L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

En voiture avec Virginie

                                                     Virginie se confie

 

        Absorbé par ma séance de peinture, je manie le pinceau en pensant à tout sauf à ce que je fais. Tout en étant parfaitement concentré sur la réalisation d’une œuvre d’un hyperréalisme méthodique. J’y travaille depuis huit jours. Les crépitements du feu dans la cheminée. En jetant un œil par l’une des deux baies vitrées de l’atelier, je découvre que le ciel, d’un bleu pur, se débarrasse de tous ces derniers nuages. La journée promet d’être ensoleillée. Excellent présage en ce vendredi. Nous pourrons peut-être aller randonner avec Anne-Marie demain après-midi. Elle a émis le souhait de parcourir son circuit “trous“ préféré. Ces pensées sont brutalement interrompues. Les vibrations de mon téléphone. Comme il est parmi les couleurs, sur la desserte à ma droite, en voulant le saisir, j’attrape un des tubes. Ça m'énerve. C’est le visage de Virginie qui apparaît à l’écran. << Bonjour ! Tu n’as pas oublié ? Je t’attends cet après-midi à quinze heures ! >> lance t-elle. Sa manière de marteler chacune de ses syllabes rend sa diction unique. Ce qui m’amuse. Je la rassure.

 

        << Il est dix heures, je suis entre deux cours ! À tout à l’heure ! >> conclue t-elle. L’écran s’éteint avec le discret signal sonore. Je peins en pensant à cette étonnante jeune fille. Cela va faire sept mois que je la rencontre épisodiquement. J’assiste à une évolution passionnante. Sa personnalité s'affirme. Elle prend de l’assurance. J’assiste à tout cela avec intérêt. La matinée m’emmène aux environs de midi. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l’atelier pour la cuisine. Pendant que les spaghettis montent en ébullition, je fais l’assaisonnement d’une laitue. Je concocte une sauce au Roquefort. Je râpe de ce délicieux gruyère Suisse Appenzeller. Je mange de bon appétit en faisant le timing de l’après-midi. Virginie m’attend pour quinze heures. J’ai le temps de m’occuper du linge. Cette brave madame Louvain vient faire le ménage tous les samedis matins. J’aime bien en faire un peu avant. Pour que ce soit présentable. Ce qui va m’occuper avant de partir. J’ai de quoi réchauffer pour le repas de ce soir.

 

        La vaisselle. Je monte me brosser les dents. Je vide une seconde machine. Avec le panier plein, je dévale les escaliers. La température extérieure est de 20°. Je suspens les draps, les sous-vêtements, les chemises. Je ne dois surtout pas oublier de tout décrocher en revenant ce soir. Les nuits sont humides dès dix neuf heures. Un petit coup d’aspirateur au salon, dans le hall d’entrée et dans la cuisine. C’est OK. Je monte me préparer. T-shirt blanc sous mon ensemble Levis. Baskets blanches. Je m’arrange un peu devant le miroir de la penderie. Il va être quatorze heures quarante. Il ne faut pas plus de quinze minutes jusqu’à la sortie du bourg. La supérette. Il fait aussi beau qu’une journée de printemps. J’apprécie de rouler lentement. La route s’y prête. Je traverse le lotissement, la salle polyvalente à droite, j’arrive sur le parking de la supérette. La magnifique Toyota Yaris bleue cobalt est stationnée. Virginie assise au volant, penchée sur l’écran de son téléphone. Je viens me garer à gauche de sa voiture. Elle s’en extrait d’un bond.

 

        À peine suis-je sorti qu’elle passe ses bras autour de mon cou. C’est la seconde fois que j’assiste à cette manifestation de tendresse. La jeune fille ne m’y avait pas habitué. << Je suis contente de te voir. J’ai l’impression que ça fait des mois ! >> lance t-elle. Je propose de ne pas trop attirer l’attention. Elle contourne mon auto pour s’installer sur le siège passager. Virginie porte un jeans, un T-shirt blanc. Des baskets. Son sac à dos minuscule posé sur ses genoux. << Je te guide, démarre ! >> me fait elle. À peine sommes-nous sur la route qu’elle se met à me parler de Mathias. << Mon probable futur petit copain. Mais je le fais passer des tests ! >> précise t-elle. Elle raconte : << J’étais à son anniversaire samedi dernier. C’était super. On a bavardé. On s’est revu dimanche chez lui. Il est timide, ça me plaît bien ! >>. J’écoute sans un mot. Mes silences l’encouragent d’ailleurs à entrer dans des détails. Des interrogations de jeunes filles. J’enregistre de façon analytique chacune de ses phrases. Sa diction permet une parfaite compréhension.

 

        << C’est un avantage de connaître un homme de ton âge. Tu vas pouvoir éclairer ma lanterne. Ce sera un gain de temps. Tu vas pouvoir m’expliquer les comportements d’un garçon de vingt cinq ans ! >> rajoute t-elle. Je ris en demandant : << Vais-je être le confident de ton histoire d’amour ou vais-je être investi d’une mission ? >>. Elle s’exclame immédiatement : << Non, tu n’y es pas du tout. Et d’abord il n’y a pas d’histoire d’amour il y a juste une attirance et une "chimie". Désolée ! >>. Cette affirmation me rassure. Je déteste me mêler des affaires des autres. << Prends à droite ! >> lance t-elle alors que nous arrivons au calvaire. C’est une route étroite. Je ne l’ai jamais emprunté. Quelques centaines de mètres et nous pénétrons la forêt. Virginie me pose une série de questions très précises quand à certaines allusions : << Il m’a dit un truc bizarre. Ça fait un moment qu’il ne mange plus les filles. Il se contente de les goûter. Que dois-je comprendre ? >>. Je ris avant de répondre : << Pour un timide ça laisse effectivement interrogateur ! >>

 

       Elle continue : << On se voit samedi soir. On se fait un film au cinéma. Il aime les films d’actions. Je n’aime pas trop. Quand je lui ai dit que je préférais les films d’horreur, gores, il s’est contenté d’une horrible grimace ! >>. Je réponds : << Là, je ne peux pas me prononcer. Tu m’emmènes dans un domaine inconnu ! >>. Virginie reste silencieuse. Je découvre cet itinéraire. De longs tronçons tous droits. Une exploitation agricole. La route devient chemin quelques centaines de mètres plus loin. << J’ai envie que tu t’occupes de moi ! >> dit elle alors que je me gare sur le côté. Un long silence s’installe. Virginie consulte son téléphone. Rituels que les jeunes filles de son âge observent plusieurs dizaines de fois par jour. Je la devine légèrement tourmentée. J’ai les mains posées sur le volant, je dis : << C’est étrange n’est-ce pas. Quand une personne entre dans nos vies, on est comme “hanté“ de sa présence ! >>. Ma passagère s’écrie : << Exactement ! Tu vois, comment veux-tu que je parle de tout ça à quelqu'un ! >>

 

       Posément je réponds : << À ta mère par exemple. C’est une femme. Personne ne te connaît mieux qu'elle ! Les mères sont parfois de bons conseils dans ce domaine ! >>. Virginie joue avec son téléphone. Le silence est pesant. Je crois avoir visé juste car elle finit par dire : << Tu as sans doute raison. Mais je n’aime pas trop la mêler à mes histoires intimes. J’ai déjà essayé mais elle est très coincée. Du genre à parler au "bon Dieu" tu vois ! Et ça, ça me gonfle ! >>. En effet, je vois. Elle rajoute : << Et puis je me méfie des gens qui ont “Dieu“ dans leurs camps. Pour ce genre de plan c’est toujours foireux. Quant à papa il est très fuyant sur ces choses. Je reste sa petite fille et c’est chiant ! >>. Je commence à saisir ma raison d’être là cet après-midi. Je me tourne vers Virginie. J’imite sa manière d’articuler chaque syllabe pour préciser : << Si je peux t’aider. Tu peux compter sur moi, mais ne fais aucun transfert ! >>. Elle pose sa main sur ma braguette pour l’empoigner avec force. << Arrête de m’imiter. Tu ne sais pas le faire ! >> lance t-elle.

 

       << Fais-moi délirer s’il te plaît ! >> s’écrie t-elle en approchant sa bouche de la mienne. Je passe ma main entre ses cuisses qu’elle écarte immédiatement. Elle pose ses lèvres sur les miennes. Pénètre ma bouche de sa langue. Je retrouve cette étrange culpabilité qui m’assaille. Virginie la devine. Malgré ses dix neuf ans, elle sait mettre mes émotions au service des siennes. Sa main me palpe durant ce baiser fougueux. Mon érection est contrariée. Ça aussi elle le devine. De ces deux mains, ma passagère ouvre mon ceinturon, me déboutonne. C’est un soulagement d’avoir ma raideur en soudaine liberté. Virginie s’amuse avec, sans cesser de m’embrasser. Nos mentons sont trempés de nos salives. L’écran tactile de l’ordinateur de bord est allumé. J’appuie sur l’onglet de la fonction idoine. Immédiatement le dossier du siège de ma passagère s’incline vers l’arrière. Je change de position. Elle se déboutonne. Trop impatiente de s’offrir le plaisir attendu. Je dénoue sa baskets gauche alors qu’elle dénoue celle de droite. Nous rions aux éclats.

 

       Nous tirons tous les deux sur son jeans pour le retirer. Je retire le mien. << Viens ! >> murmure t-elle. Virginie m’a déjà réservé bien des surprises. Et quelque chose me dit que je n’en suis pas au bout. Je me positionne. Je reste en appui sur mes bras. Virginie, fort heureusement, n’est pas du genre passive. C’est une fille pleine d’initiatives. Décidée et entreprenante. C’est plutôt rassurant. Ma culpabilité me quitte alors que notre étreinte se précise. J’ai toujours une crainte. Je chuchote : << Interdiction de bouger. On reste immobile et tu me racontes tout ce qui passe dans ton esprit ! >>. Elle cesse de m’embrasser alors que je la pénètre avec d’infinies précautions. Elle ouvre de grands yeux interrogateurs. Je précise : << Une expérience sensuelle ! >>. En fait, je veux surtout voir les capacités à se contrôler de ma complice. Nous nous fixons. C’est tellement intense que je baisse les yeux le premier. En se mettant en mode "berceuse" ma partenaire murmure : << Gagné ! >>. Je n’ai plus qu’à me laisser emporter par le lyrisme imposé.

 

        Nous faisons l’amour. Virginie ne m’avait pas habitué à tant de sensibilité. Je la découvre capable d’une tendresse inouïe. C’est un nouvel enchantement. Parfois je fléchis les coudes pour descendre. Ma poitrine contre ses seins. À chaque fois que je le fais, ma partenaire gémit d’un autre plaisir. Dans une voiture ce n’est jamais aussi confortable que dans un lit. Même dans l’habitacle d’une grosse berline Allemande. Nous alternons les séquences de parfaites immobilités avec celles plus agitées de nos douces berceuses. J’apprécie l’aisance de nos gestes, de nos corps. Totale harmonie. Tout cela se passe dans la douceur et la tendresse. << Si seulement tu pouvais donner des cours de baise à Mathias ! >> chuchote t-elle. Nous en rions aux éclats. Je murmure : << Tu n’en sais encore rien. C’est peut-être un super coup ! >>. Virginie répond : << Je ne veux pas d’un "coup" s'il te plaît ! J’ai besoin de romantisme quand je fais ça. Et avec toi ça en déborde de partout ! >>. Nous reprenons nos danses lascives en unissant nos gémissements.

 

       Un bruit de moteur. D’abord dans le lointain. Nous n’y portons pas immédiatement attention. Le bruit se rapproche. Je lève la tête. C’est un tracteur rouge. Il vient par là. Impossible de se cacher. L’homme assis sur son siège, dans sa cabine, aura une vue globale sur ce qui se passe dans la voiture. << On s’en fout ! >> fait Virginie en s’accrochant à moi. M’attirant sur elle. Le tracteur passe à côté de l’auto. Nous nous faisons tout petit. Quand le bruit s’éloigne, il y a un coup de Klaxon. Nous en rions de bon cœur. Nous nous aimons sans la moindre notion du temps. Virginie saisit le téléphone sous ses fesses. << Oh purée, dix huit heures ! >> lance t-elle. Je demande : << Tu as un impératif ? >>. Elle répond : << Oui, on mange à dix neuf heures à la maison et je suis censée être chez ma copine de fac. Pas de blême. J’ai tout prévu. Elle est dans la combine ! >>. Je me retire. Je suis à genoux entre ses jambes que je relève en les tenant par les chevilles. Je pose ma bouche sur son clitoris. Dans un râle profond, ma complice s’avance pour s’offrir à ma caresse dans une meilleure position.

 

       Ses genoux touchent le tableau de bord, posés sur mes épaules. Je me goinfre de jus de fille. Ce qui se passe là est beaucoup plus “animal“. Un agréable supplément. Ses petits cris de ravissement envahissent l’habitacle. J’adore sentir l’intérieur de ses cuisses frissonner contre mes joues. Ce sont deux éjaculations de cyprine qui inondent ma bouche. À quelques minutes d’intervalles. En poussant un mugissement, Virginie colle son sexe contre mon visage jusqu’à risquer de m’étouffer. Elle relâche enfin son étreinte pour se redresser sur ses coudes. J’appuie sur le même onglet. Le dossier se redresse. Je m’installe sur mon siège. Ma comparse éclate soudain de rire. << Regarde, tu as plein de "moi" sur la gueule ! >>. Je regarde dans le rétroviseur. En effet, j’ai tout le bas du visage mouillé et luisant. Le crépuscule s’annonce. C’est avec nos vêtements à la main que nous sortons de la voiture. Nous nous habillons alors que se pointe le tracteur. << Oh put-hein il revient ! >> s’exclame Virginie. Vite. Nous voilà prêts à repartir.

 

       Je laisse le tracteur passer. Je démarre. Il faut ruser pour faire demi tour sur cet étroit chemin. Je dois m’y prendre à plusieurs reprises. Ça y est, c’est parti. << Comme c’est bien les après-midi avec toi. Pourquoi as-tu presque l’âge de mon père ? Merde alors ! Tu ne pourrais pas avoir l’âge de Mathias plutôt ! >> lance t-elle en mitraillant ma joue droite de bise. Pour seule réponse, je dis : << Mets ta ceinture, on arrive sur la route ! >>. Nous arrivons sur le parking de la supérette. La séparation est difficile pour la jeune fille. << Je t’appelle. On refait. Mais cette fois dans ma voiture ! >>. Je dis : << Il faudra inventer une nouvelle position alors ! C’est plutôt exigu ! >>. Un dernier bisou. Je regarde Virginie s’installer à son volant. C’est étrange mais dans la pénombre son visage a soudain les traits d’une jeune femme. J’ai un soudain vertige d’une seconde. Je cligne des yeux pour chasser cette hallucination. Peut-être les conséquences de nos ébats. Elle me fait des bises qu’elle souffle dans ses mains. Un dernier coucou. Elle démarre, recule, braque et se dirige vers la sortie.

 

       Je démarre. Je roule le plus lentement possible pour ne pas trop déranger les rares automobilistes qui me dépassent. Parfois d’un coup d’accélérateur rageur. Je regarde le siège où était assise ma jeune amie. J’aimerais humer l’endroit où s’agitait son cul. Je suis encore pétri d’émotions en arrivant à la maison. Je mets la voiture au garage. Il ne faut pas oublier de décrocher le linge. Il est bien sec et sent tellement bon. Je suis mort de faim. Il est pile dix neuf heures. Je n’ai qu’à réchauffer les spaghettis, la sauce et faire l’assaisonnement du reste de la laitue. Je mange de bon appétit, envahi de toutes les douces sensations ramenées. Je rêvasse quand mon téléphone se met à vibrer. Le visage de Virginie sur l’écran. << Trop bien ! Trop bon ! >> lance t-elle. Elle rajoute : << On refait le plus vite possible. Je t’appelle. D’accord ? >>. Elle ne s’attarde pas. Ne me laisse pas le temps de prononcer le moindre mot. Elle a déjà raccroché. Je reste devant mon écran noir. Vais-je tout raconter à Anne-Marie ce soir ? J’hésite.

 

        Nous avons webcam à vingt et une heures. L’inspiration de la décision me viendra sans doute durant la vaisselle. Où alors pendant la douche. Je peux prendre mon temps. Me délasser un peu. C’est en peignoir que je m’installe devant l’ordinateur. Il va être l’heure de notre rendez-vous virtuel. Anne-Marie apparaît à l’écran. J’aime quand ses cheveux encadrent son visage. Ses traits paraissent plus fins. Les minuscules taches de rousseur, à peine visibles sur son nez. C’est adorable. Elle me raconte sa journée d’enseignante en CM2. Je lui raconte mon après-midi. Je n’ai pas la force d’occulter ce qui s’est passé. La vérité et la franchise sont des éléments qui apportent le bien être et la sérénité. << Tu es le dernier des dépravés ! >> lance t-elle. Elle rajoute : << Il t’arrive de passer une seule journée sans faire des "trucs" avec une femme ? >>. Nous en rigolons comme des bossus quand je réponds : << Oui, quand nous n’avons pas webcam le soir ! >>. Cette petite demi heure que nous passons presque quotidiennement ensemble est une nécessité.

 

       Nous ne nous masturbons pas systématiquement chaque soir. Par contre nos tasses d’infusions fumantes, à la verveine, sont posées à côté de nos claviers. Anne-Marie revient sur les derniers préparatifs. Les vacances de la Toussaint débutent jeudi prochain. C’est avec la voiture de Nathalie qu’elles partiront toutes les deux aux aurores. Direction la baie de Somme. Un studio chez l’habitant au Crotoy, qu’elles vont occuper dix jours. << On se fera des webcams depuis là-bas. Peut-être pas tous les soirs. Je te raconterai par mails ! >> me dit elle d’un ton passionné. Elle rajoute : << Tu me raconteras tes frasques ! >>. Je promets de les raconter dans le détail. Anne-Marie se met à bailler la première. C’est contagieux. Je m’en décroche la mâchoire moi aussi. Un dernier bisou virtuel. << On se voit demain. Randonnée “trous ». Parking du restaurant. Quatorze heures. Bonne nuit ! >> conclue t-elle. Je répète exactement les mêmes phrases avant d’éteindre la machine. Ce sont mes doux draps de lin qui m’accueillent pour cette dernière exaltation de la journée.

 

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10/01/2025

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