'épuiser. Christelle cesse, se redresse. << C'est génial. C'est à ma disposition pour tout le reste des vacances ! >> dit elle mutine et coquine. Elle rajoute : << J'aurai le droit de me servir quand j'en aurai envie ? >>. Je la rassure. Je réponds : << C'est comme si c'était à toi. Ne demande même pas ! >>. Nous rions aux éclats quand ma compagne d'aventures s'exclame : << Ça, ce sont des choses qu'il ne faut pas me dire mon "pauvre" ! >>.

 

Je démarre. C'est en marche arrière qu'il faut retourner sur la route. Sur les quelques kilomètres où je roule lentement, Christelle reste couchée en chien de fusil sur le siège passager. Sa tête posée sur ma cuisse. Je n'utilise que la boîte de vitesses automatiques. Mais le levier impose une position inconfortable dans cette situation pas du tout prise en compte par le constructeur. Cette idée nous amuse. Je crois que Christelle s'endort déjà. Nous arrivons "chez nous", au gîte de France. C'est la troisième et dernière nuit en ce lieu. Il n’y a que le chant des grillons. Les étoiles brillent, nombreuses, dans un ciel d’un noir d’encre. La nuit emmène une légère fraîcheur. Nos dernières énergies.

 

Une fois couchés, Christelle me chevauche. Elle ne porte que sa petite culotte. Comme elle semble fragile. Tellement légère. J’ai peur de lui faire le moindre mal par un geste inconsidéré. En riant, la jeune fille frotte son sexe sur le mien. Rapidement je me retrouve doté d’une érection rappelant quelque démonte-pneu de camion. Christelle écarte son slip pour s’enfiler mon chibre. << Mmmmmh ! Comme c’est doux ! C’est si bon ! >> me fait-elle en remuant doucement. << J'aurais voulu te rencontrer en premier ! Mes premières fois étaient tellement merdiques ! >> murmure t-elle à mon oreille. Christelle se penche. Mitraille mon visage de bises. << Tu ne t'ennuies pas avec une "jeunette" comme moi ? Parfois j'ai peur ! >> murmure t-elle. Je la rassure. Comment pourrais-je m'ennuyer ? C'est totalement impossible.

 

Nous sommes à nous bercer doucement dans une infinie tendresse. J'adore être couché sur le dos. J'adore être chevauché. Le spectacle d'une partenaire qui "s'amuse" sur moi reste une intarissable source d'inspirations. La fenêtre est grande ouverte. Juste la moustiquaire. Il fait chaud. Nos corps sont à nouveaux humides. Christelle tombe sur moi. Elle ne bouge plus. Je cesse de remuer mon sexe dans le sien en contractant juste mes muscles fessiers. Rapidement, sans même nous en rendre compte, nous sombrons dans un profond sommeil…

 

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23/10/2023

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