L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Estelle, la jeune fille du conservatoire (Episode 13)

 
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                                                           Le jeudi de la Toussaint.

Ce mardi soir comme à mon habitude je suis venu préparer mon cours une demi-heure avant l’arrivée des élèves. Comme à chaque fois je reste concentré sur mes préparations lorsque trois coups sont frappés à la porte. Cette fois je sais que c’est Estelle. Elle m’a téléphoné vers midi trente pour m’annoncer sa visite avant le cours. Je fais : << Oui, entrez ! >>. C’est effectivement Estelle. Vêtue d'un de ses habituels pantalons noirs, de sa veste en cuir noir cintrée à la taille et de son pull noir. La jeune fille est chaussée de souliers noirs à légers talons. Ce qui change un peu sa manière de marcher. Un bruit de pas très féminin. Une écharpe noire et longue nouée négligemment autour du cou.

<< Bonsoir monsieur ! >> me fait elle avec ce sourire magnifique qu'elle affiche à chaque nouvelle occasion de nous revoir seuls. Ma jeune étudiante vient s’accroupir sur ma gauche. Me posant la main sur la cuisse, elle me demande : << Jeudi, comme c’est un jour férié, je peux venir passer l’après-midi avec vous ? >>. Posant ma main sur la sienne je réponds : << Mais avec grand plaisir Estelle ! Je vous invite au restaurant en soirée. Est-ce que ça vous tente ? >>. Un nouveau sourire éclaire son visage : << Oh oui avec plaisir ! Je suis déjà à me réjouir ! >> fait elle avec ravissement. Ses yeux s'illuminent de cette joie presque juvénile. Je ressens un soudain et profond frisson.

Estelle, comme elle le fait de plus en plus souvent, pose sa main sur ma braguette. Elle serre la bosse par petits mouvements. Se redressant elle me dit encore : << Vous ne vous ennuyez pas avec une fille de mon âge ? >>. Je reconnais là son sens de l’introspection et de l’analyse. Je la rassure : << Vous savez Estelle, comme je vous l’ai déjà dit, je suis seul. Votre compagnie lorsque cela est possible est un véritable plaisir. Et pas seulement pour ce que vous croyez. Cessez donc de vous posez des questions à ce sujet. Maintenant filez vite dans le hall d’accueil pour n'éveiller aucune suspicion de la part des autres élèves. À tout de suite pour le cours ! >>.

<< Je ne pourrai pas pour voir après le cours. Maman vient me chercher pour dix neuf heures. A jeudi monsieur ! >> murmure t-elle dans un souffle de dépit. Rapidement la jeune fille s’en va rejoindre le groupe d’élèves. En me quittant elle me fait un dernier signe de la main. Un sourire juste avant de disparaître en refermant la porte derrière elle. Comme toujours pendant le cours je peux surprendre le regard d’Estelle. Elle fixe ostensiblement ma braguette. Tournant le dos aux autres étudiants, aucun d'entre eux ne s'en douterait une seule seconde. Ce qui est nouveau c’est ce clin d’œil qui accompagne parfois son regard furtif. Je dois cacher mon trouble en me faisant violence.

Mercredi vers midi trente la musique imbécile de mon téléphone. Je décroche. C’est Estelle. << Bonjour monsieur. Demain jeudi je viens pour quatorze heures, ça va pour vous ? >>. Elle détache chaque mot, en articulant chacune des syllabes comme à l'accoutumée. Je réponds : << Bonjour Estelle. Oui c’est parfait ! >>. Elle rajoute, mais cette fois d'un ton beaucoup plus enjoué : << Monsieur, s’il vous plaît, vous me ferez une "surprise" ? Une surprise comme je les aime ? >>. Je reste un instant silencieux. Dubitatif avant de comprendre la signification de sa demande. Je m'empresse de préciser : << C’est promis Estelle, je vous prépare une agréable petite surprise. Mais soyez gentille, entrez directement dans la maison. Ne sonnez surtout pas. Moi aussi j'aime les "surprises" ! >>. Elle lance : << Impossible ! >>.

Avec un petit cri de ravissement la jeune fille raccroche. Ce jeudi est férié. Après avoir fait un peu de rangement, un peu de nettoyage et un peu de ménage, je m’installe dans le canapé. Je contemple le résultat de mon labeur. Tout est parfait. J'ai une femme de ménage qui vient le mercredi matin depuis le décès de mon ancienne compagne. Mais j'aime bien parfaire son travail. Il est treize heures trente. Je garde présent à l’esprit le souhait de la jeune fille. La fameuse "surprise". Cette demande tourne dans ma tête jusqu'à l'obsession. Cela me gêne terriblement. J'en ressens même une vague honte. Je me surprends même à me soliloquer des reproches. Ce qui participe de mon excitation.

J’ouvre ma braguette pour en extraire mon sexe. Doucement je commence un mouvement masturbatoire. L’excitation grandit au fur et à mesure de ma manipulation. Je me lève. Je préfère me masturber debout. Je sens l'ébullition monter du plus profond de mes couilles. Soudain trois coups de sonnette. Je me précipite dans le hall d'entrée. Je regarde l’écran de l’interphone. C’est Estelle tenant sa bicyclette. Avec dix minutes d’avance. J'appuie sur le bouton d'ouverture avant de me précipiter vers le canapé, le sexe en érection. Il dépasse copieusement de ma braguette. Je reste avec les mains posées sur mes cuisses légèrement écartées. Estelle, refermant la porte derrière elle, traversant le couloir en s'écriant : << Coucou ! >> pénètre dans le salon.

Les yeux écarquillés comme si c’était la première fois la jeune fille me découvre ainsi. Restant debout elle regarde avec attention. Puis, me souriant, elle me fait : << Bonjour monsieur. Encore une agréable surprise. J’ai attendu ce moment depuis dimanche. C’était dur au concours hippique. Très frustrant de ne pas pouvoir la voir, sans pouvoir la toucher ! >>. Je ris en l’invitant à venir s’assoir près de moi.

Vêtue de la même façon que pour le cours de mardi soir, je la trouve très élégante. Estelle reste debout en me disant : << Je préfère venir préparer les boissons et les petits gâteaux avec vous à la cuisine, vous voulez bien ? >>. Je me lève. Je prends la jeune fille par les épaules et je dépose deux bises sur chaque joue. Je devine que ces élans affectifs l’emplissent de joie. Estelle, se saisissant de mon sexe me dit : << J’ai envie de la toucher tout le temps ! >>. Je réponds immédiatement : << Mais je vous y invite chère Estelle, faites donc ! Et quand bon vous semble ! À la condition qu'il n'y ait que nous ! >>. Sa main douce et chaude serre mon sexe par petits mouvements. Petites pressions.

Nous nous rendons à la cuisine. Estelle reste serrée contre mon dos, courbée en avant, me tenant le sexe de la main droite. Elle tente tant bien que mal à me suivre dans mes déplacements. Elle essaie de me masturber doucement à chaque occasion. Toutes les choses entreprises en ce lieu le sont avec mon sexe dans la main de la jeune fille. Mettant tout sur un plateau je retourne déposer les tasses, les gâteaux et les verres sur la petite table devant le canapé. Il nous faut êtres extrêmement prudents tous les deux car nous pourrions tout renverser. Ce qui nous amuse.

Lorsque j’ai les mains libres Estelle vient s’accroupir. Je la retiens en disant : << Attendez encore un peu nous allons introduire de nouvelles choses dans nos petits plaisirs. Et comme vous aimez les surprises ! >>. La prenant contre moi je lui dépose une bise sur le front. De mon index je lui caresse le bout du nez. La jeune fille lâche mon sexe pour m’enserrer à son tour. Posant ma main sur sa nuque j’attire doucement son visage contre le mien. Mon érection contre son pantalon noir ne va pas tarder à en maculer le tissus. En effet, du jus suintant à l’extrémité de ma turgescence s’écoule déjà. Estelle découvre de nouvelles sensations. Ma tendresse, ma douceur, mes attentions.

Je scrute son visage si proche du mien. Je peux voir les petits boutons autour de sa bouche. Une sorte d’acné que la jeune fille prétend être la conséquence des fellations. Ce visage si juvénile me trouble profondément. J'en ai un nouveau frisson. Je scrute chaque partie de son visage. Je devine la jeune fille gênée par mon examen. Troublée. Doucement, la maintenant par la nuque, j’approche sa bouche de la mienne. Je dépose mes lèvres sur les siennes. Nos bouches s’entrouvrent en même temps. Nos langues se touchent en même temps, faisant connaissance pour la toute première fois. De mon autre main je serre le bassin de ma jeune étudiante contre le mien. Mon corps contre le sien y trouve un plaisir insoupçonné. Je sens la jeune fille se serrer de plus en plus fort. Après une dernière hésitation, Estelle se lâche.

Nous nous embrassons passionnément. Je fouille la bouche de la jeune fille en passant ma langue dans tous les recoins. Son appareil dentaire ne me pose aucun problème. Il n’est presque pas perceptible. Lorsque ma langue cesse son exploration c’est la sienne qui vient fouiller ma bouche. De la salive à profusion inonde nos cavités buccales. Nous en bavons.

Aucun de nous deux n’a envie que cela ne s'arrête. En même temps que nous nous embrassons, depuis une bonne vingtaine de minutes, nos bassins se sont mis à bouger de concert, se frottant l’un contre l’autre. Je maintiens la tête de la jeune fille qui gémit doucement. De la salive s’échappe de la commissure de nos lèvres qui ne sont plus étanches, fatiguées par leurs étreintes. Nos mâchoires sont au bord de la crampe. Nous nous surprenons à pousser les mêmes gémissements.

Je retire ma bouche en supprimant l’étreinte qu'exerce ma main sur sa nuque. Tous deux, en nous regardant surpris, nous reprenons notre souffle presque en haletant. Restant cambrés l’un contre l’autre, nos bassins continuent leurs bercements. Nous nous donnons plein de baisers sur les joues, sur la bouche, sur le front. J’entraîne Estelle sur le canapé. << Je n’ai encore jamais fais "ça" ! >> me fait elle. En posant la main sur sa cuisse je dis : << Il faut une première fois. Toujours. Même aux choses les plus douces ! Et pardonnez-moi mais j’en avais trop envie ! >>. Estelle s'écrie : << Je n’ai rien à vous pardonner ! Je crois que j’attendais "ça" aussi ! >>.

J'approche mes lèvres de son oreille pour murmurer : << Vous m'avez déjà sucé quelquefois et vous ne m'avez encore jamais embrassé ! Décidément Estelle, vous êtes le "cas" le plus exceptionnel que je connaisse. Moi j’avais envie de vous embrasser depuis la toute première fois. Là, j’ai pris mon courage à deux mains. Ce serait trop stupide de passer à côté de tout le reste. Il n’y a pas que les pipes ! >>. Estelle, comme stupéfaite, prend du recul pour lancer d'une voix presque suppliante : << Monsieur, je ne me sens absolument pas prête pour ce "reste". Soyez patient s’il vous plaît je ne veux pas brusquer les choses et je ne sais pas si je "le" ferais avant longtemps. Ne soyez pas fâché ! >>.

Je la rassure : << Mais je ne suis pas du tout fâché Estelle. Je comprends parfaitement. Jamais je ne vous entraînerais à des choses que vous ne m’avez pas demandé. Soyez confiante je ne suis jamais frustré. Je sublime mes pulsions dans l’Art et la création. Tout comme vous ! >>. Estelle reste silencieuse. C'est un peu comme si elle buvait mes paroles. << Mais aujourd’hui j’ai découvert une nouvelle sensation. Vous embrasser et me faire embrasser. C'est si bon ! Grâce à votre initiative. Je peux encore ? >> me fait soudain la jeune fille en me regardant avec insistance. Elle est assise à ma droite. Je me tourne vers elle. Je passe ma main autour de ses épaules pour l’attirer vers moi.

De ma main gauche je caresse son visage. Doucement j’approche sa bouche de la mienne. Soudain, se tournant vers moi, posant son coude sur ma cuisse, elle se love contre moi en m’embrassant avec fougue. Nous recommençons à fouiller nos bouches de nos langues gourmandes. Mon érection devient démentielle. Cette fois-ci nous nous accordons des pauses. Estelle reste serrée contre moi. J’ai mon sexe à l’air depuis tout ce temps. Ce sexe qui jusqu’à présent a suscité tout l’intérêt de la jeune fille semble relégué au second plan. Elle s’en saisit pourtant. Se mettant à me masturber, Estelle recommence à m’embrasser goulument. De ses lèvres, la jeune fille exerce une succion, aspirant ma langue comme si c’était mon sexe. Cherchant sans doute à me faire comprendre le désir qui l'envahit.

Au bout d’un long moment Estelle, se couchant sur le côté, prend mon sexe en bouche. Elle se met à me sucer d’une façon qui me parait encore plus divine que les fois précédentes. Ma jeune étudiante savoure en gémissant. De légers frémissements agitent son corps. Un long moment de dégustation qui passe ainsi. Estelle se redresse. A nouveau, me prenant la tête, elle m’embrasse. Longuement. Mais c’est elle qui à présent prend les initiatives de me maintenir ou de me relâcher. Pendant qu’elle m’embrasse, aspirant ma salive comme elle le fait de mon liquide séminale, elle me déboutonne le pantalon. Tout en m’embrassant, de ses deux mains, elle tire sur la ceinture pour descendre mon jeans jusqu’au genoux. Il tombe tout seul sur mes chevilles.

Revenant à sa fellation, de sa main droite, elle saisit mes couilles qu’elle palpe délicatement. Je suis livré au plaisir le plus indicible. Un véritable enchantement paradisiaque. Je suis en sueur. Les doigts de la jeune fille partent en "explorations". Je me donne entièrement à ses découvertes. À présent son index caresse mon anus. Je ne suis pas particulièrement attiré par tout ce qui concerne cet orifice mais, pour la première fois, cela ne m'indispose pas vraiment. Tout en me pompant Estelle tente à présent d’enfoncer son doigt. Elle se redresse un peu pour m’embrasser tout en m'enculant de son index. Cela doit l’exciter au plus haut point car je sens bouger son bassin de façon régulière.

Cette situation se renouvèle plusieurs fois. Elle garde ostensiblement son doigt dans mon cul. Gêné et pour faire diversion je dis : << Estelle je vous propose de reprendre nos esprits il est déjà dix huit heures. Je vous emmène au restaurant tout à l’heure. Vous n’avez pas oublié ? >>. Estelle se redresse : << Oh oui le restaurant ! Non je n’ai pas oublié. Je ne pourrais d’ailleurs jamais oublier quoi que ce soit avec vous ! >>. La jeune fille prononce ces mots en tentant d'avaler mon foutre épais et gluant avec difficulté. Elle se redresse.

Estelle a le menton mouillé de sperme, des cheveux collés sur ses joues et sur son front. Elle se réajuste en essayant de reprendre ses esprits. Elle soupire longuement puis me dit encore : << Il faudra que je fasse un tour aux toilettes et à la salle bain ! Je ne peux pas sortir comme ça ! >>. Faisant preuve d'initiative, elle me force à me lever. Gardant son index dans mon cul elle me fait : << Regardez, j’ai du sperme sec autour de la braguette ! C’est certainement pendant le baiser du début ! >>. Je regarde. Effectivement son pantalon noir est maculé de tâches au niveau de sa braguette et sur le haut de la cuisse gauche.

Elle m’entraîne aux toilettes. Là, d’une main, descendant son pantalon, elle s’assoit et se met à pisser d’un long jet sonore. Je suis debout sur son côté droit, enculé par son doigt, le pantalon aux chevilles. Je me sens ridicule et stupide. C’est la première fois que la jeune fille se livre ainsi en spectacle. Visiblement très à l’aise me sachant "soumis" par son doigt. Elle m’entraîne à la salle de bain ! Là il lui faut récupérer ce fameux doigt. Estelle le contemple, le porte à ses narines pour le humer. Nous nous lavons les mains. Ensemble nous nous donnons bonne apparence pour nous apprêter à sortir.

Au fil de ce temps déjà passé ensemble, une certaine complicité s’est installée entre Estelle et moi. La jeune fille est bien plus détendue. De plus en plus naturelle et à l’aise en ma compagnie. Tout en restant la jeune fille réservée que j’ai toujours connu. Fière, son attitude presque aristocratique. Pourtant, rien n'est surfait chez elle. Estelle est tout simplement comme ça. Je démonte la roue avant de sa bicyclette avant de la mettre dans le coffre. Ainsi, en rentrant pour 22 h, Estelle sera à vélo. Je la laisserai à une centaine de mètres de chez elle. Je roule doucement. C'est curieux cette propension qu'ont les jeunes filles à jouer avec le sexe du chauffeur.

C'est devenu notre restaurant habituel. Le vieux moulin. Assis devant une délicieuse entrée faite de crudités, Estelle me fait part de son profond désir d’être avec moi le plus souvent possible. Je lui demande de ne surtout jamais prononcer ce mot. Ce mot qui lie les êtres et qui commence par "A". Ce mot qui peut également causer les plus grandes douleurs. Pourtant c’est bien ce qui est entrain d’arriver. Je m’en doutais depuis deux semaines. Lorsque sa main se pose sur la mienne à plusieurs reprises j’ai la certitude que ce sentiment tant redouté est déjà bien là ! Partagé...

Après le restaurant, sur le chemin du retour, j’ai droit à une de ces merveilleuses fellations que sait à présent me prodiguer la jeune fille. La découverte des plaisirs divins que procurent ces pipes au chauffeur dans une campagne d'automne comble ma jeune étudiante. Nous arrivons. Je gare l'auto dans l'entrée d'un chemin. J'éjacule dans une série de râles de jouissance dans la bouche de ma divine suceuse. Il est 22 h15. Je dois la brusquer pour l'empêcher de repartir dans un second tour. Nous sortons pour préparer la bicyclette.

La séparation est cruelle. Ma douce complice déballe un chewing-gum. << Pour cacher l'odeur ! >> précise t-elle. Pour le samedi à venir Estelle me propose de venir à quatorze heures. Le soir nous serons invités à l’anniversaire de Stéphane. Cet élève du conservatoire fêtera ses vingt ans chez lui. Estelle me propose d’y aller directement de chez moi. Elle apportera de quoi se changer.

Samedi ? Mais ? C’était après demain …                                
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29/07/2014

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