En voiture avec Anne-Marie
Balade en voiture
Ce mercredi matin est plutôt lumineux. Même si le ciel reste voilé. C’est de bonne augure. Je suis occupé à la correction d’un de mes derniers récits. J’alimente mon blog d’histoires vécues mais articulées à la manière d’un roman. Cela les rend plus attractives. Fidélisant ainsi un lectorat qui s’étoffe au fil du temps. Nous sommes en 2014. Mon blog existe depuis quatre ans et totalise plus de huit milles visites. Sept cent abonnés. De répondre à quelques admirateurs demande d’y accorder du temps. Ce que je m’applique à faire également aujourd’hui, en messagerie privée. Je suis abstrait dans ces fonctions lorsque mon I-phone se met à vibrer. Le visage de Virginie apparaît sur l’écran. C’est une surprise. Plus d’une semaine sans avoir de ses nouvelles. << Bonjour. On peut se voir vendredi après-midi ? J’ai plein de choses à te raconter ! Quinze heures sur le parking de la supérette. Je serai en voiture ! >> lance t-elle. Je n’ai pas le temps de répondre qu’elle rajoute : << Je suis entre deux cours. Dis-moi vite ! >>
Ma réponse est évidemment positive. Je suis même à me réjouir. À peine ai-je dis << Oui ! >> que la jeune fille raccroche. Décidément, elle sait ce qu’elle veut. Je retourne dans mes rédactions quand mon I-phone vibre une seconde fois. C’est le visage d’Anne-Marie. Ces longs cheveux auburns encadrent son visage. C’est rare qu’ils soient ainsi en liberté. Je m’empresse de témoigner de mon ravissement. << On se voit toujours à seize heures cet après-midi ? >> demande t-elle, flattée. Je réponds : << Je suis impatient ! >>. Nous échangeons quelques civilités avant de nous saluer. Ces deux appels successifs, à quelques minutes d’écart, ont altéré mes capacités à la réflexion. Je dois m’y remettre. En me concentrant difficilement. Il n’est pas loin de midi quand j’éteins l’ordinateur. Je quitte le salon pour la cuisine. Pendant que réchauffent les restes du gratin de pommes de terre, je fais l’assaisonnement d’un beau concombre. Il y a des séquences d’ensoleillement. La température extérieure de 19°.
Je mange de bon appétit en pensant à Estelle, la jeune fille du conservatoire. Une de mes héroïnes dont je narre nos aventures romancées sur mon blog. Nous avons cessé de nous voir au début de l’année 2014. Je déplore ne plus avoir aucune nouvelle. C’était une relation intense. Je n’en suis pas sorti totalement indemne. La vaisselle. Je monte à l’étage pour me brosser les dents et me changer. D’une des deux fenêtres j’observe la nature. Les cheminées de monsieur Bertrand, mon plus proche voisin, fument déjà. Elles dépassent du feuillage à un peu plus de trois cent mètres en contrebas. Il y a quelque chose de profondément apaisant dans cette image bucolique. Je porte un Levis, une chemise blanche. Je chausse mes Stan Smith. Une de mes vestes Levis. Je prends quelques poses dans le grand miroir de la penderie. Mon sac de sport contient mes affaires de bain. Me voilà prêt à partir. Une heure de piscine m’attend. Je parcours les quinze kilomètres qui me séparent du stade nautique en admirant ces paysages d’automne.
Toutes les déclinaisons, des roux les plus tendres aux plus vifs, envahissent inexorablement le vert du feuillage des arbres. C’est magnifique. Je m’arrête pour prendre quelques photos de la chapelle gothique. D’un romantisme exacerbé, entouré de son muret et de son petit cimetière médiéval, cet édifice a servi de modèle à plusieurs de mes toiles. Je gare la voiture sur le parking. Il n’y a pas trop de monde dans le bassin olympique. Quelques mamies, quelques papys qui font leurs longueurs en discutant. Je viens de renouveler mon abonnement pour l’année. Je me change dans une des cabines. En riant, j’imagine un trou parfaitement rond dans la cloison. Comme ceux que je réalise sur les planches des abris de forêt. Ce serait là, sur ces parois blanches de matière synthétique, du plus bel effet. Je prends quelques poses de culturiste devant le miroir. Je pratique depuis plus de vingt cinq ans et mon physique impressionne. Je visualise quelques améliorations qu’il me faudra apporter de ci, de là. Les mollets par exemple. Les deltoïdes arrières.
Une douche sous quelques regards admiratifs et étonnés. Une joie exhibitionniste m’envahît. Les regards, quels qu’ils soient, sont toujours une grande récompense pour un culturiste de haut niveau. Même si je ne me présente plus à des concours, cela reste toujours très démonstratif. Je prends position sur le plongeoir central. Je plonge. Qu’elle est bonne. Je fais mes longueurs consciencieusement. Je remarque la ravissante jeune femme qui descend les marches de l’échelle. Elle porte un bonnet et un maillot rouges, comme les miens. Elle nage dans le sens contraire. Nous n’échangeons un sourire qu’en nous croisant à la troisième fois. Je sors de l’eau avec l’intention de lui faire mon numéro. J’attends qu’elle revienne dans ce sens. Je monte l’échelle. De voir un "Arnold Schwarzenegger" monter les marches fait toujours son petit effet. Sur la gente féminine comme sur la gente masculine. Je promène mon mètre quatre vingt huit et mes quatre vingt cinq kilos de muscles autour du bassin. Désinvolte. Nonchalant. En toute innocence.
Je surprends les regards de la nageuse. Il y a deux cas de figure. Un culturiste peut susciter l’admiration comme il peut susciter le malaise. La jalousie chez certains "bas de plafond". Je retourne dans l’eau pour cinq autres longueurs. Nous échangeons quelques mots. En nageant côte à côte. Mon approche est une réussite. << Vous vous entraînez dans quelle salle ? >> me demande la jeune femme. Je réponds : << World Gym. C’est juste à côté ! >>. J’apprends qu’elle est une ancienne gymnaste. Qu’elle s’entraîne trois fois par semaine dans une autre salle en ville. << Un truc plus féminin ! >> précise t-elle. Il va me falloir sortir de l’eau, me sécher, m’habiller. Je salue la nageuse en précisant : << Ce fut un plaisir. Au revoir ! >>. Mon rendez-vous avec Anne-Marie est à seize heures. Dans trente minutes. Quelle surprise. Je quitte le bâtiment, mon sac de sport à la main, quand je me fais aborder par une jeune femme très élégante. Je ne la reconnais pas immédiatement. << Laure ! >> se contente t-elle de dire. C’est la nageuse.
Je me confonds en excuses. Nous marchons jusqu’à nos voitures. Sa BMW est stationnée à côté de ma Mercedes. Je tends ma carte à Laure en faisant : << Enchanté d’avoir fait votre connaissance. Voilà mes coordonnées. À tout hasard ! >>. Elle saisit l’objet en répondant : << Le hasard qui fait si bien les choses ! >>. Un dernier signe de la main lorsque nous sommes installés devant nos volants. Un dernier sourire. Elle démarre la première. Je regarde sa voiture quitter le parking. Il me reste dix minutes. J’arrive à l’heure pour récupérer Anne-Marie chez elle. Je sonne. Sa voix dans l’interphone : << Je descends ! >>. Le soleil a disparu dans un ciel laiteux. Il fait agréablement doux avec 20°. Pas un souffle de vent. S’il n’y avait pas toutes ces feuilles jonchant le sol, cela pourrait tout aussi bien être un après-midi de printemps. Anne-Marie me rejoint. Elle est vêtue comme moi. Un ensemble jeans, baskets blanches. Ses cheveux attachés en queue. Elle s’installe pour me faire trois bises. Je démarre. Ma passagère me raconte sa journée.
Le mercredi est jour de libre pour les enseignants du primaire. Mais pas exempt d’un travail de préparation souvent contraignant. << On prépare notre séjour en baie de Somme. Dix jours dans un studio loué chez l’habitant. On part à la fin de la semaine prochaine. Nathalie est encore plus contente que moi ! >> m’explique ma professeur des écoles. Je prends conscience que nous allons vers la fin octobre. Vers les vacances de la Toussaint. Anne-Marie désire découvrir le circuit que j’ai fait hier en compagnie de Nathalie. << Elle m’a tout raconté au téléphone. La même version que la tienne hier soir en webcam ! >> me dit elle. Je passe devant le stade nautique. Devant l’hypermarché, l’université. À gauche, au carrefour. L’étroite route communale vers les vignobles à flancs de collines. Je dis : << C’est là, à partir d’ici ! >>. Anne-Marie allonge son bras. Pose sa main sur ma braguette. Ne dit rien. J’ajuste le rétroviseur intérieur pour admirer les expressions de son visage. Je suis un cérébral. Je fonctionne en intellectualisant les évènements.
J’ai souvent le privilège de rencontrer des femmes qui ont le même fonctionnement mental. Ce sont alors d’extraordinaires relations. Je déteste le comportement animal. Je suis dans l’abstraction de ces réflexions quand Anne-Marie déboutonne mon Levis des deux mains. Je reste concentré sur la route qui monte en pente douce entre les parcelles des vignobles. Non sans quelques difficultés, ma passagère extrait le locataire. Elle le tient fermement de sa main gauche. Imitant le bruit d’un moteur elle change de vitesse. Mon sexe étant le levier. Nous en rions. Là-haut, la chapelle blanche. Nous restons silencieux. Comme pour apprécier cet instant particulier. Anne-Marie joue avec le "levier de vitesse". Je pose parfois ma main droite sur sa cuisse gauche que je caresse d’un mouvement régulier. Pas un mot. Nous arrivons au sommet des collines. Je m’arrête devant la chapelle blanche. Elle est probablement fermée. << Il faudra venir faire des trous par ici. Je n’en ai pas vu un seul ! >> lance Ma complice. Nous en rions de bon cœur.
Nous quittons la voiture. La fraîcheur de fin d’après-midi, en altitude, est vive. C’est limite en veste jeans. Nous faisons le tour de l’édifice. Assis à l’abri du vent, nous profitons d’une douceur toute relative. Anne-Marie ne lâche pas mon sexe qu’elle tient fermement. Je l’écoute me parler de la baie de Somme, du Mont Saint-Michel qu’elles iront visiter. Elles ont tout organisé depuis la rentrée de septembre. Avec cette soudaineté toute féminine, Anne-Marie se penche sur sa gauche. Sa bouche se referme sur ma virilité. C’est une plongée dans l’indicible. Je pousse un profond soupir. Je prends un longue inspiration. En apnée, je savoure ce fabuleux moment d’enchantement. Je caresse la nuque de ma partenaire. Je chuchote : << On se fera des webcams depuis la baie de Somme ? >>. Anne-Marie cesse, se redresse. En riant elle répond : << C’est prévu. C’est au programme. Mais il y a Nathalie. Je vais l’initier aux webcams licencieuses ! >>. J’éclate de rire à mon tour.
Ma complice se laisse à nouveau aller sur sa gauche, retournant à nos plaisirs. J’admire la plaine au bas des vignobles en pentes. Je me laisse faire. Sans bouger. Nous restons d’ailleurs immobiles. Toutes les deux trois minutes Anne-Marie se redresse. Nous contemplons le paysage. Le crépuscule s’annonce. Le voile laiteux, sur l’Ouest, vire à l’orange. Anne-Marie retourne à nos joies. Il serait vain de vouloir quantifier le temps qui s’écoule. Nous restons là jusqu’à la nuit tombante. La fraîcheur devient très désagréable. Anne-Marie frissonne de plus en plus souvent. Et pas seulement de ses gourmandises. Je saisis ses cheveux en queue pour la redresser délicatement, en disant : << Viens, on a le restaurant qui nous attend ! >>. Ma complice tire son smartphone de la poche. << Oh punaise, presque dix neuf heures ! >> s’exclame t-elle. Elle se lève, saisit ma main pour m’entraîner jusqu’à la voiture. C’est agréable d’y retrouver les sièges et une température bien plus clémente. À peine assise qu’Anne-Marie reprend sa fellation passionnée. Je démarre.
Je revis l’exacte situation de la veille mais avec une partenaire différente. La nuit est sans lune. Des insectes se prennent dans les phares. Je ne dépasse pas les 10 km/h dans ma plus grande vitesse. Comme hier, ce sont des gémissements qui résonnent dans le silence de l’habitacle. Des gargouillis, des déglutissions, des soupirs d’extases, des râles. Je ralentis encore. Fort heureusement cette route communale ne dessert aucun village. Pas de circulation en cette saison. De devoir piloter l’auto, dans ces circonstances, est un exercice de contrôle absolu. Nos excitations sont synchrones. À chaque fois qu’elle cesse pour se redresser, Anne-Marie murmure : << C’est génial ! >>. Elle me fait une rapide bise sur la joue, me demande : << Ça va ? >> avant de reprendre ses activités buccales. Je chuchote à chaque fois qu’elle y retourne : << C’est bon ? >>. Ou encore : << Tu te régales ? >>. Sa réponse n’est qu’un gloussement positif. Nous arrivons sur le parking de la ferme restaurant. Je me gare. J’éteins le moteur.
Il y a d’autres autos. Nous restons encore un peu à profiter de nos passions communes. Je prends mon I-phone. Je compose le numéro du restaurant. Je téléphone pour réserver une table d’ici dix minutes. Anne-Marie, tout en gloussant de rire, continue en écoutant la conversation. C’est absolument divin d’entendre la voix de la ravissante serveuse de hier soir en étant méthodiquement vidé de mes substances. Un sacré stimulant supplémentaire dont semble profiter ma gourmande. Je raccroche. Elle cesse, se redresse pour dire : << Un bon apéro, ça met en appétit ! >>. Dans l’obscurité, seuls ses yeux et ses lèvres brillent. Je passe l’extrémité de mes doigts sur son visage. Je chuchote : << C’est sublime avec toi ! >>. Elle répond : << Tu as certainement prononcé les mêmes mots, hier soir, avec Nathalie ! Salaud ! >>. Pour être honnête, je ne m’en souviens pas. Nous sortons de la voiture. Je remballe. << C’est marrant mais tu n’éjacules pas à chaque fois ! >> dit elle en me prenant le bras pour marcher serrée contre moi.
Nous traversons le parking pour entrer dans la salle. La jeune serveuse vient à notre rencontre. << C’est la réservation ? >> demande t-elle en me reconnaissant. Elle m’adresse un étrange regard. Je comprends car ma compagne de ce soir n’est pas la même. De quoi déstabiliser. Notre table nous attend. Entre une haute et large armoire rustique, une étagère à livres anciens, reliés cuir. C’est la seconde fois que je suis en ce lieu. J’apprécie la décoration. L’intérieur d’un corps de ferme. Il y a une quinzaine de tables nappées de blanc. Des chaises fauteuils grises extrêmement confortables. Des outils manuels et agricoles anciens fixés aux murs de pierre. L’endroit est aussi chaleureux que son accueil. La serveuse apporte la carte. Nous en rions car il n’y a qu’un seul menu. Mais plusieurs options de desserts. Une soupe aux légumes en entrée. Délicate. Puis ce sont des ravioles aux épinards et à la viande de volaille. Un délice. << J’ai toute ma soirée. J’ai fait mes préparations ce matin ! >> s’exclame Anne-Marie.
Je réponds : << C’est parfait pour la suite. Je pense remonter à vitesse réduite jusqu’à la chapelle. Je crois y avoir oublié quelque chose ! >> Anne-Marie pose sa main sur la mienne pour dire : << Ce n’est même pas vrai ! >>. Nous rions quand je rajoute : << C’est juste un prétexte pour profiter de la situation ! >>. Elle conclue : << Coquin ! >>. Nous mangeons de bon appétit. Il n’y a que quelques clients attablés. Ça chuchote, ça murmure, rappelant le bourdonnement d’une ruche. Nos choix se portent sur une meringue glacée en dessert. Avant un bon café. << Je vais aux toilettes, il faut que je change mon tampon, ça urge ! >> fait elle en se levant. Je la regarde traverser la salle. Même si elle n’est pas exactement mon style de femme, elle ferait le bonheur d’un homme pour une vie entière. Je ne la mérite pas. Comme prévenu par mon sixième sens, je lève les yeux. Mon regard croise celui de la serveuse. Son sourire est désarmant. La dame derrière le comptoir est très certainement sa maman. Je surprends son regard une seconde fois. Fixe. C’est excitant.
Anne-Marie revient. C’est à mon tour. Je sors des toilettes hommes. L’étroit couloir. J’y croise la serveuse. << Ça a été ? >> me demande t-elle. Je réponds : << C’était superbe. Vous risquez fort de m’avoir pour nouveau client ! >>. Parle t-elle du repas ou des WC ? Son sourire est magnifique. Je sors pour rejoindre ma complice. Je lui raconte. << Tu les attires comme des mouches, espèce de vieux play-boy ! Salaud ! >> dit elle. Nous en rions de bon cœur. L’addition. Nous enfilons nos vestes. La serveuse nous accompagne jusqu’à la porte. Nous la remercions avant de traverser le parking dans la nuit noire. Dans le froid revenu. À peine suis-je installé au volant que ma passagère me déboutonne. Il va être vingt et une heures. Il n’est évidemment plus question de remonter jusqu’à la chapelle. Nous prenons la direction de la ville. Anne-Marie prétend prendre son “digestif“ alors qu’elle me besogne comme une affamée. Nous arrivons devant son immeuble. Je décline son invitation à prendre un dernier café. Nous restons encore à deviser un peu.
<< C’est la première fois que je fais ça en bagnole. J’ai trente cinq ans, je ne mourrai pas idiote ! >> dit elle en jouant encore un peu avec mon érection déclinante. << Tu n’as pas envie de t’emmener au bout ce soir ? Tu es un drôle de type quand même ! >> rajoute t-elle. En riant je promets de le faire la prochaine fois. Je réponds : << Un jour je vais t’expliquer mon fonctionnement ! J’éprouve un tel plaisir que je ne vois absolument pas l’utilité de tout stopper à cause d’un orgasme ! >>. Anne-Marie me regarde comme un extraterrestre. Les dernières bises. << On se voit samedi, n’oublie pas ! Si la météo le permet on se fait une randonnée "trous"? Ça fait longtemps ! >> fait elle en sortant de la voiture. Elle colle ses lèvres contre la vitre avant de se sauver. Je remballe. Je démarre. J’arrive à la maison pour vingt deux heures. La rapide toilette avant de retrouver la douceur du lin de mes draps. À présent, c’est Morphée qui va s’occuper de mon cas…
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