L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Estelle, la jeune fille du conservatoire (Episode 14)

 
Avatar de Julien.jpg
 
                                  Estelle s'installe doucement dans mon environnement

Les trois coups de sonnette retentissent à quatorze heures quinze. C'est un samedi gris. Un début d’après-midi au ciel bas et maussade. J’attends Estelle pour quatorze heures trente. Comme à son habitude la jeune fille est en avance. Je regarde l’écran vidéo de l’interphone pour bien m’en assurer. C’est bien elle. Elle pose sa bicyclette contre le muret de l'escalier. J’appuie sur le bouton d’ouverture. Un réflexe.

Comme je le lui ai demandé Estelle n'attend plus mais entre directement dans la maison. Aujourd’hui la jeune fille est vêtue d’un pantalon très serré, noir. Sa veste de cuir noir, cintrée à la taille, passée sur un pull mauve. Une écharpe crème, longue, flottant des deux côtés de ses épaules menues. Chaussée de hautes bottes de cuir noir elle est ravissante. Ses longs cheveux noués en catogan. Elle dépose son sac de sport dans le couloir.

Je suis debout devant mon bureau à ranger quelques papiers. Estelle vient vers moi de son pas assuré. Elle me prend par la taille et se serre contre moi. << Bonjour. Je suis contente d’être enfin samedi ! >> me fait elle en me faisant des bises sur les joues. Je réponds : << Bonjour Estelle. Moi aussi je suis content d’être à nouveau en votre compagnie ! >>. La jeune fille, approchant une nouvelle fois son visage, dépose sa bouche sur la mienne pour m’embrasser longuement. Je suis parcouru d'un frisson. Une décharge électrique le long du dos.

Me prenant par la main elle m’entraîne vers le canapé. << C’est moi qui vais tout préparer aujourd’hui. Petits gâteaux, thé et jus de fruits ! >> me fait elle en me prenant par les épaules pour m’obliger à m’assoir. Assis sur le canapé, feuilletant le dernier "Géo", j’entends Estelle qui s'affaire à la cuisine. Ces bruits, conjugués à la présence d’une personne dans la maison, ont quelque chose de rassurant. Ils rendent serein et souvent heureux. Comme toutes les femmes qui se sentent en confiance Estelle découvre la maison en prenant des initiatives.

Lorsque la jeune étudiante revient de la cuisine j’ai la surprise de la découvrir en jupe. Vêtue ainsi, avec un chemisier blanc rentré dans sa jupe noire à plis, chaussée de souliers noirs à talons hauts, elle est splendide. C’est presque anachronique de la voir ainsi accoutrée. Une jeune fille de dix huit ans et demi, vêtue comme une femme, cela interpelle forcément. C’est terriblement troublant. C'était donc ça dans le sac de sport ! Admiratif, je lance : << Vous êtes absolument magnifique. Pour une surprise, j'avoue être surpris ! Bluffé ! >>. Elle rit.

<< Merci. C’est ma tenue pour ce soir, pour l’anniversaire de Stéphane. Je voulais vous en faire la surprise. Je voulais votre avis ! >> me fait elle après avoir posé le plateau sur la petite table basse. Puis, tournant sur elle-même , faisant voler sa jupe, dévoilant ainsi ses cuisses, elle me fait un clin d’œil appuyé d’un sourire très coquin. C’est la première fois que je la vois ainsi. Malgré sa grande minceur et son corps gracile, Estelle a un physique harmonieux. Les années à venir se chargeront bien de sublimer ses formes. C’est encore le corps d’une adolescente. Ou presque. Je suis soudain pétri d'émotions. Une émotion n'ayant strictement rien de sexuelle.

La jeune fille passe derrière le bureau pour se saisir de la chaise qu’elle ramène devant le canapé. La mettant à l’envers, Estelle s’assoit, les cuisses écartées par le dossier. Le spectacle enchanteur me met très rapidement dans un état d’émerveillement. En scrutant attentivement, je découvre l'absence de tout sous-vêtement. C’est la première fois que la jeune fille prend de telles initiatives. << J’ai préparé cette surprise dans le secret de ma chambre ! >> me fait elle, très coquine. Son visage innocent, presque juvénile rajoute encore à l'insolite de l'instant.

Nous restons ainsi de longues minutes à nous observer. Estelle, du coin de l’œil, surveille la moindre de mes réactions. Moi je scrute l’ensemble de sa silhouette. Je regarde chaque détail. J’imprime cette scène dans ma mémoire afin que, jusqu’à la fin de mes jours, je puisse me repasser le "film". << Vous me la montrez ? >> s'écrie ma jeune étudiante en pointant son doigt en direction de mon sexe. J’ouvre ma braguette pour satisfaire sa demande. J’ai une érection proprement démentielle. Les mains posées sur mes cuisses, les jambes légèrement écartées, le sexe à l’air, je suis assis sur ce canapé dans un état de ravissement total. Une béatitude presque stupide.

Estelle écarte encore davantage ses cuisses. Nous restons ainsi un long moment dans un silence accablant. Immobiles et concentrés à nous scruter avec une attention d'entomologistes. Nous fixant longuement dans les yeux. Ces situations, toujours hautement excitantes, fascinantes, restent des instants merveilleux. Trop rares…

La jeune fille, se levant, vient s’assoir à mes côtés sur le canapé. Installée à ma droite elle se saisit de mon sexe pour le serrer fort et par petits mouvements réguliers. La jambe gauche repliée sous la jambe droite, la jupe relevée à mi-cuisses, Estelle se met à m’embrasser fougueusement. Je demande : << Estelle, me permettez-vous d'avoir moi aussi une initiative ? >>. Elle me regarde par en-dessous, un sourire mutin, pour dire : << Quelle genre d’initiative ? >>. Je suis amusé par cette question puérile. Typique d'une jeune fille de son âge.

Je passe ma main sur sa cuisse repliée, doucement. La peau d'Estelle est incroyablement douce et tendre. Longuement, en faisant durer, je remonte ma main jusqu’à sentir ses poils pubiens. Estelle a un léger sursaut. Se penchant vers mon sexe, retirant ma main en la repoussant, elle se met à me sucer. Je la prends par les cheveux pour ramener son visage près du mien. Je dis : << Aujourd’hui, Estelle, c’est à mon tour ! >>. Je prononce ces mots d'un ton péremptoire. Comme je le fais lorsque je suis professeur de l'école de musique.

Je me lève. Me mettant à genoux entre les cuisses de la jeune fille, j’approche ma bouche de son sexe. Après un moment de stupeur, de consternation presque, elle se met à son aise, avançant son bassin vers le bord du canapé. S’appuyant sur le dossier en soupirant d’aise. C'est une grande première pour Estelle. Comment pourrait-elle réagir autrement devant une situation inconnue ? Je la sens fébrile, inquiète peut-être. En attente, retenant sa respiration. Sa curiosité bien légitime, ma douce étudiante va vers de nouvelles sensations.

Je pose mes lèvres sur son sexe. Estelle a un nouveau sursaut accompagné d’un gémissement presque plaintif. Doucement je sors ma langue pour en passer le bout sur son petit bouton. La jeune fille a une nouvelle série de sursauts. Tout en gémissant elle pose ses mains sur ma tête. Relevant ses jambes elle écarte les cuisses pour poser ses pieds sur la petite table basse. De petites sangles de cuir, autour de ses chevilles, empêchent ses souliers de tomber. Ma haute taille est encore là un handicap.

Je passe ma langue sur les lèvres de son sexe, défroissant les plis, fouillant chacun d’entre eux. Je n’oublie pas le moindre millimètre carré. Insistant sur les endroits qui procurent le plus de gémissements, le plus de sursauts. Estelle se pâme, se tortille légèrement. J’entends sa respiration s’arrêter puis repartir après des apnées jouissives. Confrontée à un plaisir inconnu, Estelle s'y adonne dans un abandon total.

A présent j’introduis ma langue au centre de son mystère. Le goût légèrement acide de cette muqueuse me fait tourner la tête. Je me régale de ses humeurs. Je sors ma langue pour lécher cette partie entre l’anus et le sexe. La sueur acide ajoutée aux humeurs secrétées par les muqueuses me donnent les plus doux vertiges. Estelle gémit de plus en plus fort. Elle est avachie dans le canapé, s'offrant totalement.

Je reviens titiller son clitoris qui présente une belle turgescence. Une petite noisette. C'est une bien belle découverte pour moi aussi. Estelle, me tient par la tête comme pour me guider, émettant de légers râles. Beaucoup plus profond que sa voix habituelle. Son bassin se met à bouger lentement, légèrement, de façon régulière. Comme indépendant de la volonté de ma tendre étudiante. De légers tremblements animent l'intérieur de ses cuisses. C'est émouvant autant que passionnant.

Je lèche, je suce, me pourléchant de ce jus qui coule de sa source. Je n’aurais pas sacrifié la moindre goutte de ce délicieux nectar pour tout l’or du monde. J’en ai presque des crampes à la mâchoire, la nuque me fait un peu mal. Mais c'est si peu de chose en échange de ce somptueux festin. Soudain, se cambrant légèrement, serrant ses doigts dans ma chevelure, Estelle a un orgasme. J’ouvre les yeux. La jeune fille, la tête renversée en arrière, le dos cambré, victime de spasmes qui agitent tout son corps. Je suis inquiet en la voyant ainsi, prostrée.

Après un petit moment, haletante, reprenant ses esprits, la jeune fille me repousse doucement en se redressant. << C’est la première fois ! J’ai cru que mon cœur allait s’arrêter ! >> me confie t-elle dans un souffle. Je m’assois à ses côtés. Comme à chaque fois le thé est froid depuis longtemps. Je vais faire bouillir de l’eau pour en préparer à nouveau. Estelle me rejoint à la cuisine. Elle se met derrière moi, me prend par la taille et me chuchote plein de choses folles à l’oreille. << Comme je suis bien avec mon professeur ! >> dit elle.

Se saisissant de mon sexe, Estelle me fait : << Maintenant c’est à moi, je veux me régaler ! >>. Je l’empêche de s’accroupir en la maintenant par les cheveux. Je n'aimerais pas vivre de nouveaux plaisirs dans la cuisine. Je dis : << Venez, allons sur le canapé ! Et ne vous tachez pas les vêtements que vous portez déjà pour ce soir ! >>. Elle rit. << Si je me change, vous m’emmenez aux toilettes ? >> rajoute t-elle espiègle. Me saisissant par la main elle m’entraîne aux toilettes sans attendre ma réponse. Là, s’asseyant sur la lunette la jeune fille se lâche en pissant d’un jet long et sonore. Mon érection est délirante. Pour donner le change je me lave les mains en sifflotant. Elle rit aux éclats.

Estelle, se redressant, se torche comme si je n'étais pas là. Elle m'entraîne par la main. Nous retournons à la cuisine. Elle se dirige vers son sac de sport posé sur le tabouret à côté de la cuisinière à bois. Ses vêtements de villes posés sur le dossier d’une des chaises. Je la laisse se changer. Je veux absolument respecter ses pudeurs de jeune fille. Déjà que dans les toilettes j'étais très gêné. Pendant ce temps je vais me vautrer dans le canapé. Estelle, à présent revêtue de son pantalon et de son pull fin, vient me rejoindre. Je suis entrain de me masturber.

Se mettant à genoux devant le canapé, entre la petite table basse là ou moi-même je sévissais il y a encore une demi heure, Estelle approche sa bouche de mon sexe. Léchant la peau de mon prépuce, me décalottant délicatement des doigts de sa main droite, la jeune fille se met à passer sa langue sur mon gland, fouillant les replis de la petite peau. Dans l’état d’excitation ou je me trouve, du liquide séminale, clair et luisant, s’écoule soudain de mon méat. Je suis tremblant de plaisir. Couvert de frissons. En sueur. Je suis au spectacle.

Au bout d’un petit moment Estelle engouffre mon sexe dans sa bouche chaude et humide. Quelques instants plus tard elle se met à gémir comme tout à l'heure lorsque je m’occupais d’elle. La jeune fille suce avec passion, savourant, déglutissant en émettant des petits gloussements extrêmement révélateurs de son plaisir. Par contractions régulières de mes muscles fessiers je fais bouger mon sexe. Ce qui a pour effet de produire davantage de jus encore.

Je me laisse faire dans une félicité totale. De temps à autre Estelle se retire pour redresser sa tête, m’embrasser. C’est un plaisir après l’autre. Elle me tient la main avec force. << Je suis tellement bien avec vous. Je ne veux plus vous quitter ! >> me dit elle à l’oreille. Cette révélation, cette affirmation, me donnent un vertige supplémentaire, mais pas du même ordre. Elle revient me pomper avec une ferveur proche de la dévotion. Il y a une inquiétude qui monte doucement en moi. Je culpabilise à nouveau. Je prends conscience de la responsabilité de mes actes. De la responsabilité qui m'incombe pour l'avenir.

J’éjacule comme un dément. Lâchant un flot de sperme en trois saccades presque violentes. Estelle, serrant son visage contre mon pubis, ne laisse pas s’échapper la moindre goutte. Je l’entends déglutir avec peine, longuement. Elle me regarde, me fixant dans les yeux tout en avalant, me vidant complètement avec gourmandise. L'expression amoureuse de son regard rajoute encore à mon angoisse naissante. << Pas besoin de prendre un chewing-gum pour cacher l'odeur ! >> lance t-elle en se redressant, toute fière. Du foutre collé juste sous la lèvre inférieure. Je le lui retire avec le doigt pour le lui faire sucer. << Mmmhhh ! >> gémit elle en me fixant d'un regard terriblement suggestif.

Il faut se préparer pour la soirée chez Stéphane. Nous sommes attendus, avec une vingtaine d’autres convives, pour vingt heures trente. Et j’ai promis de nous concocter un excellent repas avant de partir. Je prépare de délicieuses tomates farcies et Estelle, amusée, apprend la recette de ce délicieux plat accompagné de coquillettes. Ces moments de bonheur autre sont aussi intenses que notre sexualité. Nous n’en n’avons pas encore pris l’exacte mesure. Après le repas je mets la bicyclette d'Estelle dans le coffre de la voiture. Roue avant démontée.

Nous arrivons chez Stéphane à l’heure convenue. Chacun séparément pour ne pas éveiller le moindre soupçon sur notre relation. Estelle sur sa bicyclette. Il y a déjà là Bruno, Christine et d’autres élèves de l'école de musique. Deux professeurs, également invités, préparent des petits paquets cadeaux sur une des deux tables. Je salue tout le monde ainsi qu’Estelle, comme si de rien n’était. Je découvre que Bruno la fait déjà rire. Sans doute un peu dragueur… Tiens ! Ce coup dans ma poitrine, qui me coupe le souffle, serais-je jaloux ? Bizarre !

Stéphane avec Loïc nous gratifient d’un concerto pour piano et violoncelle. Estelle assise à côté de moi sur une chaise me glisse à l’oreille : << Il paraît que Stéphane est très "gâté" par la nature. C’est une rumeur en classe ! >>. Je chuchote : << Voilà un élément de comparaison ! Vous devriez "comparer" ! Vous savez, ce fameux élément de comparaison dont je vous entretenais il y a une semaine ! >>. Estelle, pour toute réponse, me donne un petit coup de genoux. Réaction de fille.

Il y a un long moment de musique. Une nouvelle fois, entre deux interprétations, Estelle se penche vers moi pour me dire : << Faites-moi découvrir un élément de comparaison ! Je compte sur vous ! >>. Estelle n'a décidément pas fini de m'étonner. Je cherche mes mots avant de répondre : << Si cela vous tente, j’organise un "plan" ! >>. Un silence. Un nouveau coup de genoux contre le mien. << Si c’est vous, c'est avec plaisir ! >> me confie t-elle en me faisant un clin d’œil. Elle rajoute encore : << Je peux venir passer l’après-midi avec vous, demain dimanche ? >>. Nouvelle surprise, nouvelle émotion. Je l’invite avec plaisir.

Je comprends soudain pourquoi elle a laissé son sac de sport sur le tabouret, dans la cuisine...
_____________________
Tous droits réservés - 2014 - © -
 

L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle.  Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal.

La divulgation d'informations relatives à la vie privée, ou à l'identité, constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 du code pénal .

 





Je savais ce qu'il me restait à faire . A organiser


29/07/2014

A découvrir aussi