L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christelle - Épisode 7

                                                 En montant aux ruines romaines

 

Je suis réveillé de la plus délicieuse des façons. Christelle me couvre de bises. Serrée contre moi, couchée sur ma gauche, la jeune fille m’enlace amoureusement. << Bonjour. Tu as bien dormi ? >> me demande t-elle. Je passe mon bras autour de ses épaules pour répondre : << Comme une véritable enclume au fond de l’océan ! >>. Nos lèvres s'effleurent. Il y a de petits picotements électriques. C'est moi qui pose la question un peu "bateau" : << Bonjour ! Et toi ? Tu as bien dormi ? >. Pour toute réponse Christelle se blottit contre moi en faisant : <>

 

Doucement, descendant son visage, me couvrant la poitrine puis le ventre de bisous, la jeune fille, de sa bouche chaude, vient s’emparer de mon sexe. Je caresse délicatement sa tête. Sous l’effet de cette étreinte singulière, je me retrouve rapidement avec une érection de style "démonte-pneu". Et le modèle "gros camion". Christelle s’en amuse et semble en apprécier les effluves matinales. Les parfums de ma nuit. Ce qui me gêne quelque peu. Je suis plutôt à cheval sur l'hygiène. Même si au sein d'étreintes passionnées les odeurs corporelles agissent sur mes sens comme de véritables phéromones. Je laisse ma compagne d'aventures s'amuser de ses découvertes en caressant ses cheveux.

 

Je soulève le draps pour murmurer : << Je ne réponds pas de la qualité de ce que tu suces. Parce que j’ai une méchante envie de pisser ! >>. En éclatant de rire, sans cesser sa dégustation, elle me fait : << Intéressant ! >>. Je la tiens maintenant par la nuque. Je tente de me dégager de cette étreinte trop délicieuse. Peine perdue, la coquine s’accroche fortement. En poussant un gémissement amusé mais négatif. Sa bouche, telle une ventouse, me procure quelques extases matinales du plus bel effet. Je vais baisser la garde et la laisser continuer. Je n'ai plus la volonté d'aller contre la jouissance qui s'annonce. Une fois encore je prends conscience de mon privilège. Une autre suceuse.

 

J'ai le "chic" de les rencontrer les passionnées de fellations. Elles sont souvent jeunes, avides de découvertes et le plus souvent téméraires. Enfin, au bout de quelques minutes, ma complice se redresse pour venir caler sa tête contre mon cou. << Je vais m’occuper de ton cas tout au long de la journée ! >> me chuchote t-elle. Je pose ma main sur son sexe en répondant : << Oui, moi aussi, et ça va barder pour ton matricule ! >>. Elle retire ma main doucement en me disant : << Impossible. Pour deux jours j’appartiens à Dracula ! À moins que tu ne sois toi aussi un vampire ! >>. Elle s'installe à califourchon sur mon sexe. Elle y frotte le sien. Son sourire coquin m'amuse. Me passionne.

 

Cette déclaration, en ce troisième jour avec elle, me demande quelques réflexions. Rapidement, je comprends que Christelle a ses "petits machins". Je passe mon index sur le bout de son nez. << Tu me chatouilles et ça rime avec nouille ! >> lance t-elle. En éclatant de rire, nous nous levons. << Avec couilles aussi ! >> rajoute t-elle en m'entraînant par la main. Rapide passage aux toilettes avant un copieux petit déjeuner. Christelle adore tenir mon sexe pour en diriger les jets. Elle s'amuse à le faire bouger. À le secouer. Je la laisse toute seule et à ses petites affaires. Pour cette matinée à venir, nous décidons d’aller nous promener vers le grand viaduc que nous avions vu depuis la route. Le petit déjeuner est plutôt copieux. Je découvre que ma compagne d'aventures adore un bon yaourt "nature" au premier repas.

 

Dès neuf heures, douchés, vêtus légèrement, nous descendons l'escalier. Nous allons à la voiture. Il y a la dame derrière son auto, hayon grand ouvert. Nous saluons la propriétaire de l'appartement qui s'apprête elle aussi à s'en aller. << Bonjour. Vous venez manger avec nous, dimanche soir ? Mon mari serait heureux de vous faire visiter l'entreprise ! >> nous fait elle. << Peut-être. Nous vous confirmons demain, samedi. Nous avons une telle soif de découvrir la région ! >> répond Christelle avant de monter dans l’auto. << Put-hein, j’ai pas envie de me faire chier, je veux être seule avec toi pendant deux semaines ! > me dit elle en posant sa tête sur mon épaule. J'aime ses initiatives.

 

Nous roulons sur la petite route. Le soleil est déjà haut dans un ciel d’un bleu de lapis-lazuli. Il commence même à faire très chaud. Christelle, comme elle le fait tout le temps quand nous sommes en voiture, passe sa main gauche dans ma braguette. Là, nous n’avons pas fait cinq kilomètres, qu’elle sort mon sexe pour le sucer. Je roule doucement. La route est déserte. Je m'arrête une première fois dans l'entrée d'un chemin. J'ajuste le rétroviseur intérieur pour la voir se régaler. C'est émouvant. Je caresse sa nuque. Je redémarre pour m'arrêter quelques kilomètres plus loin. Christelle cesse régulièrement pour tenter de déglutir. D'avaler. Nous arrivons en vue du viaduc.

 

Je gare la voiture sous un bosquet d’arbres. Avec ce soleil il faut profiter de cette ombre généreuse. Christelle se redresse. Nous sortons de la voiture, je remballe l’artillerie et referme ma braguette. La jeune fille, toute heureuse, sautille autour de moi : << Je ne veux plus compter les jours, et toi ? >> me fait-elle en me prenant le bras. Les échanges de bisous entre deux phrases sont déjà devenu un réflexe commun. Je réponds : << Ah, mais moi, depuis toi, je ne les compte même plus ! Tu penses bien ! Le reste m’est complètement égal ! >>. Elle s'accroche à mon cou : << Si tu t’en branles de tout le reste, c’est moi qui veut le faire ! >> me répond t-elle. Nous éclatons de rire.

 

Ma complice enfonce soudain sa langue dans ma bouche pour la fouiller. Tout en palpant la bosse qui durcit inexorablement dans mon bermuda. Nous marchons sur un sentier aride. Il y a plusieurs arrêts où nous nous embrassons passionnément. Nous montons vers le viaduc. Une construction romaine imposante qui se détache sur l’azur du ciel. Nous voilà au pied du premier pilier. Ce qui doit être une véritable rivière n’est en cette saison qu’une sorte de ruisseau presque sec. Christelle met sa main dans mon short. Elle joue avec mon sexe humide. << Tu me le donnes un peu, j’ai soif ! >> lance t-elle en s’accroupissant. Elle m'entraîne un peu plus loin pour s'assoir sur une grosse pierre plate. Elle me tient les deux mains. Elle me fixe d'un regard plein de reconnaissance. Un regard amoureux. Amusé parfois.

 

J'observe les environs tout autour de nous. Le lieu est désert. Christelle m’ouvre la braguette. En fouillant un peu elle en tire mon sexe. Il est humide et un filet opalescent s’écoule du méat. << Waouh tu mouilles ! Tu sais que ça m'excite quand ça dégouline comme ça ! >> s'écrie t-elle avec ravissement. Ça me gêne un peu. Lapant la coulure avec sa langue, la jeune fille ouvre la bouche pour me gober en gloussant. Immédiatement, elle pompe. Je la regarde, les yeux fermés, concentrée, un air d’extase se lit une fois encore sur les traits de son visage. Il n'y a pas que mon excitation qui risque de me faire chavirer. Il y a également cette étrange émotion que me procure la fille.

 

Nous restons ainsi cinq bonnes minutes. Christelle se redresse. En souriant elle me fait : << Ah, ça va mieux ! >>. Nous éclatons de rire. Je remballe et nous marchons vers la colline. Ma complice s'arrête, me plaque contre la roche sur la gauche du sentier. << Je vais avoir de nombreuses petites soifs durant cette promenade ! >> me fait elle. Elle ne me laisse pas le temps de dire quoi que ce soit. Elle m'embrasse une nouvelle fois. Nous voulons prendre le raidillon rocheux qui monte sur la droite. Il se dirige vers l’édifice de pierres là-bas. Christelle me tient la main. Elle me parle d’elle, de ses études, de son "petit copain" un peu niais et qui la néglige. Elle évoque sa passion pour l’équitation.

 

Nous marchons environ une trentaine de minutes. << J'ai soif ! >> lance soudain ma compagne d'aventures. Elle s'accroupit immédiatement pour sortir mon sexe de la braguette de mon bermuda. Je me laisse faire. Je peux me tenir d'une main contre la roche. De l'autre je peux caresser affectueusement la tête de Christelle. Je suis sujet au vertige. Aussi j'évite de regarder vers le bas du sentier. Mais je n'ai aucune formule pour occulter l'autre vertige que me procure cette fellation. Ma coquine s'en amuse. Redoublant de succions de plus en plus sonores. Ces gargouillis qui témoignent des montées de liquide séminal. De sperme probablement aussi car il en suinte à ses lèvres.

 

Christelle se redresse. Son air mutin. Toute contente des effets de sa caresse. Je passe mon index pour récupérer la perle de sperme à la commissure de ses lèvres. Elle attrape mon poignet pour sucer mon doigt. Nous arrivons enfin sur le haut de la construction. Il y a un chemin. Un panneau et une chaîne en interdisent l’accès. << Un interdit c'est fait pour être contourné ! >> lance Christelle. Nous n’allons pas en priver nos légitimes curiosités. Elle m’ouvre une nouvelle fois la braguette. Elle me sort le sexe et, avant de s’accroupir pour en tirer de nouvelles substances, elle me dit : << Défense de la rentrer jusqu’au retour ! >>. Soudain, en regardant en bas, j’ai le vertige…

 

____________________________

Tous droits réservés - © - 2023

 

L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle.  Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal.

La divulgation d'information relative à la vie privée, ou à l'identité, constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 du code pénal.

 



23/10/2023

A découvrir aussi