L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine et moi dans la chambre à coucher

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                                          Christine me suce dans la chambre à coucher

Le dimanche matin, Christine et moi, nous avons l'habitude de faire la grasse matinée. Nous restons donc souvent au lit jusqu'aux environs de neuf heures. Comme nous aimons profiter de nos journées, nous ne dépassons jamais les neufs heures du matin. Ce dimanche là, il pleut si fort que nous pouvons l'entendre tomber malgré les fenêtres fermées. Une pluie de printemps.

Christine se met à jouer avec mon sexe qui traîne sous les draps. Tout en bavardant nous nous tripotons. J'aime le contact de ses lèvres. Elles sont presque aussi envoûtantes que celles de sa bouche. Aussi, je m'amuse à les défriper, à les défroisser tout en conversant. Ma compagne fait pareil en malaxant la peau de mon prépuce.

Tous les deux, nous commençons à mouiller. Je descends doucement le long de son corps avec ma bouche. Je m'attarde longuement sur ses petits seins. Puis, je descends encore. Me mettant sur le ventre, le visage entre ses cuisses, je me mets à lécher. Les saveurs de ses muqueuses m'enivrent toujours. Je peux l'entendre gémir de plaisir. Elle me tient la tête, les cuisses largement écartées les jambes repliées. J'adore le goût de sa nuit...

Je me mets à suçoter son bouton que je peux sentir grossir. Son clitoris est impressionnant. Comme les deux dernières phalanges d'un petit doigt. Après la nuit, il y a un délicieux petit goût acide que j'aime à déguster dans les plis de ses peaux. De sa source secrète, rapidement, un filet laiteux coule jusqu'à son anus. Très pileuse, j'aime savourer cette partie de son corps et cette masse de poils. Même si j'en ai sur la langue...

Toujours trop vite, Christine a son premier orgasme. Tout son corps se cambre de façon presque inquiétante. La jeune fille, dans de longs souffles, lâche quelques râles de plaisir. Comme à chaque fois, elle veut repousser ma tête. Mais moi, coquin, j'anticipe en résistant. Elle cherche à se débattre quelques instants et je la relance pour un second tour. Les filles savent la profondeur de ce second épisode et ses conséquences.

Ce qui doit arriver, arrive. Et toujours beaucoup trop rapidement à mon goût. Mais, là, d'une poigne de fer, Christine, me saisit par les oreilles, me repousse vivement dès la fin du second "crakou". J'ai le menton trempé. Cela la fait toujours rire. Elle m'appelle alors souvent : << Mon lécheur >>. Elle rajoute : << Il est tout mouillé mon "lécheur" ! >>...

C'est elle qui descend soudain pour s'emparer de mon sexe. Immédiatement, je peux sentir sa bouche, chaude et douce, qui se referme sur ma virilité encore molle. Cette indicible sensation de ventouse me donne, une fois encore, la sensation d'avoir mon sexe dans une purée tiède. Je précise que depuis trente ans, je n'ai pas d'autre métaphore pour décrire cette invraisemblable douceur. Le bol de purée...

Christine suce avec cette passion habituelle. Comme toujours, ses gémissements m'indiquent le degré d'excitation que cette caresse lui procure. Elle aime "ça". Elle aime souvent me confier, en riant, que son vrai point "G" est dans sa bouche. Nous sommes tous deux des cérébraux. Aussi, les caresses ont la primeur de nos ébats et tout fonctionne autour et au travers d'elles.

Comme souvent, je maintiens sa tête par ses cheveux. Je la "guide". Elle aime également être maintenue par la nuque. Elle en glousse de plaisir. Le nec plus ultra consiste à lui passer la main sous le menton et de jouer à la "forcer" légèrement. Christine apprécie tout particulièrement la "contrainte". J'aborderais ce chapitre dans les récits à venir, car ce n'est qu'au bout de quatre ans que nous avons osé pénétrer ce domaine particulier. 25 ans avant Clémentine qui n'était pas encore née.

De manière régulière, cyclique, je retire mon sexe de sa bouche pour le lui passer sur le visage. En plus de lui permettre de reposer sa mâchoire, c'est un acte qui la passionne. Souvent elle me dit : << Ça, j'aimerai bien le comprendre ! >>. J'ai pour seule réponse, un peu bancale : << Il n'y a rien à comprendre, c'est juste vicieux ! >>. Rapidement, par un mouvement de tête, elle rattrape mon sexe pour le reprendre en bouche.

J'aime la regarder. Les filles sont tellement belles lorsqu'elles font "ça". De plus, dans le miroir de l'armoire, nous pouvons apprécier, tous deux, sous un angle différent, ce à quoi nous sommes entrain de nous livrer. Elle se regarde pomper. Puis, voyant que je l'observe avec attention, elle me fixe longuement, terriblement vicelarde, en me faisant des clins d'œil lascifs. Cela stimule les sécrétions de liquide séminale et en augmente les quantités. Elle le sait bien et en profite en gémissant à chaque épanchement.

Au bout d'une petite heure, j'éjacule avec mes trois saccades habituelles. Une fois encore, elle déglutit avec peine. Le plus souvent, elle garde mon sexe juste entre ses lèvres afin de pouvoir laisser sa bouche se remplir de mon sperme épais et visqueux. Si je ne la retire pas, en la tirant par les cheveux, je sais qu'elle repart systématiquement pour un second tour. Aussi, je la sens, elle aussi, lutter contre mon étreinte afin d'en avoir encore.

Au bout d'une minute, vaincu, je la laisse repartir pour le second opus. Là, pendant environ cinq minutes, j'arrive à contrôler parfaitement les sécrétions et le "choix" des épanchements. Je lui fais donc de petites "surprises" par petites giclées. Je l'entends glousser de plaisir. La ventouse de ses lèvres aspire à la puissance maximum. Ses joues sont creusées. Elle suce à fond. Je peux entendre les gargouillis. Cela nous excite au plus haut point.

Une fois encore, j'impose des pauses en lui passant mon sexe sur le visage, mouillant sa peau en laissant des traînées un peu partout. La saisissant par les cheveux, je lui tourne la tête afin qu'elle puisse se voir, pleine de jus sur le visage, certaines mèches de ses cheveux trempées, dans le miroir de l'armoire. Elle adore ces jeux et apprécie mes initiatives vicelardes. Elle est en sueur et mon jus rend son visage luisant de vice...

Au bout d'une nouvelle demi-heure, j'éjacule une nouvelle fois dans une série de spasmes qui secouent tout mon corps. Nous poussons, de concert, ensemble, plusieurs râles de plaisir et de bonheur. Là, de façon rapide, au bout de quelques minutes, je me retire en me sauvant du lit. << Il faut que j'aille faire pipi ! >>, me lance t-elle invariablement après les pipes de la chambre à coucher...
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23/01/2015

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