L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Estelle, la jeune fille du conservatoire (Episode 11)

 
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                                                             Estelle sait m'ensorceler

Estelle a pris l’habitude de me téléphoner tous les jours vers midi trente et le soir vers 21 h. La jeune fille m’entretient alors de ses études, me parle de ses très rares amis, évoque sa passion pour la musique, l'équitation et le violoncelle. Ce qui me pose question c’est ce désir de plus en plus irrépressible de vouloir être au près de moi. Et le plus souvent possible. Bien sûr il y a cette attirance pour la fellation qu’elle s’est découverte. Une véritable addiction. Un sentiment ne naîtrait-il pas aussi en elle ? Je commence à m’en douter un peu. Certes Estelle est intelligente, la tête bien sur les épaules et les pieds bien sur terre. Mais cela suscite des questions nouvelles à l’homme mûr que je suis.

Ce samedi à 14 h Estelle sonne de ses trois coups de sonnettes devenus habituels. Dans l’écran vidéo de l’interphone je peux voir le visage et le buste de la jeune fille. J’appuie sur le bouton "ouverture" du portail. Estelle descend le chemin à toute vitesse sur sa bicyclette. Vélo qu'elle laisse tomber sur l'herbe de la pelouse. Impatiente. En entrant elle me fait deux bises. Elle sourit à présent tout le temps. Elle semble si heureuse d’être là, avec moi. Comme souvent, la jeune fille est vêtue d’un pantalon noir à plis. Elle porte sa veste de cuir noir cintrée à la taille passée sur un pull noir. Estelle est chaussée de souliers noirs. Je la débarrasse de sa veste. Je l’invite à s’asseoir sur le canapé.

Ce qui attire mon attention c’est ce sac de sport qu’elle dépose au sol. Comme à chaque fois je propose une boisson chaude et des petits gâteaux. Je m’installe à ses côtés. Se tournant vers moi elle me fait : << Vous êtes toujours d’accord pour venir au concours hippique demain ? >>. Je la rassure : << Bien sûr Estelle. Je suis même à me réjouir ! Mais nous saurons êtres d’une prudence de Sioux tous les deux. Il y aura vos parents, vos amies. >>. Ma jeune étudiante me répond : << Ne vous inquiétez surtout pas pour ça, je suis très prudente et plutôt rusée ! >>. Je lui demande si c'est réellement pratique de faire de la bicyclette vêtue de cette façon. Elle éclate d'un rire amusé.

La jeune fille assise à mes côtés, comme souvent lorsqu'elle est en ma présence, regarde ma braguette. Avec insistance. Cette attention peut quelquefois me gêner. Je tourne la tête pour la fixer dans les yeux. Quelques instants d'un silence lourd. J'entends sa respiration qui s'accélère. J’ouvre doucement ma braguette. Je dis : << Pas trop écœurée par votre dernière expérience de samedi dernier ? >>. Je demande cela sur un ton de plaisanterie. << Non pas du tout ! Avec le recul c’était génial ! Et puis on finit par s’habituer à tout ! >> me fait elle le plus sérieusement du monde. Constatant mon expression Estelle éclate de rire tout en posant un instant sa tête contre mon épaule.

Je me lève en disant : << Il faut que j’aille aux toilettes ! >>. Je me dirige vers la porte du salon. Je traverse la grande pièce sans me retourner. Les toilettes du bas sont dans le couloir. Debout devant la faïence je me déboutonne. Je m’apprête à pisser lorsque soudain, derrière moi, un bruit. Estelle entre dans la petite pièce. Se plaçant sur ma droite, debout à mes côtés, le regard fixé sur mon sexe, la jeune fille attend. "Bloqué" par cette présence non prévue, je suis là, le sexe à la main, essayant de faire mon besoin naturel. Pas un bruit. Pas un mot. Le silence pèse soudain d'un poids invraisemblable. Presque palpable. Je suis profondément incommodé. Une très curieuse impression.

<< Je peux vous la tenir ? >> fait elle avec le sérieux dont elle est coutumière dans les situations les plus insolites. Je retire ma main en laissant pendre mon sexe. Sans la moindre hésitation Estelle s’en empare immédiatement. C’est la première fois qu’elle me la tient ainsi. Avec une certaine fermeté. C’est une nouvelle initiative de sa part. Je suis certainement là le sujet d'une nouvelle expérimentation. Je me retrouve rapidement avec une érection mollasse. Estelle me la tient de la main droite. Ce qui l’oblige à se pencher un peu. Son visage, de profil, tout prêt du mien, me semble resplendissant. Pas l'ombre d'un doute, Estelle exulte en pratiquant cette nouvelle expérience. La joie.

<< Vous voyez les boutons autour de ma bouche ? C'est la pipe ! Ça donne des boutons ! >> me fait elle amusée. Je me sens si stupide. Je dis : << Oui je vois ! >>. Je ris même bêtement. Un peu déstabilisé par la situation, je reste en apnée. Que pourrais-je bien rajouter ? Je scrute les toutes petites aspérités autour des commissures de ses lèvres. Certaines sont purulentes. Est-ce réellement la conséquence de la fellation ou est-ce de l'acné juvénile ? Elle tourne sa tête vers moi. Elle joue avec ses lèvres, fait quelques mimiques. En riant Estelle me fait des grimaces en louchant. Cette adorable jeune fille de dix huit ans et demi pourrait faire toutes les grimaces possibles, elle resterait belle.

<< Les boutons inhérents au sperme et à la pisse. Votre sperme et votre pisse ! >> me fait elle encore avec un ton de reproche. Estelle s’accroupit, la bouche à quelques centimètres de mon sexe. En imitant sa façon de ponctuer chaque syllabe et avec la même intonation, je réponds : << C’est vrai ! Mon sperme et ma pisse sans doute ! Mais vous manquez d’un élément essentiel ! L’élément de comparaison ! >>. Elle relève la tête et me fixe dans les yeux d'une façon presque sévère. << Je n’imagine pas faire ça à quelqu’un d’autre ! Certainement pas ! > lance t-elle d'un ton péremptoire. Elle semble soudain contrariée. Vexée peut-être. J'appuie mon propos : << Pourtant un jour il faudra vous y résoudre. Au nom de l’élément de comparaison ou d'une attirance amoureuse ! >>. Elle reste dubitative en observant mon sexe.

<< Vous allez m’y aider alors ! >> me lance t-elle en serrant mon sexe par intermittence. Comme si elle était à traire un pis de vache. Je la regarde, accroupie, concentrée et silencieuse, fixant mon sexe. Je lâche un jet puissant. Ce qui exerce un effet de surprise sur la jeune fille. Elle maintient pourtant fermement mon sexe de ses deux mains. Je cesse pour reprendre quelques secondes plus tard. << C’est super ! >> fait elle en se mettant à genoux. Penchant sa tête Estelle laisse pendre ses longs cheveux presque jusqu'au sol. Elle approche sa bouche ouverte comme en attente du prochain jet. Mon cœur bat la chamade. Ma poitrine va exploser. J'attrape ses cheveux que je relève.

Je lâche ce jet tant attendu. Malgré l'immense excitation qui m’envahit de plus en plus. Estelle se rapproche encore. Ouvre sa bouche afin de recueillir le liquide doré. Je ferme les vannes. La jeune fille prend mon sexe trempé en bouche. Je sens sa langue fouiller la peau fripée entre mon gland et mon prépuce, insistant sur le méat, comme si elle voulait en pénétrer l’orifice. Cela dure plusieurs minutes. Sa respiration trahit son excitation. Elle déguste religieusement. Elle savoure lascivement. De petits gémissements de contentements, de ravissements. Estelle cesse sa dégustation. Retirant sa bouche elle se remet en situation d’attente. J'ai de véritables coups dans la poitrine. Ça cogne !

Estelle reste ainsi longuement à regarder mon sexe qui se met à durcir et à grandir dans sa main. Je lâche deux salves brèves et courtes. Immédiatement elle les recueille de sa bouche gourmande, avide et impatiente. Elle se remet à déguster longuement. Je la vois siroter. Ma jeune étudiante savoure en émettant d’imperceptibles gémissements. Je profite de ce moment pour lâcher un nouveau jet. Estelle accuse un léger mouvement de recul. Je caresse sa tête lorsqu'elle se met à sucer. Je lâche ainsi plusieurs petits jets. La jeune fille reste à sucer. Je peux sentir cet effet de ventouse absolument indicible qui me procure les plus fous vertiges. Je dois m'appuyer contre le réservoir d'eau.

Me tenant par les hanches, à genoux, Estelle me suce comme si sa vie en dépendait. Immobile, mon sexe dans la bouche, il n’y a que ses lèvres qui bougent. Elle alterne pompages à pleine bouche et succions du bout des lèvres. Estelle déglutit avec délice. Ses gémissements deviennent de plus en plus vicieux. Je lâche un long jet. Dans l’impossibilité d’avaler toute la quantité abondante du liquide, malgré ses efforts, de la pisse suinte à la commissure de ses lèvres. Cela commence d'ailleurs à couler sur son menton, dans son cou, mouillant une nouvelle fois son pull. Je suis habité d'un curieux sentiment. La honte, l'excitation, la gêne, le désir d'être à la fois l'acteur et le regardant.

Je cesse de me lâcher. A présent ma jeune étudiante est rivée à mon sexe d’une façon fusionnelle. Sa bouche semble collée à ma braguette. Elle suce de manière presque démentielle. Toujours immobile, soudée à mon sexe. Je me sens pompé de façon invraisemblable. Presque à la limite du supportable. Estelle gémit en pompant. Elle souffle comme moi. Sans doute absorbée par l’ivresse de cette fellation hors normes. J’ai beau lâcher et lâcher encore, pisser sans pouvoir contrôler, c’est comme si son existence en était dépendante. Le jet commence à se tarir. La position devient pénible pour mes lombaires. J'ai remarqué souvent que mes suceuses semblent s'en apercevoir. Elles passent alors souvent leurs main dans le bas de mes reins. Estelle n'échappe pas à cette particularité. Sixième sens féminin et protecteur. C'est beau...

Je prends Estelle par les cheveux pour lui retirer la tête avec force. Mon sexe jaillit de sa bouche giclant un peu n’importe où. La jeune fille pousse un petit cri de dépit lorsque je le retire de sa bouche. Avec un râle grave elle lutte pour s’en saisir à nouveau. La bouche ouverte, ruisselante de pisse, elle veut continuer. Je me laisse faire. Je viens de perdre ce combat dérisoire ! Avec un long gémissement de plaisir Estelle s’empare une nouvelle fois de mon sexe. Pompant à nouveau comme une damnée, elle suce. J’en ai toujours autant de vertiges. A tel point que je me laisse glisser sur le sol et la pisse qui en mouille le carrelage. Ma jeune étudiante, de son corps souple, épouse parfaitement mon mouvement sans lâcher mon sexe de sa bouche avide et affamée.

Là, couché sur le côté, le visage de la jeune fille contre ma braguette, j’éjacule comme un véritable dément ! Je comprends parfaitement cette expression "la petite mort" ! Car c’est ce que je suis entrain de vivre à l’instant. Je pousse de véritables hurlements de jouissance. Estelle me pompe et me vide en gémissant. Comme toutes les femmes dans cette situation de supériorité Estelle a conscience d'avoir là le contrôle total de mon existence. C’est la première fois que j’assiste à une telle attitude de la part de cette jeune fille habituellement réservée même dans les moments les plus vicelards. Là, elle s’est vraiment lâchée", donnée au vice avec une intensité rare. Gloussant de satisfaction.

Je lui retire la tête. Cette fois Estelle se laisse faire. Visiblement aussi épuisée que moi. Je lui propose de prendre une douche et de nous donner à nouveau apparence humaine ! Elle éclate de rire en s'essuyant le visage avec du papier tiré du rouleau. Il est dix sept heures trente ! J'étale une serpillère sur le carrelage. Nous sortons enfin des toilettes. Estelle récupère le sac de sport ! Je comprends qu’il contient des vêtements de change. La jeune fille aurait elle prévu ce qui allait se passer ? D’une façon ou d’une autre ? C'est encore un mystère...

Une fois douchés, tous deux installés sur le canapé, nous devisons. Nous évoquons le concours hippique de demain. Soudain agitée de soubresauts Estelle me fait : << Voilà, ça recommence, je dois vomir ! >>. Se levant avec précipitation la jeune fille file aux toilettes. Je l’aide une nouvelle fois. Je l’assiste dans cette épreuve en caressant sa nuque. Je suis consterné par la quantité de foutre et de pisse que la jeune fille dégurgite dans des spasmes et des convulsions sonores. Estelle est toute pâle. Je n'en reviens pas. Elle a avalé tout "ça" !!!

Je demande : << Comment pouvez-vous vous imposer une telle chose ? >>. Estelle se contente de me faire un sourire terriblement vicieux et évocateur. Je prépare une verveine et des petits morceaux de pommes. Estelle, au bout d’une dizaine de minutes, ayant retrouvé ses couleurs, vient me rejoindre au salon. Ce sont des petits gâteaux qu'elle mange à présent avec appétit. << J'ai adoré ! >> murmure t-elle.

Nous terminons la soirée dans un petit restaurant à l’extérieur de la ville. En revenant vers 21 h30 Estelle, dans la voiture, me fait : << Je peux vous tailler une pipe ? >>…
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29/07/2014

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