L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Estelle, la jeune fille du conservatoire (Episode 18)

 
Avatar de Julien.jpg
 
                                                Une nouvelle initiation pour Estelle

Il est treize heures quarante cinq. Ce samedi de décembre gris et froid n’incite pas à grand chose. Si ce n'est à rester bien au chaud. Je viens de terminer la vaisselle après avoir fait un peu de ménage. Trois coups de sonnette répétés résonnent dans le silence de la maison. En regardant sur l’écran vidéo je découvre la silhouette de ma visiteuse. Estelle est debout devant le portail. Elle tient son vélo. Se doutant bien que je la regarde elle fixe la caméra en me tirant la langue.

J’appuie sur le bouton d’ouverture. Une minute plus tard la jeune fille gravit les marches en bondissant. Elle franchit le pas de la porte. Vêtue d’un pantalon d’équitation beige, d’un pull à col roulé sous un épais blouson de cuir noir ouvert, chaussée de hautes bottes noires, Estelle me saute au cou. Trop contente d'être là, elle me fait deux délicates bises en entrant. Je la débarrasse de son blouson et de son écharpe. Je l’invite à prendre place sur le canapé et lui propose une bonne boisson chaude, café, chocolat ou thé.

<< Un chocolat ! Je viens avec vous à la cuisine, je me suis tellement réjouie d’être avec vous ce samedi. Je suis libre jusqu’à vingt deux heures. A la maison j’ai dit que je mangeais chez Solène ! >> me fait la jeune fille toute heureuse. Sautillant autour de moi. Je la regarde, dubitatif et interrogateur. Elle devine ma question car elle rajoute : << Solène est dans la "combine". On a arrangé le coup. Au cas où ! >>. Ma jeune étudiante, espiègle, me regarde en coin. Témoignant de ce côté primesautier d’une jeune fille d’un peu plus de dix huit ans.

Je réponds : << Estelle c’est formidable. Je vais vous préparer un délicieux repas pour ce soir. Mais d’ici là nous allons passer du bon temps ! >>. Je la devine mutine et plutôt coquine cet après-midi encore. << Oh oui ! Faites-moi passer du bon temps. Je suis à vous jusqu’à ce soir. Profitez-en ! >> s'écrie t-elle avec un petit air frondeur. En gloussant elle me dépose un baiser sur la bouche. Sautillant d'une jambe sur l'autre. Comme impatiente.

Je mets la casserole sur la plaque électrique afin de faire bouillir l’eau qu’elle contient. Estelle, debout sur ma droite, me tient par la taille. Nous restons silencieux. Elle est à présent tout contre moi. Une fois ma main libre je me tourne vers la jeune fille. Je pose ma main sur son sexe, passant entre ses cuisses qu’elle serre après un réflexe. Un spasme qui secoue tout son corps. J'aime ce réflexe féminin.

Je réponds : << Je vais bien en profiter Estelle. Vraiment ! >>. Je dépose une bise sur son front. << Je vais déguster ? >> me demande t-elle d’une voix innocente. Serrant ses cuisses sur ma main à présent prisonnière de son entre-jambes. Je la regarde par en-dessous en disant : << Jusqu’à plus soif comme d’habitude Estelle. Comme d’habitude ! >>. Je plonge mon regard dans le sien. Je reste pantois devant l'aplomb dont elle elle fait preuve. Estelle ne baisse plus les yeux depuis longtemps. Au contraire elle me fixe comme pour fouiller dans ma psyché. Pour me communiquer un "message". Me faire comprendre quelque chose.

Ma jeune étudiante saisit parfaitement ce que j’insinue. Combien de fois n’a t-elle pas "dégusté" ! Parfois jusqu’à en vomir. Et elle en voulait encore. Je sais que rien ne lui est plus agréable que d’avoir mon sexe en bouche et de partager mon intimité de cette manière absolue. Caprice de jeune fille à peine sortie de l'adolescence qui ne connaît pas encore autre chose. Au téléphone, chaque jour, elle évoque la fellation avec une certaine finesse, trouvant à chaque fois une nouvelle métaphore spirituelle et amusante. J’apprécie son humour. L'esprit dont elle fait preuve, son intelligence et sa culture.

Ma jeune étudiante se masturbe doucement sur ma main. Une jambe passée devant l’autre, me maintenant le bras entre ses cuisses d’une poigne étonnamment ferme. Prenant appui sur le rebord de la cuisinière de sa main libre, elle bouge son bassin de façon régulière. Au fur et à mesure de notre histoire, je découvre ses initiatives. Ses improvisations de plus en plus franches et libérées. Je suis fasciné.

L’eau commence à bouillir. Estelle ouvre le buffet pour s’emparer de deux grands bols. Dans le tiroir elle récupère deux petites cuillères. Elle a déjà tous ses repères dans la maison. Sous le tiroir, dans la partie basse, elle prend le paquet de chocolat, le lait en poudre et le paquet de petits sablés. Ces gâteaux qu’elle adore. Une petite bouteille d’eau gazeuse. Elle dépose le tout sur le grand plateau. Pendant qu'elle s'affaire ainsi je ne cesse de la toucher. Ma main entre ses cuisses. Je saisis le plateau et nous nous dirigeons vers le salon. Cette fois c’est la jeune fille qui me touche l’entre-jambes. Malaxant mes couilles.

Je prépare les doses de chocolat, de lait. Je verse l’eau chaude. Estelle, debout à mes côtés, me regarde faire en ouvrant ma braguette. Toute affaire cessante je me redresse pour la saisir par ses cheveux. Je les tiens en "queue". La tirant vers le haut, je la force à se mettre sur la pointe des pieds. Tenue ainsi, je lui fais parcourir le salon, tournant autour du tapis. Je la promène dans toute la grande pièce. Elle se laisse faire en poussant quelques fois de petits gloussements, comme surprise par chacune de mes nouvelles initiatives. Je la regarde. Estelle m'adresse le plus merveilleux sourire. Toujours sur la pointe ds pieds.

Me saisissant de son écharpe j'attache ses mains derrière son dos. Lascive et offerte ma jeune étudiante se laisse entraver en gloussant. Je continue à la promener dans le grande salon. Parfois je tire sa tête en arrière, l’obligeant à regarder en l’air. Je la touche. Je lui passe la main entre les cuisses. Je sais que tout ce qui est vicelard lui plait et l’excite. Je suis donc très vicieux. Vulgaire dans mes attitudes. Je pelote ses seins. Je passe ma main sous son pull, sur son ventre, sur ses fesses. Elle semble ravie, en extase, comme dans un état second. C'est fascinant.

Je l’emmène près de la petite table, devant le canapé. Je la fais mettre à genoux. Je prends le bol de chocolat pour lui faire boire quelques gorgées. Prenant un verre vide, j’y pisse une giclée. La tenant par les cheveux je lui fais boire le fond du verre. Estelle a un réflexe de dégoût. Une horrible grimace. Je lui fais ouvrir la bouche en maintenant sa tête par le menton et les cheveux. Je me penche pour cracher dans sa bouche. Une fois de plus mon étudiante a un réflexe de dégoût en essayant de se dégager. Je la maintiens toutefois fermement.

Je passe mon sexe sur son visage. Je le frotte vicieusement en insistant bien. Pour la première fois, j’ai ces mots : << Tu vas déguster ma petite ! Je vais t'apprendre à venir passer ton temps chez un salopard ! Je vais t’apprendre à tailler des pipes ! Petite salope ! >>. Estelle se met à rire. Je rajoute : << Tu n'as pas honte. J'ai l'âge de ton père ! Et s'il savait ce que sa fille fait en ce moment, hein, petite salope ! >>.

Estelle, levant brusquement la tête, me fixe d’un regard que je ne lui ai jamais vu. A la fois plein de reproche pour devenir rapidement implorant et reconnaissant. Cette jeune fille se fait traiter de salope pour la toute première fois. Prenant sans doute conscience de sa nature profonde et de ses penchants de "soumise". Ce moment allait être un révélateur déterminant pour la sexualité de la jeune personne. Je ne le savais pas encore...

Je tiens à préciser que le mot "salope" n’est jamais une insulte ou encore un manque de respect, mais participe du "jeu" dans cette situation précise. J’ai un respect absolue pour les femmes. Je les aime tant…

Je lui trempe mon sexe dans la bouche pour le retirer. Je le plonge dans le chocolat tiède, lui faisant goûter le "choco-foutre". Cette petite salope suce à chaque lampée comme si sa vie en dépendait. Et à chaque fois que je lui mets mon sexe en bouche. Je me penche pour dire : << Tu aimes la bite toi, hein ! >>. Estelle lève les yeux, me fait un merveilleux sourire avant de répondre : << Et j'aime celui qui sait si bien s'en servir ! Julien ! >>. J'avale de travers. Tant d'aplomb me sidère. Est-ce une "déclaration" ? J'ai soudain la trouille.

Je détache ses mains. La tirant par les cheveux je la force à se mettre à quatre pattes. Pour Estelle tout cela est nouveau. Elle va encore une fois de découvertes en surprises. J'ouvre le fin ceinturon de son pantalon d’équitation pour le lui descendre à mi-cuisses. Me saisissant de la petite bouteille d’eau posée sur le plateau, en plastique et à l'embout fin, je la lui mets en bouche. La jeune fille ne comprend plus où je veux en venir. Ses reins cambrés, tout en donnant un élan majestueux à sa croupe, elle pousse un râle de plaisir. Tout cela ne laisse aucun doute quand à son état d’excitation.

Crachant sur l'index de ma main libre, je l’enfonce doucement dans le cul de la jeune fille. Elle a un réflexe de défense. Bien légitime. Très rapidement pourtant, avec un mouvement fessier, Estelle m’aide à l'introduire de quelques centimètres dans son anus étroit. Elle saisit mon poignet. En gémissant. Je la maintiens de ma main gauche par les cheveux et de la main droite j'enfonce encore un peu plus. Je laisse mon doigt bien enfoncée. Je lâche ses cheveux pour toucher son sexe. Je vais d’un mouvement lent du clitoris aux lèvres de sa vulve. Plusieurs fois. Estelle est trempée. Je joue avec son jus entre mon pouce et mon index afin d'en découvrir la texture. Fluide. Je renifle mes doigts.

Je me couche sur le dos pour me mettre à lécher sa vulve. L'orifice d’où s’écoule un étonnant flot de cyprine. Ce jus de fille tellement délicieux, ce nectar de jeune fille dont je me régale avec délectation. Tout en enculant ma belle étudiante d'un index vigoureux. Estelle est totalement surprise par mon comportement. Je la sens frémir. Probablement pleine d'interrogation. Encore une première fois.

Estelle a des soubresauts. Elle gémit, jouit au-delà du raisonnable. C'est évidemment une grande découverte pour elle. Sa croupe est brûlante. Ça dégouline de "foutrine". Je me régale. De ma main libre je tripote vicieusement ses seins. C’est la toute première fois que nous prenons cette option-vice. La première vraie découverte de la jeune fille après la pipe. Elle est à présent folle de ces plaisirs répétés et humides.

Cette première séquence l'émerveille au-delà du raisonnable. L'expression d'extase qui se lit sur son visage est un enchantement. Comme une récompense à mes "explorations". Cet après-midi de folie pure dure trois bons quart d’heure. Je suis déjà convaincu que la suite sera sûrement majestueuse et hautement vicelarde. Je me promets d'en faire ici une description détaillée. Un narratif qui comblera les plus curieux. Au prochain épisode.

Estelle va "déguster"…                                                                
 ______________________
Tous droits réservés - 2014 - ©
 

L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle.  Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal.

La divulgation d'informations relatives à la vie privée, ou à l'identité, constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 du code pénal.

 



29/07/2014

A découvrir aussi