L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Estelle, la jeune fille du conservatoire (Episode 19)

 

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                               Une nouvelle initiation pour Estelle - (partie 2)

Je renvoie le lecteur à l'épisode précédent (l'épisode 18) afin qu'il saisissent bien la substantifique moelle de ce nouvel opus.

Estelle se redresse brusquement en me disant : << Stop, je voudrais que ça s’arrête ! >>. Immédiatement je cesse mes activités de lécheur et de peloteur. Il est hors de question d’aller à l’encontre de la volonté de ma partenaire. Surtout lorsqu’elle m’en prie aussi énergiquement. La jeune fille se lève, remonte son pantalon d’équitation, le ferme et se réajuste. En me fixant dans les yeux de son regard perçant, elle s’assoit sur le canapé. A mon tour je me lève et me réajuste, fermant ma braguette. Je m’installe à ses côtés. Je reste silencieux.

Ce silence dure une bonne dizaine de minutes. Enfin, en me saisissant la main, Estelle me fait : << Je ne désire pas aller plus loin aujourd’hui. Vous m’en voulez ? >>. Gardant le silence encore quelques instants je réponds en serrant sa main : << Rassurez-vous, douce Estelle, jamais je n’irai à l’encontre de vos volontés. Si je vous ai choqué, je vous demande simplement de m’en excuser ! >>. Ma jeune étudiante reste longuement immobile, silencieuse. Pensive. Puis, se tournant vers moi, posant sa tête sur mon épaule, elle murmure : << Tout cela est tellement nouveau pour moi. J’ai peur de perdre le contrôle. Mais je veux vous rassurer à mon tour. J’apprécie tout ce que je vis avec vous. C’est divin. Je dois simplement surmonter mes inhibitions stupides ! >>.

Nous restons ainsi un long moment. Se couchant sur le canapé, sa tête sur mes cuisses, elle me sourit. Espiègle et délicieusement excitante. Je passe délicatement mes doigts sur son front. Je longe le bord de son oreille pour m'attarder sur le lobe que masse entre le pouce et l'index. De temps en temps, je me penche pour déposer un baiser sur son front. Soudain, se redressant, elle m’embrasse avec une fougue étonnante, fouillant ma bouche de sa langue gourmande. Je me retrouve avec une érection folle et contrariée dans mon pantalon. Je n'ai jamais réussi à surmonter un baiser passionné sans me retrouver en érection.

En reposant sa tête sur mes cuisses, la jeune fille peut sentir ma turgescence dure contre sa nuque. De sa main, elle se met à la caresser au travers le tissu. Se couchant sur le côté, elle fixe la bosse longuement. Estelle déboutonne la braguette. Durant un petit moment, jouant avec mon prépuce gluant entre son pouce et son index, elle reste à observer mon sexe. Je sens son souffle chaud sur mon gland qu’elle décalotte doucement. Re calottant et décalottant la peau fripée de mon prépuce plusieurs fois, faisant déborder du liquide séminale, j’entends sa respiration régulière trahir sa concentration. L'excitation galopante aussi. C’est un peu comme si Estelle cherchait à faire monter la sève, à me "traire". Ma jeune étudiante en a bien compris le fonctionnement. À dix huit ans elles apprennent vite...

De sa langue, elle lèche le nectar qui dégouline sur ses doigts. Puis, calant son front contre mon ventre, la jeune fille se met à sucer. Une fois de plus. Je la regarde téter, les yeux fermés, une expression d'extase sur ses traits. C’est divin, délicieux et terriblement juteux. Je l’entends déglutir entre deux gémissements. Je la sens réellement passionnée par cette nouvelle fellation. Une fellation à laquelle, une fois encore, elle se livre avec délectation. Parfois ma suceuse ouvre les yeux. Comme étonnée par le liquide séminal qui envahit sa bouche. Je discerne le bruit bulleux, les gargouillis que provoque ce pompage passionné.

Je la laisse pomper longtemps. J’ai les couilles qui fonctionnent à plein régime. J’ai encore à l’esprit les scènes précédentes, lorsque ma jeune étudiante était à quatre pattes, culotte et pantalon descendus. Cela m’excite follement. Je prends l’initiative de passer ma main droite entre ses cuisses mais, tout en pompant, elle me la retire doucement. Je n’insiste plus et je lâche la purée sans bouger, giclant vicieusement dans la bouche de la jeune fille qui gémit de plaisir. J'aime éjaculer en sournois, sans prévenir. En général trois redoutables saccades puis deux giclées qui achèvent de me cambrer de jouissance. Là, je ne peux m'empêcher de pousser un cri. C'est trop bon, trop fort.

Comme à chaque fois, si je ne lui retire pas le sexe de la bouche, elle y reste rivée comme une ventouse. La saisissant par les cheveux, je retire sa tête pour la soulever à la hauteur de mon visage. Subitement, comme gênée, Estelle baisse les yeux. Tout en faisant des efforts pour avaler avec peine. C'est que j'éjacule d'impressionnantes quantités de sperme. Cela m'embarrasse toujours un peu. Surtout au début d'une relation. Noyer la fille dans un flot de foutre n'est peut-être pas la meilleure formule pour inscrire les choses dans la durée. Sur un plan purement physiologique s'entend.

<< J’en veux encore ! >> me fait elle soudain. Avec un ton de reproche. Estelle ne voulait pas s'arrêter. Les passionnées de pipes adorent souvent repartir pour un second tour. Sans se douter que le propriétaire de la bite doit d'abord surmonter une inhibition bien légitime. Personnellement j'ai toujours un peu honte de jouir autant. Je propose à Estelle de prendre une collation avant de préparer le repas du soir. Par surprise, se mettant à genoux devant le canapé, elle me saisit par la taille pour reprendre mon sexe en bouche. Même si cela est tellement excitant, il faut bien se raisonner un peu. Me dégageant rapidement mais délicatement, je me lève pour fuir à la cuisine.

Estelle me suit en riant...

Je ne suis pas au bout de mes étonnements. Avec l'épisode 20 à venir, dans la partie 3, je ne manquerai pas d'en partager les surprises avec le lecteur que je sais impatient. Mais qu'il comprenne bien que la narration de ces évènements est onéreuse. L'écriture ne se fait pas toute seule. Et je dois réunir mes souvenirs, surmonter l'excitation qu'ils me procurent pour rédiger un récit intelligible. Un texte que je souhaite de qualité "littéraire".                                                             

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29/07/2014

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